LES MARÉES HAUTES DE MON CŒUR 🌊

CHAPITRE XXIX

Lorsque j'ouvris les yeux, je me suprenais à occuper toute la largeur du lit. Je m'étirai tout en me disant que ma grossèsse avait complètement changé mes habitudes. Après avoir repris passablement mes esiprits, je me rendis compte de l'absence d'Idriss! Où avait il bien pu y aller? Toutefois, je m'en foutais un peu! Après m'être rafraîchis, je rejoignai la cuisine en quête de nourriture.

- Vous êtes là Mme? Me suprit Noura, une servante plutôt âgée.

- Ouff, tu m'as fait peur, Noura... Qu'est-ce qu'il y a à manger? La questionnai je.

Elle me regarda du haut de ses 1m65, d'un air soucieux.

- Noura... je te parle là? Renchissai je, un peu agacer.

- Oh excusez Mme... il y'a le reste du tchep de midi, des biscuits, des fruits, gâteau etc...

- Non, je crois bien que je vais aller m'acheter du poulet et des frites chez le vendeur d'à coté,merci. Lui dis je.

- Non...

-Quoi? M'étonnai je.

- Mr Idriss a laissé quelques ordres avant de sortir.

- Entre autres?

- Vous n'avez pas le droit ni de sortir ni d'avoir des appareils de télécommunications en votre possession! Me lança t'elle.

Je faillis m'évanouir tant le choque était grand... Pourquoi faire cela... que manigançait ce salaud d'Idriss! Pourquoi me priver de téléphone?

- Madame vous voulez que je partes en chercher?

- Non ça va, prépare moi un bol de salade de fruits! Stp. Lui demandai je.

Une foix cela finit, je partis me poser à la salle à manger, réfléchissant à un moyen de découvrir et déjouer le plan d'Idriss. Lorsque Noura m'emmena ma commande, Kadjidja fit son entrée dans la pièce. De part sa mine extrêmement serrée, elle vint chuchoter des mots à pes oreilles.

- Madame, je crois qu'il ssit tout et qu'il essaie de tout faire pour vous couper du monde... il a même passé en revue toutes vos affaires pendant que bous dormiez! Glissa t'elle à mes oreilles avant de vaquer normalement à ses occupations.

Je compris alors le jeu d'Idriss, il semblait qu'il se soit rendu compte de mon petit jeu et qu'il voulait se venger. C'était prévisible oui toutefois, comme Maya me l'avait mentionné plusieurs fois, j'avais un sursis de 1 mois, le temps que le baby naisse! Ainsi pendant les 2 semaines qui avaient été témoin du manège de Idriss .. Je me sentais encore plus acculé de toute part... et en plus si seule! Ma mère n'était pas là... je ne pouvais pas recevoir de visite et était très observé par tous dans cette maison.... Ainsi Kadjidja et Maya ne pouvaient avoir de contacts avec moi! Je restai dans le floue jusqu'à ce qu'Idriss et ma belle-mère rentrèrent de leurs balades accompagné de celle qui avait faillit me tirer une balle: Leïla! Assise en train de regarder un feuilleton Angolais et portugais appelé Mara: Une femme unique, je me levai sur mes gardes,

- Bonne arrivée à tous sauf à celle-là, la pointai je du doigt.... quelqu'un peut me dire qu'est-ce qu'elle faisait ici?