Point de vu : Yuho.
~ Arrivé au lycée. Jeudi. 2020. Heure : 7h50 ~
Comme tout les jeudis je commençais à 9 heure mais j'arrivais à 8 heure. En arrivant devant le lycée, je reconnu la silhouette de dos de Satomé. Elle portait des escarpins blanc. Un collant noir transparent et une jupe et une veste de tailleurs. Elle avait attachée ses cheveux en queue de cheval haute.
Elle se tournait vers moi quand je passais à côté d'elle.
- Yuho? Dit-elle en attrapant mon poigné.
Je me tournais et lui souriait comme je pouvais.
- Oh madame Satomé. Comment allez vous ? Deshiku m'a parlé de ce qui c'était passé avec votre mari.. Enfin.. Ex mari.. Je suis sincèrement désolé..
Et c'était sincère, je m'en voulais de faire ressentir une telle douleur à une femme si belle et à toute une famille.
- C'est gentil mon garçon mais, j'ai quelques questions à te poser, tu as quelques minutes ? Tu commence à quelle heure ?
- Oui, je ne commence qu'à 9 heures.
- Je sais que souvent Komori te parlait et passait du temps avec toi. Est-ce que, tu n'aurais pas remarqué ou est-ce qu'il ne t'aurait pas parlé d'une femme qu'il voyait ou quelque chose dans le genre ? Car, tu sais, le soir ou il m'a quittée..
Et elle commençait à me raconter tout ce que Deshiku m'avait déjà raconté. En appuyant bien sur le fait que c'était très important que je lui dise si je savais quelque chose car ça pouvait changer pas mal de chose lors du partage des biens et de la garde de Deshiku et de Alica.
Je secouais la tête.
- Je suis désolé madame Satomé, mais il ne m'a rien dit sur une autre femme ou même sur quelqu'un qui aurait pu lui tourner au tour..
- Je vois.. J'aurais pensé que vu que souvent il trouvait des excuses pour te raccompagner ou autre, il en profitait ensuite pour passer voir sa maitresse..
- Vraiment désolé mais je ne sais rien..
- Merci quand même Yuho. Dit-elle en tournant les talon et en retournant à sa petite voiture garée sur le bas côté.
Je rentrais ensuite dans le lycée en informant directement Komori de ma petite entrevue avec Satomé. Mais je me doute bien cas cette heure là il doit toujours être entrain de faire la grasse matinée dans notre lit. Il ne commence qu'à 10 heure lui. Chanceux va.Je me dirigeais vers mon casier. Et comme hier, une foule de gens étaient attroupé devant entrain de chuchoter et, quand je leurs demandaient de se pousser, ils se tuent et s'écartaient doucement. Je les regardaient perplexe avant de comprendre pourquoi tend de chuchotements. Mon casier avait été forcé et devant y avait un coeur de bœuf vu la taille, planté avec un couteau sur mes livres. J'eus du mal à réprimer mon envie de vomir et du courir au toilette pour vomir mon petit déjeuner.
Des élèves vinrent me voir pour me dire que la CPE voulait me voir d'urgence car entre hier et aujourd'hui elle ne pouvait pas laisser passer.
Je les suivaient jusqu'au bureau de la CPE en me tenant a une des élèves. Ma tête recommençait à tourner et à se secouer comme hier.
Elle me faisait m'asseoir sur un siège en face d'elle. Monsieur FOTANSKI était assit sur un autre et me donnait un verre d'eau chaude avec un sucre et un anti-vomitif.
- Bien, mon garçon. Je vais aller droit au but, tu sais pourquoi tu es là, est-ce que tu sais qui peut faire ça ? Est-ce que tu te fais harceler et que ça commence à dégénérer ?
- Non..
- C'est important tu sais ? Si tu les couvrent, ils pourraient se dire qu'ils peuvent faire encore bien pire. On ne veux que t'aider.
J'hochais la tête.
- Je sais, mais.. Je ne sais vraiment pas qui ça peux être.. Je n'ai jamais eu se genre d'ennuis au paravent.. Et personne ne m'a jamais embêté..
- Je vois.. Nous allons nous occuper de nettoyer ton casier et désormais nous allons vérifier les classes et les casiers un peux plus. Ça à commençait hier c'est bien ça?
- Oui..
- Très bien, tu vas aller avec monsieur FONTANSKI qui va vérifié comment tu te sens d'accord ? Et tu reviens me voir directement au moindre petit soucis même si c'est juste un morceau de papier qui t'ai jeté dessus.
J'hochais la tête en la remerciant, puis, je me levais en même temps que l'infirmier et allais avec lui à l'infirmerie. Je m'asseyais sur un des lits alors qu'il se m'était en face de moi avec un petit bloc note.
- Comment tu te sens ?
- Pas très bien..
- Envie de vomir ?
- Plus depuis l'anti-vomitif.
Il continuait ensuite de me poser diverse questions, puis fermait son carnet pile quand la sonnerie de 9 heure sonnait.
- Je vais aller en cour.
- Non, tu rentre directement chez toi mon grand. Ton état et ce qui se passe, ne me permette pas de te laisser retourner en cour. Je pourrais te garder toute la journée à l'infirmerie mais tu n'y sera pas aussi à l'aise et en sécurité que chez toi. Mais je ne te laisse pas rentrer seul. On appel qui ? Ton patron ? Un petit ami ? Je te raccompagnerais bien moi même mais je n'ai pas le droit.
- Un.. Un petit ami..
- Oh ? Deshiku ?
- Non l'homme qui était avec lui hier..
- Je vois, je te laisse appeler et dit lui de venir ici directement d'accord ?
J'acquissais et appelais Junk en suivant. Je lui dit simplement que je me sentais mal et que l'infirmier m'avait demandé d'appeler un petit ami ou un ami pour venir me chercher. Il semblait plutôt content de pouvoir quitter le travaille mais inquiet pour moi tout de même.
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Tromperie et amour.
RomanceKomori, un homme d'affaire de 37 ans, marié à sa femme Satomé, deux enfants de chacun 15 et 17 ans, s'ennuis de sa vie avec sa femme qui est de plus en plus désastreuse. Mais, depuis quelques temps, Komori est distant de son travail pourtant, person...