je me réveilla avec difficulté, je santi des draps doux sur moi, je voulu prendre mes main pour me mettre assise sur le lit mes je ne pouvais pas, je regarda et vue que j'étais attaché d'une main au lit, bordel.
t/p : au non mes enfants.
mes chérie, je parri que c'est se battard de Edwards qui les a, il va leurs faire du mal non non non il faut que je sorte d'ici, je regarda au tour de moi mes rien a ma portée ne pouvez me sortir de la a moins que...... PUTAIN IL A PRIT MON SOUTIEN GORGE 😳 puis la porte souvra.
Edwards : bonjour ma belle. (sourie)
t/p : OÙ SON MES ENFANTS ?
Edwards : je ne t'avais pas dit de ne pas essayer de t'en fuir ?
t/p : OÙ SON MES ENFANTS ENCULER ?
Edwards : JE T'INTERDIT DE ME PARLER SUR SE TON. (s'approche dangereusement de moi)
de peur je recula.
t/p : détaché moi.
Edwards : non.
t/p : ou son mes enfants ?
Edwards : NOS enfants comme tu dit son en train de jouer à la balançoires que j'ai faite installer spécialement pour eux.... Mes se n'est pas le sujet dont on doit parler...... tu crois que je vais leurs faire du mal pas vrai........ tu leurs a raconté n'importe quoi sur moi...... Je suis très déçu de toi ma belle.
t/p : je ne suis pas ta belle mes ton pire cauchemar.
Edwards : au ouais un cauchemar bien sexuel j'aime ça. (sourie) si tu essaye de me faire peur en me balançant des menaces à la figure ça ne va pas marcher.
T/p : pourquoi tu les veux vraiment eux tu peux pas faire des enfants avec une autre ?
Edwards : malheureusement non car c'est toi que j'ai choisis.....(à l'oreille) depuis le début c'est toi que j'ai choisi.
t/p : TU DIT N'IMPORTE QUOI, JE VEUX VOIR MES ENFANTS. (larme au yeux)
Edwards : chute chute chut sèache t'es larme. (essuie mes larmes)
t/p : je veux voir Mmes enfants.
Edwards : se soir.
t/p : pourquoi moi ?
Edwards : au départ mon père avait déjà envoyé c'est homme pour s'occuper de vous, mon père m'avait dit que il me fallait une femme et des enfants pour reprendre l'affaire familiale et quand je t'es vue a la fenêtre mmmmm tu étais parfaite mon dieux se que tu étais sauvageune (rigole)
t/p : tu et complètement malade.
Edwards : au départ je pensais que tu allais avorter et j'ai laisser tomber.... Mes quand j'ai vue que tu avais des enfants j'ai regardé les dates de naissance de nos enfants, la je me suis dit au la petite chipie.
t/p : tu et un enculer de première.
il s'approcha de plus près de moi et me prit le menton avec sa grande main, il avait un regard énervé.
Edwards : ne t'aige pas déjà dit de ne pas me parte sur se ton ?
t/p : (a peur)
Edwards : bref j'ai été très énervé de savoir que tu voulait t'enfuir en France avec nos enfants. (énervé)
il serra ça main un peut plus sur mon menton, je grimassa et il me lâcha.
Edwards : maintenant, soit tu reste sens essayé de t'enfuir parce que c'est très risquer dans un domaine mafieux ou soit..... O merde il n'y a que cette proposition.
t/p : MES VA TE CHERCHER D'AUTRE GAUSSE.
Après ma phrase je me reçu une gifle.
Edwards : tu te rappelle de celle là pas vrai ? Tu préfères tu reçevoir une gifle ou tu faire violer ?
t/p :........
Edwards :c'est bien se que je me disais, je reviens avec les enfants, tu va tout leurs raconter, que je suis leurs père que je suis gentil et que maintenant vous aller vivre ici.
t/p : mes les enfants ne peuvent pas vivre dans un monde de mafieux comme toi, tu ne peux pas leurs jeter ça à la figure. (regard noir)
Edwards : c'est vrai, c'est pour ça que j'ai un empire financier comme couverture.
t/p : tu penses que à ta gueule.
Edwards : non pas du tout ma belle au contraire...je fais tout ça pour vous, parce que j'ai un besoin non expliqué de protéger quelque chose, je pense que je deviens plus humain en se moment.
t/p : toi un besoin de protéger, tu te fou de moi, bon allez ça suffit détache moi.
Edwards : c'est moi qui décide et j'ai dit non.
T/p : et moi j'ai dit oui.......... tu a enlever tout le objet qui pourrait me servir à me détaché pa vrai ?
Edwards : exacte, et je n'est pas oublier ton soutien gorge cette fois, c'est moi qui te les enlever. (sourie)
T/p : sale pervers de violeur (regard noir)
Edwards : bon je te laisse ma belle je reviendrai te voir plus tard.
il s'approcha, me prie le menton comme tout à l'heure et m'embrassa de force, puis il sourie.
T/p : ne m'approche pas. (regard noir)
Edwards : ooo se que tu et sexy (rigole)
puis il partie en ferment la porte à clé.
t/p :il le dégouté.
il faut vraiment que je sorte, je regarda encore une fois au toure de moi et vie une lampe et une ampoules, je cassa l' ampoules et récupéra le bout de file en fer et réussi à me détacher, après ça je fonça jusqu'à la porte pour l'ouvrir et sortie, il faut que je trouve mes enfants, je sorta de la chambre sens faire de bruit et traversa le couloirs, je regarda à une fenêtre où il y a la balançoires mes les enfants n'étaient pas là, je dèssenda des escaliers puis je vie james et Julia en train de jouer dans un salon, je regarda au tour de moi, aucun garde et aucun Edwards en vue, je fit signe au enfants pour qu'il me voit.
Julia : maman.
James et Julia courut vers moi et me fit un gros câlin.
t/p : mon diable vous aller bien, on ne vous a pas fait de mal ?
Edwards : non pas du tout, on t'attendais mon amour.
je me retourna et le vie debout avec une boîte de chocolat à la main et son sourire de merde.
James : o ouais des chocolat. (part prendre des chocolats)
Edwards : tien mon grand prend celui que tu veux.
j'étais chocer de se que je venais de voir.
Julia :tu vois maman papa et gentille, il est pas méchant.
Edwards : m'est bien sûr que je suis gentil pas vrai ma chérie ?
t/p : oui.
Edwards sourie après ma réponse, il a tout se qu'il veut cette enculer.
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Une Vie prédestiné
Adventureune belle famille qui était heureux, jusqu'au jour où le père de cette famille et élu président des États-Unis d'Amérique, la vie de l'une des filles va être chambouler en quelques jours. Pourquoi me prenne t'il pour cible ? qu'est-ce que je vais...