Betty Cooper est une jeune femme de 24 ans, parce qu'elle a besoins d'argent, elle s'inscrit dans une agence de mères porteuses, afin d'elle même en devenir une.
Que va-t-il se passer lorsqu'elle deviendra finalement mère porteuse?
(Fun fact: ce tit...
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| MEET BETTY | BETTY
Une fois que les dernières notes de la chanson Marry Me de Bruno Mars retentirent dans la salle, une tonnerre d'applaudissement. Je souriais, les remerciais, puis je quittais la scène. Je partais rejoindre la table où se trouvait; Cheryl, Toni, Jughead, un homme qui était sûrement son père, et une petite fille que je ne connaissais pas. Cheryl et Toni me prirent dans leurs bras, en me remerciant et en me disant à quel point j'avais bien chanté. Je souriais, et les remerciais. Après que nous ayons arrêter de nous serrer dans nos bras, je regardais Jughead, je n'avais pas arrêter de le regarder durant toute la chanson.
- Tu as été superbe sur scène, me dit-il tandis que je rougissais.
- C'est gentil, Jug.
- D'ailleurs, Betts, j'aimerai te présenter mon père, Fp et ma petite sœur, Jellybean.
Je souriais et je saluais Fp et Jellybean. Rapidement, Jellybean tendis les bras vers moi, alors je le prenais dans mes bras en souriant. J'aime tellement les bébés et les enfants en bas âges! Il n'y a rien de plus mignons à mes yeux! A part Jug, me souffla ma conscience. Oui, à part Jughead, et Archie qui était mon petit ami, je me devais de ne pas oublier ça. En parlant d'Archie, je crois qu'il ne devrait pas tarder à arriver. J'ai hâte de le voir! Enfin, je commençais à parler et faire connaissance avec Jellybean. Cette petite fille était adorable, j'adorerais que la fille soit comme ça plus tard. En parlant de petite fille, j'étais persuadé que le bébé que je portais allait être une fille, j'avais une sorte d'intuition. Sûrement l'instinct maternelle, ou quelques choses comme ça.
C'était bizarre de ressentir de l'instinct maternelle et une sorte d'amour envers ce bébé que je ne verrais malheureusement jamais grandir. Je commençais à me dire que Cheryl avait raison, peut-être allais-je finir par m'attacher au bébé? Peut-être même que je l'avais déjà fais? Non. Je n'allais jamais pouvoir approcher ce bébé, du moins pas avant ses dix-huit ans, alors il ne fallait pas que je m'attache. Je jetais un rapide coup d'œil vers Cheryl. Je ne savais pas pourquoi, mais je lui en voulais. Je lui en voulais sûrement d'avoir su voir et comprendre ce que je n'avais pas su voir et comprendre. Elle connaissais trop et ça avait finit par se retourner contre moi. J'étais le genre de personne qui était tout aussi impulsive que prudente, alors lorsqu'on me mettait en garde contre quelques choses, cela me donnait encore plus envie de faire la choses en question, alors évidemment, alors que Cheryl m'avait que dit que je regretterais de faire mère porteuse, ça m'avait conforter dans l'idée de le faire. Evidemment, je ne rejetais pas la faute sur Cheryl, je n'avais pas le droit de faire ça, ça avait été ma propre décision, mais je n'étais pas ravie qu'elle ait su voir ce que je n'arrivais pas à voir.
- Bee, on peut aller chercher à boire? me demanda JB, en posant sa tête sur mon épaule
- Oui, bien sûr, JB.
Je me levais donc de sur ma chaise, puis je me rendais au bar avec Jellybean dans mes bras, en me rendant au bar, je lui demandais ce qu'elle voulait boire, alors elle demanda si elle pouvait prendre un verre de Coca Cola, même si son père ne voulait pas qu'elle en prenne habituellement. Je lui répondais que oui, que ce sera notre petit secret, puis je commandais son Coca Cola auprès de Fangs, avec qui j'engageais une conversation. Il commença à me parler de mon anniversaire, me demandant ce que je voulais recevoir comme cadeaux. Je n'avais aucune idées de ce que je voulais, j'avais même complètement oublier que mon anniversaire aurait lieu dans moins d'un mois. J'avais d'autre chats à fouetter.
- A vrai dire...je n'y ais pas réfléchis..., dis-je en réfléchissant à ce que je pourrais vouloir.
- Oh d'accord. Dans ce cas, je choisirais par moi même, je suis certaine que tu vas adorer, dit-il en servant à Jellybean son verre de Coca Cola.
Nous le remercions, puis nous attendions que Jellybean ait finit son verre pour retourner à la table où nous étions. Une fois arriver à la table, je posais Jellybean sur les genoux de Jughead avant de m'installer à côté d'eux deux. Nous commencions à nous amuser tous les trois en riant et en souriant. A un moment, mon regard croisa celui de Fp, le père de Jughead, il me sourît et je pus parfaitement lire dans son regard. Il pensait que nous ressemblions à une famille à nous amuser comme ça et à materner Jellybean comme si elle était notre propre fille. Peut-être qu'un jour, si tous se passe bien, cela arrivera.
Enfin, pas forcément comme ça. Dans l'idéal, Jughead et moi serions les parents du bébé que je portais, et Archie et Veronica seraient le beau père et la belle mère du bébé. Evidemment, cela n'arrivera jamais, mais j'avais le droit d'espérer. Malgré le fait que l'espoir n'apportait que du malheur d'après les dires de Spencer Hasting dans Pretty Little Liars. Enfin, après avoir échanger un bref regard avec monsieur Jones, je reportais mon attention que Jellybean et Jughead. Il était en train de la chatouiller alors qu'elle riait aux éclats. Je commençais aussi à la chatouiller en riant.
- D'ailleurs, Betty, je te préviens...le père de Veronica est comment dire...? Dit-il en cherchant ses mots. Un connard. Voilà, c'est un connard, alors si tu veux, tu peux demander à l'un de tes amis de t'accompagner...pour t'aider à encaisser les piques qu'il va te lancer.
- Oh d'accord. Je demanderais à Cheryl ou Toni de venir. Enfin, Cheryl, Toni travaille au White Wyrm demain soir.
Après avoir dit ça, je lui demandais pourquoi il disait que le père de Veronica était un connard, je lui demandais si il s'entendait bien. Il me répondit que non, et que Hiram, qui était le nom du père de Veronica, était un vrai monstre d'égoïsme, près à tout pour l'argent, même à sacrifier sa propre famille. Cette description le faisait penser à ce roi, Midas, qui avait détruit sa famille par vanité et cupidité. Enfin, il s'inquiétait pour moi, il avait peur que les remarques que Hiram pourrait me faire m'atteignent, je lui répondais donc qu'il n'avait pas à s'inquiéter et que j'avais encaisser bien plus que de petites remarques, en faisant évidemment référence à mon père, qui avait tout de même essayer de me tuer à deux reprises.
