Mais un jour, en sortant du travail, j'ai reçu un appel.
[Appel Entrant: ***]
J'ai hésité à répondre
Mais je décroche: Ouais ?
***: On peut se voir ?
Moi: Pourquoi ?
***: Si t'as le temps. Ne serait-ce qu'une minute
Moi: Non oublie moi
***: Stp
Moi: *en soupirant* Ouais j'arrive
J'ai raccroché et je me suis rendu en bas de son hall. Quand je suis arrivé, je me suis garé puis je l'ai appelé.
***: Oui ?
Moi: Descend
Puis je raccroche.
*** arrive devant moi tête baissée. *** hésite à monter dans la voiture. Je suis donc descendu et je me suis adossé sur le devant de ma voiture.
Je la regarde mais elle n'ose pas lever la tête.
Moi: Parle t'as une minute
***: Je suis désolée
Moi: Ok t'es pardonné aller Salam. Fais ta vie bonne continuation.
Je tourne les talons mais je n'ai pas eu le temps de monter dans ma voiture qu'elle m'a attrapé par le bras.
Au moment de me retourner, elle a retiré ses mains posées sur mon bras.
Moi: Plus jamais tu repose tes mains sur moi. Ok ?
***: Stp. *tout bas* Pars pas (toujours tête baissée)
Je la regarde de haut en bas. Puis j'ai eu un moment de réflexion. Le faite d'agir comme ça ne mène vraiment à rien.
Et la mes pensées ont changé. Je ne ressentais plus de haine à son égard. J'éprouvai seulement de la tristesse pour elle. Elle me faisait de la peine tout simplement.
Moi: Monte
Elle monte dans la voiture sans discuter.
Moi: Écoute Siana. T'es une fille bien. Mais ta jalousie te perdra. T'es trop possessive, c'est à peine si t'arrive à faire ta vie de ton côté.
Siana: Je sais Athman. J'te demande de m'excuser. C'est vrai parfois je ne vois que le mauvais côté. Un couple fonctionne à deux.. J'ai été aveuglé par la peur de te perdre. Laisse moi une chance stp Athman. Laisse moi te montrer que je ne suis pas que possessive, que je vaux autre chose.
Moi: Ouais
Siana: Que je ne suis pas que ...
Moi: Je t'ai dis ouais
Siana lève la tête étonnée.
Siana: C'est vrai ?
Moi: Ouais
Siana, le sourire aux lèvres: Je t'aime Athman.
On continue notre discussion puis avant de rentrer chez elle, elle me dépose un baiser sur la joue.
Bref ! On était à nouveau à deux. Mais cette fois ci, elle était décidé à changer.
Bref je vais voir Souley à l'hôpital. Il jouait avec son fils. C'était un beau tableau. Je n'ai pas voulu les déranger alors je n'ai pas tardé.
Les jours se suivent et se ressemblent. Une semaine, un mois puis deux c'était toujours la même chose. Jusqu'au jour où, Din me propose de rendre visite aux cousines de Manel (la fille de la plage, partie 13). C'était un week-end, on était en mars. Ce jour là, il faisait beau mais il y avait du vent.