La première chose qui attira l'attention dans une foule de badauds dans une immense cité comme Minas Tirith, c'était les couleurs des étals. Des tissus, des fruits, des légumes, les senteurs mais entre tout ça. Une chevelure en ressortait. Uen chevelure qui retenait toute l'attention. Une chevelure de feu. Puis après venait le physique. Une jeune femme. Mais ses yeux aussi frappait toutes le mémoires. Des yeux dorés. Elle marchait d'un pas ferme, gracieux. Parfois une mèche de ses cheveux roux la gênait et elle la rejettait avec un grâce que tous les hommes s'arrêtaient pour la regarder passer.
Voilà plus de trois ans que la victoire était inscrite sur les murs de cette cité. Tous louaient leurs roi. Aragorn, fils d'Arathorn. Il avait épousé une elfine, qui était devenue mortelle par amour pour lui, ce qui fit ricaner la jeune femme. Et alors qu'elle s'arrêtait pour fixer le palais blanc, elle entendit des pas.
-" Maira !!" cria une voix masculine, la faisant lever les yeux au ciel. La jeune femme se tourna vers lui et l'incendia du regard. Dommage que ses pouvoirs étaient restreints elle l'aurait réduit en cendres ! Vraiment être dans un corps de femme quel honte !
Elle dû inspirer et expirer pour resté calme.
-" Qui y a -t-il Calor ?" demanda-t-elle.
-" Les enfants de l'orphelinat sont coincés par une bande de malfrat ! Il faut les aider s'il te plaît !" la supplia-t-il presque en larme. Elle se massa le front exaspérée.
-" D'accord ! D'accord ! Ce n'est pas la peine de te mettre dans tous ses états !" protesta-t-elle.
-" mais ils vont se faire taper dessus ! Maira s'il te plaît !!". Il s'écria d'une voix qui l'agaç qu'elle finit par lui mettre sa main dans la figure, le faisant tomber.
-" Sa va sa va j'ai compris j'y vais !!". Maira marcha rapidement et trouva un raccourcit, elle entendit rapidement les pas de l'humain, lourdeau, peu gracieux et peu discret. Elle Parvint enfin à l'endroit et vis six enfants agenouillés effrayés. et autour d'eux, une bande de jeunes hommes souriant. Un sourire que détesta Maira. Un sourire pervers. Elle s'avança et quand le fouet d'un des hommes voulut s'abattre sur l'un des petits, elle l'attrapa et laissa le cuir s'enrouler autour de sa main et de son poignet. Et quand l'homme leva la tête vers elle, elle eut un sourire cruel et tira violemment vers elle. Et le pauvre vola avant qu'il lâche le fouet. Elle le déroula et claqua l'air avec. Les autres eurent peur et fuirent sans se poser de questions. Elle s'approcha de l'homme qui se relevait. Il écarquilla les yeux de terreur.
-" Qui..."
-" Mon nom est Maira pauvre faible ne l'oublie jamais ! D'ailleurs je vais te l'imprimer dans la peau !" Et le fouet claqua ainsi que les hurlements de sa victime. Le sang gicla et enfin quand elle s'arrêta, le nom était marqué dans la peau de l'homme qui tremblait. Il s'enfuit en boitant pendant qu'elle enroulait le fouet et le tenait dans la main. Calor lui rassurait les enfants et les emmenaient à l'abri. Elle finit par lever les yeux vers le ciel et s'assombrit. Vraiment était-ce la nouvelle vie que Manwë lui avait promit. Il lui avait promis monts et merveilles mais il n'y avait rien d'interressant ! Il serra les poings et cria vers le ciel.
-" Je te déteste !!". Et puis elle fixa le fouet et sourit. Il pourrait lui servir après tout c'était une arme, il fallait juste un peu le modifier. Alors qu'elle l'accrochait à sa ceinture, elle tourna trop vite pour repartir et percuta quelqu'un. Elle tomba au sol. Elle leva les yeux pour injurier mais la personne qui se tenait devant elle, la figea d'effroi. Olorin... Dit Gandalf. Le vieillard baissa les yeux vers elle.
-" Oh excusez moi je n'ai pas regardé où j'allais !" s'exclama-t-il. Elle fit un geste pour dire que ce n'était rien et se releva avant de s'épousseté.
-" On dirait que vous cherchez votre route..." elle devait faire comme si elle ne le connaissait pas.
-" oh oui... Un ami m'a demandé de l'attendre à l'auberge hum du Trivion... je crois !". Maira haussa un sourcil. Tient donc l'Istari allait au même endroit où elle travaillait ?
-" C'est étonnant mais c'est justement là où je travaille..." dit-elle.
-" Pourriez-vous me guider ?" demanda-t-il polimment. Ses yeux perçant la rendait légèrement nerveuse et mal à l'aise.
-" Euh oui Venez ! suivez moi !" dit-elle. Elle marcha devant lui. Elle sentait sa présence et son aura blanche.
-" Quel est votre nom d'ailleurs ?" questionna le magicien.
-" Maira..." répondit-elle. Il haussa un sourcil.
-" Un drôle de prénom..." marmonna-t-il. Elle faillit lui répliquer que lui aussi il en avait un drôle de prénom !
Ils marchèrent un moment en silence avant que l'auberge se présente devant eux. Une des plus grande d'ailleurs de la cité. Certains marmonnait que le gérant avaient des richesses et des marchés un peu louches mais elle préférait ne pas s'en mêlé. Elle travaillait et pouvait vivre c'était tout point barre. Ils entrèrent et il la remercia puis elle partit s'occuper des clients déjà présents. Le gérant discutait avec deux hommes et lui fit un sourire dégoulinant de pensées salaces. Elel fit une moue dégoutée. Vraiment les humains étaient aussi peu éduqués malgrés les millénaires d'existence ? Tsss ! Vraiment que faisaient les Valar ? Ah oui... ils avaient abandonnés Arda après avoir commis une destruction d'un royaume entier avec leurs habitants. Eux aussi n'étaient pas blanc ils en avaient du sang sur les mains !
Elle continua de s'occuper sans se préoccupée des personnes qui entraient ou sortaient. Avant qu'ne voix forte tonne.
-" Oh nom du Roi Aragorn je vous arrête pour corruption, tentative de meurtres, et abus sur des jeunes filles !". Elle finit par lever le nez et découvrit un homme blond en armure et des soldats entrer, encerclant tout le petit monde. Le magicie parassait être du coup. Elle fût arrêtée et poussée a l'extérieur de l'auberge.
Comme si Manwë avait lût dans ses pensées...
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Le Pardon du Feu
FanfictionSauron ne s'était jamais sentit aussi seul. Depuis que son maître fût tué, il était le seul qui restait. Entouré de feu. De ses orcs, de ses Wargs. Il essayait de continuer le travail de Melklor. Malheureusement la solitude lui pesait. Et si au mome...