/ ! \ Avertissement de chapitre :
Ce chapitre contient du contenu pour adulte. / ! \Point de vu : Yuho
~ Appartement de Yuho. Samedi matin. 2020. Heure : 10 heure ~
La matin même je m'étais réveillé dans les draps du lit de Komori pour la première fois depuis que nous étions ensemble. Ils étaient si doux et ils avaient tous son odeurs. Et puis son lit est si grand ! J'avais beaux me rouler dans tout les sens, dans tout les coins du lit, je ne tombais jamais et même parfois je touchais un Komori sauvage dans son habitat naturel. Je me suis pris pour un explorateur à la découverte d'une terre inconnu. C'était drôle car en plus Komori s'est prit au jeu et s'amuser à faire l'ours endormi, puis après il m'a kidnappé dans ses bras et nous sommes passé de l'explorateur à la princesse kidnappé par le dragon qui visiblement se change aussi en prince des ténèbres comme disait Komori. Je ne m'étais jamais senti aussi bien de toute ma vie. Puis après il a fallu se lever, petit déjeuner et maintenant nous voilà devant mon appartement près à faire des cartons et à rendre ensuite les clefs de mon tout premier appartement. Quand Komori à ouvert de lui même la porte et à tout inspecté de partout j'ai ressenti une vague de tristesse à me dire que j'allais devoir quitter cette appartement où l'on a vécu nos débuts. Là où, on a vu notre amour se construire et grandir au fur et à mesure. Mais j'étais tout de même heureux de me dire que, j'allais enfin emménager avec lui. Je savais très bien que le jour ou j'allais emménager avec lui, je devrais quitter mon appartement et le suivre, mon appartement et déjà petit pour un alors pour deux..
Komori me laissait entrer qu'une fois qu'il avait tout fouillé de A à Z, de haut en bas, de droite à gauche, de gauche à droite et même sous les tapis. Il me dit que la seule chose qui avait disparu était un de mes couteaux de cuisine.
J'avalais ma salive et me demandais bien ce que Deshiku faisait et pourquoi il avait prit un couteau.. Par message il me demandait pourquoi je l'avais appelé et il m'expliquait pourquoi il avait pas pu répondre. Je savais au fond de moi que c'était lui, mais à part avoir entendu sa sonnerie de téléphone, je n'ai aucune autre preuve contre lui. Je ne peux pas aller à la police pour porter plainte contre X ou contre lui car si je me trompe, Komori ne me le pardonnerait jamais. Je vais attendre d'être vraiment sûr. Komori aussi était mal, même s'il le cachait mieux que moi..
J'entrais dans mon appartement en portant tout les cartons vide et les disposaient un peut partout dans mon appartement en écrivant dessus quelle partie de la maison c'était. "Salon". "Livre". "Vêtements". Etc..
Komori sentait que j'étais triste car à plusieurs moments il est venu me serrer dans ses bras et à plusieurs moment j'ai pleuré dans ses bras. À cause de ses moments je nous mis en retard, car, on voulait fini de tout vider et ranger pour 14 heures, mais on ne fini que vers les 17 heures / 18 heures. Monsieur SUDORI est venu nous aider comme il pouvait en mettant les cartons dans l'ascenseur dès qu'ils étaient plein et , Junk, nous fit la surprise de venir nous aider lui aussi en transportant les cartons de mon ancien chez moi, à chez nous. J'étais content car, plus je voyais Junk, plus j'avais l'impression qu'il m'aimait bien. J'étais donc heureux que le meilleur ami de mon chéri, m'accepte. Comment j'aurais fait sinon ? Je n'aurais pas voulu priver mon amoureux de son ami. Surtout que si j'ai bien compris, ils se connaissaient depuis longtemps et étaient vraiment très proche malgré les disputes et les bagarres entre eux. J'appris aussi au passage que c'était Komori qui lui avait cassé le nez un jour ou il avait dit du mal de moi. J'ai trouvé ça à la fois mignon, mais inquiétant, mais surtout mignon quand même.À 18heures 40 je rendais les clefs à monsieur SUDORI. Il était heureux que je prenne mon envole avec mon amoureux et me souhaitait tout le bonheur du monde.
- Mais attention, si vous lui faite du mal à ce petit ange, je vous met ma cane aux fesses ! Dit-il en agitant sa cane devant le nez de Komori.
Il me prennait par la hanche en me serrant contre lui.
- Je ne lui ferais pas de mal, je souhaite tout autant que vous, que nous soyons purement et simplement heureux.
- Alors je peux vous laisser partir avec mon petit fils !
Je souriais en rougissant. Monsieur SUDORI n'était pas vraiment mon grand père mais je le considérais tout comme, même parfois je l'appelais "papy" ou "grand-papa" ça le faisait sourire et le rendait lui aussi heureux car ses petits enfants ne venaient plus le voir depuis longtemps et il en souffrait beaucoup m'a t-il dit un jour.
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Tromperie et amour.
RomanceKomori, un homme d'affaire de 37 ans, marié à sa femme Satomé, deux enfants de chacun 15 et 17 ans, s'ennuis de sa vie avec sa femme qui est de plus en plus désastreuse. Mais, depuis quelques temps, Komori est distant de son travail pourtant, person...