Chapitre 17 : Deux vies

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Nda : j'ai introduis le tout premier coéquipier d'itachi, Juuzo, pour accompagner Kisame dans les duos.

PDV Shisui :

- WEJDEN !

- QUOI ?! 

On était autour du feu de camps et on parlait chanson. Il a fallut que Deidara prononce le nom interdit pour qu'un débat enragé commence.

Sans grandes surprises, tout le monde était du même avis, à l'exception de Deidara mais bon- donc on finissait le repas dans une bonne humeur.

On est mercenaires, on vend au marché noir, on voyage à travers le monde ! Actuellement nous sommes en Italie, et c'est magnifique ! Je n'aurai jamais cru que c'était ainsi.

Cette année, j'ai appris à parler tellement de langues, j'ai vu tellement de cultures, j'ai découvert tellement d'œuvre, d'endroit. Je me suis forgé de véritable souvenirs inoubliables ! Mes compagnons sont tout aussi génial. Je ne regrette en rien d'être recherché.

Puis, quand on rentre au Japon, Obito nous accueille et nous couvre pour que les autorités ne nous retrouve pas.

La vie de criminelle, une vie de nomade...

- J'ai une question, fit soudainement Kisame, si un jour un de nous se fais prendre, on feras quoi ?

-ON VA LE SECOURIR ! Hurla Deidara, C'EST NOTRE COPAIN QUAND MÊME !

- Ça depends si il faut payer pour le récupéré... Si c'est Hidan qui faut récupéré et qu'il faut payer, ça en vaut pas le coup

- RÉPÈTE UN PEU POUR VOIR ?!!

Un fou rire générale résonna alors dans la forêt. C'était agréable, on se détendait.

- Bon je pense qu'il faudrait aller dormir,  proposa Yahiko, demain on se lève tôt.

Hidan s'étira en baillant bruyamment tandis que Kakuzu était partit se percher sur un arbre, il a pas perdu de temps, c'est sur.

Konan parlait au bord du lac avec Nagato... Il riait ensemble...
Ils étaient à deux... Ils étaient tous à deux...

Et puis y'avais moi qui rêvait de toi chaque nuit... Je pense à toi toutes les minutes...
J'viendrais... Je l'ai promis...
Et je tiens toujours mes promesses.

Je viendrais et je t'aiderais à remonter la pente...

- Shisui?

Je lève les yeux pour y voir Yahiko avec un sourire radieux.

- Oui chef ?

- Non je voulais juste demander pourquoi tu ne dormais pas.

Il s'assoit à côté de moi en admirant la lune. C'est vrai qu'elle était si lumineuse, si blanche, si clair...
Entouré de ses étoiles, le ciel était magnifique... Dans mes yeux les refletaient cette magnifique vision...
On en voyait pas autant à Konoha...

- Je réfléchissais. Répondis-je enfin après quelques minutes à admirer l'obscurité.

- Oh je vois...

Yahiko s'allongea dans l'herbe fraîche. Je restais mi-assis pour ne pas me laisser tomber dans les bras de morphée.

Bientôt il pourra vivre ces magnifiques moments... je reviendrais très vite. Ne m'oublie pas...
Je suis ton médecin à vie...

PDV Itachi

- Grand frère !!! Tu devrais pas dormir autant !

J'avais envie de le torturer pour qu'il me laisse dormir... J'ai mal et j'ai pas envie de sentir la douleur.... Donc je dors, au moins le temps passe vite.

- D'ailleurs Itachi t'as rien avalé ! Tu d-

Je me lève brutalement en essayant de faire abstraction de tout mes muscles qui se contractait et me brûlaient.
Je pris un stylo et une feuille pour écrire un mot à ce qui s'averrai être mon petit frère.

"Laisse moi dormir ou je te fais bouffer le sol"

J'étais pas d'humeur à blaguer et il avait très bien compris. Je me laisse alors tomber sur mon lit et ferme doucement les yeux...

