Une Vie prédestiné

la Rentré

t/p : pourquoi tu refuse de me le dire ?

Edwards : je suis pas prêt à te le dire c'est quelque chose de délicat.

t/p : d'accord, bon goûtons se dessert.

Edwards : (sourie)

t/p : demain c'est la rentrée pour les enfants ?

Edwards : oui, dans leurs nouvelles école.

t/p : et qua telle de mieux cette école ?

Edwards : c'est une école privée ou se trouve touts les autre enfants de riche, de pdg de mafieux enfin les petite mafia ect...

t/p : je ne suis pas vraiment d'accord avec cette avis.

Edwards : de toute façon on ne peut pas faire marche arrière.

t/p : si ça se passe mal je les remets à leurs anciennes écoles automatiquement.

Edwards : très bien on fait comme ça.

t/p : à propos des vacances espagne, on pard quand ?

Edwards : normalement après la black soirée.

t/p : c'est quoi la black soirée ?

Edwards : une fête de riche.

t/p : j'aimerais vraiment pouvoir parler à mes Parents.

Edwards : je ne sais pas si c'est une bonne idée.

T/p : si tu veux te faire pardonner c'est déjà un bon début, t'inquiète pas je ne dirai rien, pour le bien des enfants...... Ils on besoin d'un père.

Edwards : très bien, je te redonnerais ton téléphone demain matin.

t/p : merci..........j'ai vraiment l'impression d'être une prisonnière tu sais ça me ne me plaît pas du tout.

PDV :Edwards

je lui en parle ou pas, non si je lui dit que nous sommes en pleine guerre de gang et que la mafia corèenne cherche à trouver mes point faible pour m'atteindre t/p va vouloir partir avec les enfants pour leurs sécurité, mes ça reste un mauvais plan, si elle part avec les enfants ils seront encore plus vulnérable, c'est aussi pour ça que je les garde sous ma surveillance.

Edwards : ne t'inquiète pas tout ça va changer.

t/p : je l'espère.

Edwards : pour les vacances en Espagne, j'ai prévu un planning très chargé.

t/p : les enfants vont bien s'amuser.

Edwards : pour ça tu peux compter sur moi.

après le repas on a fait une petite balade dans le jardin, on a discuté des enfants et tout et de rien.

t/p : (baille)

Edwards : tu et fatiguée ?

t/p : oui un peut.

Edwards : tu veux aller te coucher ?

t/p : j'aimerais mes on me force à dormir avec le père de mes enfants.

Edwards : o c'est rien, et puis le lit et relativement grand pour au moins 3 personnes donc ne t'inquiète pas tu a de la place.

t/p : mm, bon je vais y aller, bonne nuit.

Edwards : bonne nuit.

puis elle partie, je m'assie à côté de la fontaine, j'espère qu'elle va me pardonner touts ce que je lui et fait, j'ai encore du travail, on a une marchendise à aller chercher.