Betty Cooper est une jeune femme de 24 ans, parce qu'elle a besoins d'argent, elle s'inscrit dans une agence de mères porteuses, afin d'elle même en devenir une.
Que va-t-il se passer lorsqu'elle deviendra finalement mère porteuse?
(Fun fact: ce tit...
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| I'M SORRY | BETTY
Quelques jours après l'accident, j'avais finalement pu sortir de l'hôpital. Les médecins avaient voulus me garder en observation pendant quelque jours de plus a cause d'un peu problème de tension, qui était à présent réglée. Enfin, j'étais en train de faire les cartons afin d'aller emménager au Pembroke avec Veronica et Jughead. Je n'avais vraiment pas envie d'y aller, mais je leur avais donner une réponse positive à l'hôpital, je ne pouvais plus faire machine arrière. De toutes manières, ce n'était qu'une histoire de quelques mois au tout au plus. Après avoir terminer de remplir un carton de vêtements, je le fermais à cause du scotch et écrivais avec un marqueur "vêtements" sur le carton. Après ça, je le descendais et voyais Jughead arriver au même moment. Il vint rapidement vers moi et me prit le carton des mains.
- Non, non, non! Tu ne portes pas ça! Tu es enceinte.
- Et Alors? Demandais-Je en soupirant, être enceinte ne va pas m'empêcher de porter un carton et puis si tu comptes tout faire toi même, t'es pas prêt d'avoir finis, Jughead.
- Qui a dit que je serais seul pour ça? Tu vas m'aider c'est juste que tu vas porter les trucs les moins lourds.
J'espérais bien. Je refusais d'être traiter comme une personne fragile seulement parce que je suis enceinte. Je soupirais, puis je partais prendre un autre carton. Pas trop lourd pour que Jughead ne me prenne pas la tête. Après ça, nous sortions de chez moi, afin de mettre les cartons que nous avions en mains dans la voiture de Jughead. Je devais avouer que c'était assez bizarre et gênant entre nous. Devant Veronica, nous arrivions à donner le change, mais seul, c'était plus compliquer.
- Veronica n'est pas venue avec toi...pourquoi...?
- Elle voulait débarrasser un peu la chance dans laquelle tu vas dormir, parce qu'il y avait plein de bazar dedans.
- Ah okay...
Eh bien si ça avait pu m'éviter des moments aussi gênant avec Jughead, j'aurais encore préférer la vider moi même cette pièce. Jughead partit prendre encore quelques cartons, avant de les mettre dans la voiture, tandis que je le regardais faire, en partie parce qu'il m'avait obliger à ne rien faire. Il était assez, voir même totalement sexy, alors le regarder sans rien ne posait absolument aucun problèmes. Après avoir charger sa voiture, Jughead me dit que je pouvais monter alors je montais à la place passager, tandis qu'il partait s'installer à la place du conducteur. Après ça, nous nous attachions, il démarra le moteur, et roula sans rien dire jusqu'au Pembroke.
Lorsque Jughead se gara devant le Pembroke, je relevais les yeux de mon téléphone que j'avais pris sur la route, je le rangeai dans ma poche, puis je sortais de la voiture. En descendant, je vis; Archie, Cheryl, Toni, Kevin, Fangs, et Veronica en train de nous attendre. Je partais en direction de Archie et me blottissais dans ses bras avant qu'il m'embrasse tendrement. Je répondais évidemment à son baiser, le sourire aux lèvres. Après le baiser, je vis que Jughead me lançait de drôles de regards, il avait l'air presque jaloux. Il me lança un regard provocateur avant d'embrasser Veronica passionnément, ce qui me fit me sentir comme si il avait enfoncer un poignard dans mon cœur. Je détournais le regard en direction de Cheryl, Kevin et Toni qui me lançaient des regards compatissants.
- Bon, dit Jughead après avoir arrêter de lécher les amygdales de Veronica, Cheryl et Betty, vous vous charger d'aller chercher les cartons chez Betty, et nous autre, on va se contenter de les de charger et de les monter dans le Pembroke.
- Okay, avons-nous tous répondu.
Jughead donna ses clés de voiture à Cheryl, lui disant qu'elle aurait plus de places et pourrait mettre de cartons que dans son cabriolet. Enfin, Cheryl et moi partions, sans même échanger une seul mot, jusqu'à la voiture de Jughead, nous montions dedans, Cheryl démarra, puis conduis jusqu'à chez moi. J'hésitais à parler, peut-être est-ce qu'elle m'en voulait encore? Je décidais de quand même parler, je préférais qu'elle m'en chier, plutôt que de rien lui dire et d'empirer les choses et la situation entre nous. Je tournais donc la tête vers Cheryl et respirais un grand coup, afin de prendre mon courage à deux mains, avant de parler.
- Ecoute, Cheryl...je sais que tu dois m'en vouloir...j'ai été conne de répondre ce que j'ai répondu, dis-je en la regardant conduire, j'aurais du faire ce qu'on fait toujours ensemble. Te parler de mes sentiments et mes doutes et en discuter avec toi.
- Il n'est pas encore trop tard pour le faire. Je t'écoute, dis moi ce que tu as sur le cœur, B.
- Tu as raison depuis le début. J'aime ce bébé, il n'est même pas encore né que je pourrais déjà donner ma vie pour lui. Et une autre chose sur laquelle tu avais raison...je vais sûrement...même très probablement...être anéantie lorsque je devrais...donner le bébé à Veronica et Jughead, dis-je en commençant à verser des larmes, je n'aurais pas du m'y attacher...c'était la pire erreur que j'aurais pu faire...
- Mais tu l'as fais et c'est trop maintenant pour faire quoi que ce soit...c'est un bébé pas un meuble, alors tu ne vas pas arrêter de l'aimer du jour au lendemain...c'est impossible malheureusement...tu vas simplement mettre toutes les chances de ton côté.
Je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire par là, je lui demandais donc de développer le fil de sa pensée. Elle m'expliqua donc que même je ne le ferrais pas, je devrais tout de même prévoir ce qu'il faut pour quitter Riverdale à la naissance du bébé pour pouvoir garder le bébé pour moi. Evidemment, je ne le ferrais pas, enfin c'est ce que je pensais maintenant, mais je me connaissais, tout comme Cheryl me connaissait, alors nous savions que dans quelques mois, mon discours pourrait totalement changer. Nous savions toutes les deux que c'était mal, Veronica et Jughead méritaient d'avoir ce bébé, et je ne doutais pas du fait qu'ils s'en occuperaient à merveille, mais j'aimais ce bébé, et je ne voulais pas avoir regarder des gens l'élever à ma place. C'était décider, cette option allait être envisageable. Non, non, non! Tu divague là, Betty, me souffla ma conscience. Ma conscience avait raison, je devenais folle il était hors de question que je fasse ça.
- Ouais, en fait, c'est peut-être pas une si bonne idée, avions nous dit en même temps avec Cheryl, on va laisser le temps faire les choses et on réfléchira plus tard à une solution.
