𝗔𝗶𝗱𝗲-𝗠𝗼𝗶 ||𝙇𝙞𝙫𝙖𝙞𝙭𝙊𝙘

-Chapitre 26

(NDA: Je vais maintenant mettre des médias comme ceci ça vous plait ? Si oui, vous recevrez certainement des notifications comme quoi j'ai modifié les précédents chapitres mais ce n'est rien je changerais juste les médias pour mettre ceux dans ce style ! Sur ce bonne saint Valentin et Bonne lecture ! Enjoy ^^)

PDV Hanji

Je marchai dans les couloirs, toujours la main du petit Nao dans la mienne. Je le regardai intensivement, il avait l'air impatient de voir Livai. Il ne sait pas à qui il va avoir affaire. Livai était dans un état effroyable depuis la nouvelle de la disparition de Mitsuko, il était encore plus aigri et désagréable que d'habitude.

D'ailleurs, ni moi, ni Armin n'avions osé posé de questions sur cette fameuse appellation dont Mitsuko avait eu l'honneur dans le bureau d'Erwin, durant l'annonce de sa disparition.

Tout en fixant le petit, je me rappela quelques instant plus tôt, l'espace d'un instant, j'ai cru que c'était elle qui revenait avec son sourire qui pourrait réchauffé n'importe quel coeur.

Toujours aucune piste, aucun indice. Rien. L'enquête était voué à l'échec et Erwin le savait très bien : si nous n'avons pas d'indice dans les prochains jours, il devra arrêter les recherches pour se consacrer à la reconquête du mur Maria. Pas que ce choix fasse plaisir à Erwin, loin de là. Mais les suspicions que le gouvernement et les Brigades Spéciales avaient sur nous, ne seraient que plus hautes.

Nous nous arrêtons devant une porte et le petit me regarda.

Nao: C'est là ?

Moi: Oui. Mais tu devrais me...

Mais il ne m'écouta pas, il lâcha ma main et ouvrit la porte précipitamment sans même annoncer sa présence avant d'avancer. Je ne réagis pas sur le fait, trop troublé par ce geste.

Ce n'est que quand j'entendis Livai râler que je me dépêcha à entrer.

Livai: Oi ! Je peux savoir ce que fou un môme dans mon bureau !

Sa voix était grave et agressive. En rentrant dans la pièce je fu surprise de la scène qui se déroula en face de moi. Livai assit sur sa chaise derrière son bureau, toisait l'enfant du regard tandis que celui ci s'aggripai au rebord du bureau avec une main laissé à plat et l'autre à poing fermé, laissant dépassé juste le haut de sa tête.

Livai leva son regard glacial vers moi.

Livai: Je te donne 2 secondes pour m'expliquer ce que ce mioche fou ici.

Moi: Euh... En fait... il voulait te voir... il dit que...

Livai: J'en ai strictement rien à foutre. Ramène le chez sa mère.

Moi: Livai, justement il...

Mais je ne finis pas ma phrase coupé par l'enfant qui sauta et s'agrippa sur le bureau, avec quelques difficultés et gémissement de sa part il réussit à monter, debout, sur le bureau de mon ami. Livai devait levé le regard pour fixer l'enfant dans les yeux. La scène était juste... pas croyable...

Livai: Oi ! Descend de là avec tes sales chaussures ignobles avant que je ne te fasse malencontreusement tombé gamin !

Nao: J'ai besoin de vous monsieur !

L'audace que l'enfant avait prit ne reflétait absolument pas l'enfant que j'avais rencontré quelques minutes plus tôt.

Livai: Je m'en carre. J'ai des choses beaucoup plus importantes à faire.

Nao: Ma maman a besoin de vous !

Livai arqua un sourcil mais cela ne fit pas descendre sa colère pour autant.