l amours dans tout les termes du silence ( 2)

J'ai voyagé dans mes souvenirs j'y ai laissé mes larmes.

Le flamboiement de tes yeux si pur, si silencieux, aucun mot ne traverse ton regard, aucun amour ne peut transpercer ta belle cuirasse.

J'avais beau essayé de te faire comprendre le verbe de l'amours seul une haine farouche te venais, le froid emplissait tes traits, mais tes yeux restaient silencieux, tu falsifiais tes interactions. Tu me faisais te chérir. Je hais tout ce qui est toi, c'est pour cela que je te désire. J'ai appris à te quiero en te haïssant.

Pourquoi ne peux-tu pas arrêter d'être ce stupide garçon ? Je sais que ce n'est pas toi.

Ce n'est pas ta voix, celle que tu emploies me fait plus penser à ce tableau, « la mer de glace » de Caspar David Friedrich, qu'au tableau de Claude Monet.

Je déteste cette voix polaire.

Alors, s'il te plaît, redeviens la voix de chaleur que tu étais. Je veux retrouver celui que j'ai appris à admirer. Je veux retrouver ton sourire lumineux. Je t'ai tellement admiré que j'en étais devenue amer.
Je te déteste para hacerme sentir así.*

Je te voue un culte obscène. Mais Elyan, on sait tout deux que tu te plais dans cette crainte que tu inspires. Tu veux que l'on t'évite, que l'ire d'éros et thanatos s'abatte sur toi.

Tu m'as avoué quand on était jeune que tu ne comprenais pas pourquoi les gens voulaient être aimées...

Mi non plus. pero querida, este sentimiento de ser único en el mundo debe ser la causa de toda esta búsqueda de amor**.

je trouve qu'il est facile de te haïr en t'aimant d'un amours silencieux et divergent.

Dans ce ciel enflammé, je laisse couler mes mots. Je leur laisse lancer l'offensive. Je laisse mes lèvres faire un attentat à ta belle bouche. Tu ne me gifles pas. Tes yeux restent silencieux. Tu ne dis rien. Je me recule. Tu dis vouloir m'aimer. Vouloir m'aimer, comme si c'était une chimie compliquée. Tu dis que jamais tu ne pourras me dire cette si belle phrase qui résonne en moi quand je te dis te haïr.

Je te demande si on forme un couple et tu me dis que c'est toujours comme cela que cela commence, tu sembles d'un coup défaitiste. Comme si aimer est quelque chose d'horrible. Tu me souris de ce sourire factice, et tu pars.

On joue au jeu du chat et de la souris pendant toutes nos années de fac. Qui est la souris ? Toi ou moi ? Qui est celui qui va finir casser ? Cet amour est si explosif que des fois, j'ai peur ... Mais on est là à se passer la bague au doigt ? Comment cela va-t-il se terminer ?

Je dois partir pour une conférence, j'espère te revoir... Viendras-tu me dire au revoir ? Me diras-tu, je t'aime ? Tu te rapproches... Tes yeux ont enfin exprimé quelque chose. « Ne pars pas » dit Éylan, c'est tout.

Ce jour-là, j'ai fait un choix... J'ai vu l'émotion, qui chauffe le cœur des colombes, qui fait naître les bourgeons de rose, je veux les faire fleurir, je te promets que lorsque je reviendrais, elles auront poussé ... Mais dans quel jardin ?

Note de bas de page

*de me faire sentir ainsi

** mais mon cher,ceux sentiments d'être unique au monde doit en être la cause de toutes ces recherches sur l'amour