CHAPITRE XXXI

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Alors je pris une décision, celle qui changea ma vie, celle qui contribua grandement à me transformer en la femme que je suis aujourd'hui!

- Charlie, Je t'aime vraiment et je n'oublierai jamais cette nuit mémorable que nous avions vécu... C'est au nom de cet amour que je ressens pour toi que je te pris de me donner cette arme et de t'enfuir tant que c'est possible!

- Non... Nonnn, me disait Lydia.

- Vous avez vos vie à bâtir... Ne penser qu'à moi serait tellement égoïste... Charlie donne moi cet arme.

- Désolé, soupira t'il avant de me donner son arme et de prendre ses jambes à son cou en obligeant Lydia à faire pareil.

En étant témoin des nombreuses larmes et cris de mon amie, je crus vraiment à sa sincérité et son dévouement à mon égard. Je me sentais si chanceuse... cependant, la voix du commissaire de police me ramena à la réalité.

- Zara, déposez cet arme tout doucement! Dit le jeune monsieur barbu, d'environ 1m80, teint bronzé présent à mon mariage en compagnie de Maya.

Je le fixa, je sentis alors dans ses yeux rougit, de la bienveillance.

- Laissez les partir... c'est moi que vous voulez!

- Oui et ne vous inquiétez pas, ils sont déjà partis... nous ne les poursuivrons pas... poser votre arme doucement... penser à votre enfant....

- NE ME PARLEZ PAS DE CE BÂTARD!!! Le coupai je en criant.

Je remarquais la petite foule apeuré de l'aéroport se cachant plusque possible. D'un élan je remarquais que le commissaire m'avait dit la vérité! Mes complices n'étaient plus à porté.

- Ok je me rends...

Sur ces mots, je jetai l'arme par terre, et laissai les gendarmes m'emmener.

- Doucement.... criait le commissaire à ses hommes pendant qu'il me passait des menottes et m'escortait hors de l'aéroport Diagne.

Dès ma sortie de là, une foule grandissante entourait les alentours de la voiture de police où j'étais gardé.

2 min après, le commissaire et un autre gendarmes, occupèrent les sièges avant puis me conduisirent jusqu'au Haut Commandement de la Gendarmerie Nationale et Direction de La Justice Militaire.

Lorsque je lus l'enseigne de ce bâtiment moderne peint en blanc... je m'interrogeai grandement...

- Mais qu'est-ce que je fais ici? Criai je.

Personne ne me repondit, cependant, le commissaire m'obligea à sortir et a pénétré dans les locaux de l'état-major du Sénégal, tandis que le commissaire me trimballait jusqu'à un bureau désert, je continuai de le questionner.

- Vous allez me violenter et ne rien me dire c'est ça? Vous m'aviez l'air juste et bienveillant! Me suis je trompé à votre sujet?

Il me regarda un moment et me répondit la mine désolé.

- Ce sont les ordres Mme... Je n'y peux rien.

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 15, 2021 ⏰

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