- Okay... Lâche-t-il finalement, je vais faire un tour en ville alors. J'reviens tout à l'heure.

Je lâche un soupire de soulagement. Finalement il a lâché l'affaire. Et tant mieux.

Je me retrouve donc seul en train d'observer le plafond. Toujours relié à ces médicaments, qui j'avais l'impression, me faisaient plus souffrir qu'autre chose.

Je l'ai dit à Sasuke, à travers un papier, et il l'avait transmis à mon médecin.

Mais rien n'as changé.

J'avais envie de tousser mais j'y arrivait pas... Puis d'un coup tout se débloquait... Je galerais à respirer, et puis les jours passaient, plus j'avais du mal à garder un minimum de mouvement.

Et tout le monde le savait, alors pourquoi personne ne faisaient rien ?
J'étais perdu.
Puis, j'ai l'impression d'avoir oublié quelque chose, quelque chose d'important.

Mes pensées furent vite fait interrompu par ma mère qui venaient de rentrer dans la chambre dans une colère noir.
Je me suis directement relevé quand elle me gifla.
Je me tenais la joue en lui lançant un regard interrogatoire :

-ITACHI ! Arrête d'ignorer ton frère !!

Je ne l'ignorais pas. J'avais juste besoin de repos pour me soulager. Ce gamin ne comprenais vraiment rien à rien. Il est sûrement partit rapporter à mes parents que je l'avais virer... Alors que pas du tout.

Et puis ma mère est à cran, et elle passe ses nerfs sur moi j'ai l'impression. Avec Sasuke, elle est très douce. Tout le contraire qu'avec moi. Rare sont les visites où elle ne me frappe pas une fois.

Elle me faisait travailler, pour rattraper ces 2 ans loupé comme elle dit. Elle aimait tout contrôler dans ma vie actuellement.
Moi forcément j'étais contre. Comme si j'avais l'envie et surtout la force, aussi bien mentalement que physiquement, de faire les théorèmes de Pythagore ou je sais pas quoi.

Enfin, c'était ainsi et je ne pouvais rien y faire...

- La prochaine fois, parle mieux à ton frère.

Je ne lui ai rien enfin bon...

J'hoche la tête alors qu'elle inspecta les exercices que j'avais fais.
Ses yeux parcouraient les quelques pages avant qu'elle m'attrape une mèche de mes cheveux me forçant à avancer vers mon cahier :

- C'est faux.

Effectivement, je mettais trompé. Et maintenant que je le vois, je comprends.
Je gomme avec un peu de difficulté la page où était écrit l'exercice et commence à le réécrire avec les bonnes réponses pendant que ma mère était partie chercher un café.

Soudainement je sentis les muscles de mon poignet, de ma main droite, se tendre violement me faisant lâcher mon stylo dans un crie de douleur.

On aurait dit que ma main était figée, j'arrivais plus à la bouger, quand je la touche j'ai l'impression de brûler...
Je serai à m'emputer la main si je le pouvais... J'avais les larmes qui montaient aux yeux, je me tenais le poignet tellement fort pour couper ma circulation sanguine et espéré soulager ne serait un centième de douleur. Ma mère entra et appella directement le médecin qui m'y je ne sais pas combien de temps à arriver.

- Qu'est ce qui se passe, me demanda-t-il sans pression.

Je lui tend ma main me retenant de hurler à chaque fois qu'il la touchais... Ma mère aurait pas apprécié que je lâche ne serait-ce une larme, donc je ravale la douleur.

- Interessant, lâcha-t-il en notant quelques trucs sur son carnet, allonge toi s'il te plaît.

J'exécute ce qu'il dit alors qu'il me mit un masque un oxygène. Très vite ma vision fut brouillé et mon esprit sombra.

𝕮𝖔𝖒𝖕𝖑è𝖙𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙 𝕱𝖔𝖚 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant