novel 4 2/2

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A la barre nous avons John Harty, s’exclama avec enthousiasme un journaliste. Il est accusé de 100 meurtre et une tentative de meurtre contre Eliot nagini s’excita une journaliste. Le voila informa un autre dans la marre gluante et étouffante des journaliste et public quelconque.
 

Un jeune homme au visage doux, et au yeux épuisé, les cheveux coupé court, et un sourire sympathique un peu tombant, au pas léger malgré la mort qui sans aucun doute l’attendra au bout de son procès. Il regardait les gens dans les yeux, on ne pouvait pas dire qu’il était confiant, mais il se donnait le change. Jusqu’à ce qu’il voit au loin Eliot, elle était comme il l’avait quitté, belle, parfaite, le sentiment de chaleur le brulait, il était tel Icare devant le soleil. Il savait que c’était la dernière fois qu’il la voyait, il voulait en profiter. Mais Eliot ne semblait pas heureuse.

Je jure de dire la vérité rien que la vérité… Je m’appelle Eliot Hedwidg… J’ai 61 ans et au moment des fait j’avais 21 ans … Oui c’est bien cet homme, c’est bien monsieur Harty… Il m’a relâché le 2 mars de mes 30ans … Il ne m’a jamais dit explicitement pourquoi, il m’a dit je cite : « Je ne sais pas ce qu’il se passe, je ne sais pas ce qui a mal tourné avec moi, eux, nous… Ne crois pas encore que tu es parti, on se reverra au tribunal. Tu seras contre moi… » mais cela ne sonnait pas comme une menace, il avait l’air d’espérer… lorsqu’il ma séquestrer, il a d’abord essayé la torture psychologique, des menaces sur mes proches, principalement, Il a essayé la torture physique, des lacération, de l’acide sur les bras en quantité suffisante pour me bruler la peau mais pas les chair. Puis il a eu l’air de s’en lasser et il m’a répété que j’était sa meilleur œuvre, et qu’il semblait culpabilisé…
 

Coupable a déclaré John Harty, fut l’information qui fuita parmi la presse agglutiné dehors. Tout le monde pensais qu’il serais condamné a mort et pourtant Eliot refusa, et demanda conciliation.
 

Tout le monde fut surpris, étonné, choqué.
 

Les jurées après avoir eu les test psychologie l’avait eux même condamné a mort, en effet il était en total capacité de juger si ce qu’il faisait été bien ou mal. Son histoire était classique, un enfant avec deux papa et une mère(le père était divorcé avant la naissance son fils et c est remarieravec un homme), il était heureux, pas de problème a l’école, un homme tout ce qu’il y a de plus normal qui un jours tua un garçon et une fille… Sans que l’on sache pourquoi….

Mais Eliot voulais montrer à l’autre que John n’était pas si mauvais, et puis sinon pourquoi l’avoir relâché ? lui demander pardon les larmes aux yeux ? Était-elle amoureuse ? Non, de  cela elle en est sure.

Mais elle a eu le temps de réfléchir, de parler à ces parents, et de voir à quel point cette personne était comme elle. Il a juste décider de tout envoyé balader, de vivre sans garde-fou.

En se portant garant de lui, elle espère qu’il pourra comprendre, réfléchir sur l’importance des règle morale…

Et de pouvoir vivre heureux avec elle. Sinon elle est pas du tout amoureuse… Nan ce sentiment n’est pas du tout de l’amour, juste de la pitié… C’est ce qu’elle veut croire.
 

l amours dans tout les termes du silence ( 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant