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Cela fait seulement une heure que nous sommes parties et nous gesticulons comme des gamines dans la voiture. Entraîner par la musique effréné de l'été. Il est à peu près 16h30 et nous sommes partie bien plus tard que ce qui était prévue au départ. Nous avons de nouveau réservé dans l'hôtel où nous avions séjourné il y a de cela un an. S'en suivit après cela, la descente aux enfer. Mon retour au travail a été un terrible coup de massue et passer ma journée à passer des articles en caisse me rendait dépressive. Ma vie n'avait aucun sens et faire la même chose tout les jours était d'un ennuie mortel. Quelques mois après cela et plusieurs absences j'ai fini par démissionner et passer mes journées à ressasser notre voyage à Versailles avec Ely. Nos soirées films passaient de comique à terriblement dramatique. Puis à des documentaires sur notre chère roi et son palais de lumière connu dans le monde entier.

Trente minutes plus tard un arrêt sur une air de repos s'impose et nous n'avons fait qu'un quart de voyage. Mais après tout personne ne nous attends et le temps qui coule n'impactera pas notre décision. Et si finalement Philippe nous attendais ? Le roi est bien trop occuper même si je pense que une partie de lui meurt d'envie de nous voir débarquer. Je prie au fond de moi pour l'un d'eux nous saute au cou. Mon gobelet de café entre les mains j'observe ma meilleure amie qui s'impatiente.

- On y va ? On a du retard Elo.

- Oh ça va ! Tu crois vraiment qu'ils nous attendent ? C'est pas un rendez-vous ils sont même pas au courant je te signale.

- Si seulement les messages interdimentionnel existaient...

- Révolutionnaire ! Mais je pense surtout que l'histoire de la France ne serait plus là même malheureusement.

- Aller ! Glou ! On y va ! Lâche-t-elle me faisant signe de finir mon café en vitesse.

Quelques plus tard nous nous garons enfin devant l'hôtel ! Il est pratiquement 21h et nous n'avons pas encore manger. Dans la chambre d'hôtel un large lit double surplombe la pièce. Le sol est recouvert d'une moquette bleu et le balcon donne une vue imprenable sur le joyaux de sa Majesté. Le coucher du soleil lui donne une teinte orangé et rouge qui lui sié à ravir. Restant bouche bée face à ce spectacle je ne peux m'empêcher de prendre quelques photos de cette vue magnifique ! Elyzabeth à mes côtés à les yeux amplit d'étoiles, l'émotion de ses yeux fait remonter en moi une vague de mélancolie puissante. J'espère qu'ils ne nous auront pas oublier. Arriverons nous un an plus tard comme ici ? Ou bien dix ans plus tard ? Ce nouveau tracas me bouleversé l'estomac et fait monter une boule dans ma gorge.

Le repas commander par mon amie a l'hôtel arrive dans la chambre et nous remercions le jeune homme qui l'apporte. Des hamburgers maisons, pas très gastronomique mais un incontournables avant le grand saut ! Une heure après s'être empiffrer comme des baleine, mon amie propose d'aller se prélasser dans le jacuzzi. C'est avec une joie que j'accueille sa proposition et je me change rapidement en maillot de bain. La partie piscine jacuzzi est ouverte en permanence et nous sommes seule à 23h. Le vin et des coupes arrivent et nous trinquons à notre dernier soir au 21e siècle.

- Tu te rappel de l'anniversaire de nos dix ans ? Demande soudainement Ely

- Comment l'oublier...

- Tu as terminer la tête dans le gâteau par ma faute. Et tu n'as rien trouver de mieux de d'en prendre une poignée et l'étaler sur mon visage. Rit-elle

- Je me rappel surtout des cris affolé de nos mères. Ris-je

- Des tas pour pas grand chose puisqu'on à terminer dans la piscine. Au final on était laver.

- Et l'eau de la piscine était parsemé de gâteau. Parfait tout ça !

Les bulles et remous du jacuzzi font un bien fou à mon dos qui souffre parfois terriblement. En cet instant je me demande bien ce que peut faire Louis ou encore même Philippe...

Versailles, mon amour, ma lune... [T.3]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant