29 | I LOVE YOU

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| I LOVE YOU |BETTY

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| I LOVE YOU |
BETTY

J'étais en train de lire un livre appelée "Desire", depuis le début de mon deuxième trimestre de grossesse, je n'avais pu les mêmes sens d'intérêt, j'étais devenue fanatique de sex, je lisais que des films sur ça, je regardais tout un tat de film pornographique, je lisais des livres érotique, et je demandais toujours à Jughead de faire l'amour, ce qu'il acceptait avec plaisir. En parlant de lui, j'attendais le retour de Jughead avec impatience. Il m'avait confier qu'il avait eu une merveilleuse idée pour démarrer son nouveau et qu'avant de le démarrer, il fallait l'avis de son éditeur sur l'idée. Je lui avais souhaiter bonne chance, lui disant que j'étais sûre que son idée était merveilleuse, malgré le fait qu'il n'ait pas voulue me la raconter.

- Je suis rentrée, mon amour, me dit Jughead en fermant la porte d'entrée derrière lui.

En entendant ça, je me mettais à rêver de ce que notre vie aurait pu être si Veronica et Jughead n'était pas marier. Je n'aurais sûrement pas à m'inquiéter pour le bébé pour commencer, et Jughead et moi serions ensemble officiellement, voir même fiancer ou marier. Je souriais à cette idée. Je rêvais du jour, qui n'arriverait sûrement jamais malheureusement, où j'avancerais en robe blanche, aux bras de ma mère, jusqu'à l'autel afin de rejoindre Jughead. Cette pensée était stupide, elle n'arrivera jamais.

Je saluais Jughead après qu'il ait fermer la porte. Il vint directement vers moi et m'embrassa tendrement, comme chaque soir après qu'il soit rentrer du travail. Je tenais dans mes bras, notre fille, à peine âgée de deux mois. Elle était magnifique, le portrait craché de Jughead, avec mes yeux. C'était le plus beau bébé qu'il m'ait été donné voir. Jughead embrassa la tête de notre fille en souriant. Je souriais moi aussi en me disant qu'il s'agissait de ce dont j'avais toujours rêver. Jughead, notre fille, et tout ce bonheur que je ressentais avec eux. Rapidement, je remarquais à mon doigt, une bague en argent ornée d'un magnifique diamant. Wow!

- Hey, mon cœur. Les nouvelles sont bonnes?

- Très, dit-il d'un ton excité, mon producteur adore l'idée. Sûrement même plus que moi, ajouta-t-il en riant. Il veut le premier chapitre pour ce week end.

- C'est génial! Fonce écrire dans ce cas là.

- Non, je préfère rester avec toi pour le moment.

Je souriais. Il vint vers moi et me demanda de me lever du canapé, alors je me levais et je posais mon livre sur la table, avant de venir m'installer sur Jughead lorsqu'il me demanda de le faire. Il enroula ses bras autour de moi tandis que je me blottissais dans ses bras, le sourire aux lèvres. Jughead commença à me parler de son éditeur et de ce qu'il avait dit sur son nouveau livre, tandis que je buvais ses paroles. J'étais tellement heureuse auprès de lui et j'espérais de tout mon cœur que son livre serait un véritable succès. De toutes manières, il le serait forcément, Jughead est merveilleux et il écrit des merveilles. Aucune personne sensée ne pourrait pas aimer son livre. Je lui redemandais encore une fois si je pouvais savoir le sujet de son livre.

- Non, tu peux pas, mon amour. Tu devras attendre qu'il soit terminer comme ça, tu pourras le lire et me donner ton avis.

- D'accord, dis-je en souriant, j'attends avec impatience dans ce cas là. J'espère que tu auras finis rapidement alors.

- Ce serait probablement le cas, aucun sujet ne m'a jamais autant inspiré.

Je souriais. Les écrivains ont toujours dans leur vie une histoire qui les passionne, qui les transcende, et j'étais heureuse que Jughead ait trouver la sienne. Je me blottissais contre lui et caressais sa main qui était posée sur mon ventre. En parlant de mon ventre, ça m'amenais à penser au petit bébé qui grandissait en moi. Hier, Jughead et moi étions aller à l'échographie du deuxième trimestre, qui avait confirmé que le bébé était bel et bien une fille, comme je m'en doutais.

- Comment est-ce que vous avez prévu d'appeler le bébé avec Veronica...?

- Veronica veut qu'elle s'appelle Harper, Victoria, ou Apolline, mais je m'en fou de comment elle veut l'appeler. C'est pas sa fille. C'est la nôtre, dit-il en souriant. Mon cœur, comment est-ce que tu veux que notre fille s'appelle?

Lorsqu'il prononça ses mots "C'est pas sa fille. C'est la nôtre", je compris quelques choses. Je compris que quelqu'un dans cette histoire allait souffrir, que c'était inévitable. Quelqu'un aurait le cœur brisé à cause de cette histoire. Probablement Veronica ou moi. Je comprenais également que Jughead et moi étions beaucoup trop accro l'un à l'autre. Nous étions comme des drogues l'un pour l'autre. Et je ne savais pas si c'était une bonne chose ou alors une très mauvaise chose.

- Uhm je ne sais pas. J'aime bien Juliet, tu aimes ou pas...?

- Bien sûr, j'adore ce nom. Je ferrais tout pour convaincre Veronica d'appeler le bébé comme ça.

Je souriais légèrement, contente que le prénom plaise à Jughead. Je restais dans ses bras durant toute la soirée puis nous discutions du bébé, de ce que nous allions faire pour lui, de quelle manière Jughead quitterait Veronica afin que l'on puisse être ensemble pour élever notre bébé. J'étais heureuse qu'il se décide à quitter Veronica, mais d'un autre côté, je compatissais pour elle. Elle allait se retrouver sans rien. Après que Jughead l'ait quitté, il ne lui resterait plus que ses larmes pour pleurer et ça me rendait triste pour elle. Veronica ne méritait pas ça. C'est quelqu'un de bien. Je demandais donc à Jughead de la quitter avec le plus de délicatesse possible et d'attendre le meilleur moment pour le faire. Il me dit que c'est ce qu'il comptait faire parce que malgré le fait qu'il n'éprouvait plus de sentiments amoureux envers elle, il l'aimait encore, d'une manière amicale. Elle l'avait aider et pousser à réaliser ses rêves et ça n'était pas quelque chose qu'il pourrait oublier, elle garderait toujours une place dans son cœur.

- Mais malgré tout ça, tout ce qu'elle a fait pour moi, c'est toi que j'aime. Je t'aime, Betty Cooper.

- Jughead Jones, je t'aime aussi.

Notre discussion fut interrompue par un appel de Cheryl. Qu'est-ce qui lui arrive?

- Betty, me dit Cheryl, l'air complètement paniquée dès que je répondais à son appel, j'ai besoins de ton aide...je...Oh mon dieu! Non! Lâchez moi s'il vous plait...STOP..., cria-t-elle avant que l'appel ne se coupe.

SICK LULLABYWhere stories live. Discover now