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Three months later | ACCIDENT |BETTY

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Three months later
| ACCIDENT |
BETTY

Trois mois sont passés depuis cette fameuse journée avec Jughead, sûrement l'une des meilleures de toute ma vie. Après ça, nous avions, comme promis, fait comme ci de rien n'était, et avions repris le cours de nos vies habituelles, moi auprès de Archie et lui auprès de Veronica. J'étais à présent enceinte de quatre mois, et je m'étais vraiment attacher au bébé, beaucoup trop, et je savais que j'allais le regretter lorsqu'il naîtra et que je devrais le donner à Veronica et Jughead. En parlant, nous étions tout les trois devenus très proches. Evidemment, Veronica et Archie ne savaient rien, sinon Veronica et moi ne serions pas aussi proches.

J'étais actuellement avec Cheryl, Toni, et Kevin. Nous étions dans un magasin de décoration parce que je cherchais des rideaux pour ma salon. Enfin, je riais en voyant Kevin pousser Toni qui était dans le cadis. C'est deux la sont de vrais gamins, et j'ai l'impression qu'il ne sont pas prêt d'évoluer ou grandir. Cheryl et moi les regardions, l'air dépités, avant de reprendre notre conversation à propos de Toni et elle. En ce moment, c'était tendu entre elles, elle n'arrêtaient pas de se disputer à cause du mariage. Là où Toni voulait quelque chose de; simple, élégant, et discret, Cheryl voulait quelque chose; d'extravagant, marquant, et grandiose. Là où Cheryl voulait que le thème couleur soit; rouge, rose clair, et blanc, Toni voulait du; lavande, du bleu ciel, et du beige. Elles n'arrivait tout simplement pas à se mettre d'accord et c'était insupportable de les voir se disputer pour rien. De vraies gamines!

- Betty, chérie, tu es d'accord pour dire que mes idées sont meilleures que les siennes?

- Ouais, dis-je en soupirant.

En réalité, je mentais. je n'étais d'accord avec aucunes des deux. Les idées de Cheryl étaient bien, cela rendrait sûrement très romantiques et chaleureux, mais l'extravagance qu'elle voulait n'allait pas avec les couleurs. Quand à Toni, elle avait un bon choix de couleur, mais ce n'était pas des couleurs faites pour un mariage. Evidemment, je ne leur en dirais jamais, parce qu'il ne s'agissait pas de mon mariage, mais si j'avais été elles, j'aurais choisis comme thème de couleur; blanc, beige, et marrons. Quelque chose de très; l'élégant, sobre, et discret. J'aurais fais un autel assez simple avec des roses; blanches, rouges, et roses accrochées dessus. 

- Tu n'as pas l'air d'accord, me dit Cheryl, elle aussi en soupirant, ou alors, tu t'en fous?

- Non, je ne m'en fou pas. C'est juste que c'est votre mariage, pas le mien, alors si vous êtes pas capable de vous décider sur le thème, ne vous marier pas.

Je souriais, me trouvant brillante. De quoi est-ce que tu parles me demanderiez vous? Je ne vous répondrais que deux mots: psychologie inversée. Dire quelque chose à Cheryl qui savait allait l'énerver, afin qu'elle ravale son égo et qu'elle aille s'excuser auprès de Toni, lui promettant qu'elle arrêterait de se disputer auprès d'elle pour quelque chose d'aussi stupide. Evidemment, ça fonctionna, Cheryl me lança un regard et partie prendre Toni dans ses bras, lui disant qu'elle s'excusait et qu'elles trouveraient, ensemble, une solution. Toni, comprenant que j'étais à l'origine de ce soudain changement de position, me remercia du regard. Je lui souriais, puis je me tournais vers les rideaux, afin de choisir le bon, parce que c'était à l'origine ce que j'étais venue faire ici. Je finissais par en trouver, des voilage, qui étaient des rideaux transparents, de couleur banche.

Je prévenais Cheryl, Toni, et Kevin que nous pouvions y aller, alors nous partions vers la caisse et Cheryl paya mes rideaux, afin de me remercier de les avoir réconcilier, elle et Toni. Après que Cheryl ait payé, nous retournions à la voiture de Cheryl. Je montais à la place passager, étant trop fatiguée pour conduire, Cheryl et Toni montèrent à l'arrière, et Kevin monta à la place du conducteur. Il conduit jusqu'à chez lui, avant de nous saluer, et de rentrer chez lui afin de rejoindre Fangs. Cheryl hérita de la place de conductrice, et déposa Toni à Thislehouse, lui disant qu'elle allait d'abord me déposer et accrochés mes rideaux, avant de rentrer.

Sur la route jusqu'à chez moi, Cheryl et moi avions chanter les chansons qui passaient à la radio et que nous connaissions toutes par cœur, tellement nous étions amatrices de musique. Une fois arrivées, Cheryl gara ma voiture devant l'allée de mon garage avant que nous sortions de ma voiture et que nous rentrions chez moi. Nous nous installions dans le canapé et je servais à Cheryl un verre d'eau. Nous discutions de tout et n'importe quoi, et elle entama la conversation sur un sujet qui fâche. Jughead, moi, et le bébé. Elle me reparla de cette journée d'il y a trois mois, évidemment elle savait, avant de parler du bébé. Je n'avais jamais admis devant elle que j'aimais ce bébé et que je voulais le garde et l'élever, mais elle le savait. C'était ma meilleure amie après tout, elle me connaissait par cœur.

- Sérieusement, B, je sais que t'aime pas parler de ça, mais il faut que tu fasses quelque chose, tu ne vas pas laisser passer ta chance d'avoir un bébé à toi, parce que tu n'as pas le courage d'avouer que tu aimes ce bébé.

- Cheryl..., lui dis-je en caressant doucement mon ventre, arrête ça...

- Non! J'arrêterais pas! Il faut bien que quelqu'un dise tout haut ce que tout le monde pense tout bas! Tu es...tu m'énerves! Tu es incapable de dire "j'aime mon bébé" alors qu'on sait tous que tu l'aimes et que devoir te séparer de lui te tuera à petit feu! Dis le, c'est pas compliqué, putain!

- Tu veux m'entendre le dire, très bien! J'aime mon bébé! Voilà, t'es contente! Maintenant dégage! J'en ai marre de toi! Barre toi! Je veux plus te voir!

Je la prenais par le bras, doucement ne voulant pas lu faire mal malgré le fait que je lui en voulais, puis je la conduisais jusqu'à la porte, avant de l'ouvrir et de la foutre dehors. Après ça, je lui fermais la porte lui disant d'aller se faire foutre. Elle me rétorqua d'aller aussi me faire foutre et de me démerder avec mes rideaux. Je soupirais et versais des larmes. J'aurais du garder mon calme, mais l'entente de tout ce qu'elle avait dit, plus les hormones avaient fait qu'il m'avait été impossible de rester sereine. Enfin, je prenais mes rideaux et montais sur ma table à manger afin de les accrocher. J'accrochais le premier sans aucun problèmes, mais ce ne fût pas la même chose pour le second. Il était trop loin, alors en voulant l'accrocher à la tringle à rideau, je tombais au sol, me cognant violement la tête au sol, avant de perdre conscience.

SICK LULLABYWhere stories live. Discover now