Chapitre 13: L'Onyx

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Petites notes: 

Bonjour à tous,

Chers lecteurs et chères lectrices,

J'espère que vous allez bien et je vous souhaite une très bonne lecture! (Avec une petite mélodie à mettre en boucle).

N'hésitez pas à laisser des commentaires et à mettre une petite étoile, cela me ferait plaisir.

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Ce matin là, Daenys se réveilla à l'aurore et n'arrivais plus à se replonger dans les bras de Morphée. Elle se traîna hors de son lit à baldaquin, en inspectant l'infime lueur présente dans le ciel, par sa fenêtre. L'adolescente étira ses muscles endoloris dans un bâillement indiscret, avant d'ouvrir la fenêtre afin d'aérer la pièce. Elle resta placer quelques minutes devant cette ouverture pour respirer la brise matinale qui éveillait ses traits fatigués. Daenys prit le temps d'écouter les douces mélodies que réalisaient les oiseaux virevoltant dans les airs.

Elle s'assit devant sa coiffeuse et vint démêler sa longue chevelure avec ses doigts fins, en observant son reflet dans le miroir. Daenys n'aimait guère son teint laiteux qui lui accentuait sa faiblesse physique. Elle s'était décidée et allait suggérer à Alara de lui apprendre à manier les armes. Même si cette femme pouvait être aussi perfide qu'une vipère, elle savait qu'elle n'aurait pas meilleure professeure. Daenys brossa ses cheveux avant de les unir en tresse, à l'aide de son ruban noir que lui avait offert cette femme,  Kera.  Ca lui arrivait de repenser à ce jeune couple, elle espérait de tout cœur que leur famille vive dans le plus grand des bonheurs. Daenys se leva de sa chaise en laissant choir sa chemise de nuit jusqu'à ses pieds et elle attrapa une robe de couleur marronée avant de l'enfiler. Lorsqu'elle lassa son corsage, elle eut l'idée de sortir se dégourdir les jambes et de prendre du temps pour elle, avant d'affronter "madame".


Daenys flânait dans les longs couloirs silencieux avec délicatesse afin de ne réveiller personne. Une fois à l'extérieure, elle erra dans le grand jardin fleuri. En vérifiant que personne ne pouvait l'apercevoir, elle cueillit une rose blanche en faisant attention de ne pas se blesser avec ses épines. L'adolescente l'apporta à ses narines en inspirant son parfum avec bonheur, tout en marchant. Durant sa balade matinale, elle s'émerveilla devant le levé du jour, prestigieux à ces yeux. Ce genre de spectacle la rassurait et l'émerveillait également. Daenys a toujours été une jeune fille modeste qui se contentait du peu qu'elle avait, même le luxe ne l'intéressait guère.

Elle fit un détour jusqu'aux écuries où elle s'engouffra précautionneusement, en caressant tendrement les chevaux avec sa paire de yeux vairon. Daenys apporta sa main sur l'encolure d'un étalon noir avec timidité, lorsqu'elle vit la carrure de celui-ci. Le cheval robuste sortit un léger hennissement nerveux avant de taper un sabot, contre le sol de son box.  

Jupiter: La rose cuivréeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant