Versailles, mon amour, ma lune... [T.3]

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Ma robe rouge offerte part Philippe sur le dos je suis devant ma coiffeuse aider par Ely pour faire une coiffure bien différente. Ayant des petites fleurs rouges non loin dans le jardin mon amie est revenue avec tout un tas de ces petite roses. Mes cheveux Ayant bien pousser depuis la dernière fois que nous sommes passer au château je peux faire une tresse bien plus longues. Une fois celle-ci terminer mon amie vient tirer sur chaque arrondi de la tresse pour lui donner du volume et vient placer les roses rouges dans mes cheveux. De ma fenêtre on entend déjà le bruit de la foule qui se forme à l'extérieur du château. Le grand bal en extérieur à enfin lieu et l'orage s'est calmer dans la nuit pour fuir bien plus loin. L'ancien grand chapiteau blanc a été remonter près d'une fontaine cette fois ci et de multiples petit fauteuil et table ont été placer comme des salons autour de celui-ci.

— Elo tu te souviens ce qu'on a oublier de faire lors de ce bal la dernière fois ? Demande mon amie avec des étincelles dans les yeux.

— Les lanternes... Tu crois qu'il y a penser ? Répond-je avec un brin d'excitation.

— Bontemps ? C'est sur. Sourit-elle

— Je ne parlais pas de lui mais oui aussi. Dis-je un peu déçue par sa réponse.

— Elo tu sais ce que je pense. C'est un roi il n'a pas le temps de penser à ce genre de choses. Et pour moi le fait de l'avoir vu dans les bras de Madame de Montespan c'est trop. Il te fera souffrir encore. Lâche-t-elle sans mâcher réellement ses mots.

— Je pourrais te dire la même chose pour Philippe je pense. Souris-je amuser par la situation.

— C'est pas faux... Mais tu es beaucoup plus sensible que moi et je ne veux pas que ton cœur se brise de nouveau à cause de lui. Lance-t-elle avec un regard inquiet tout en saisissant mes mains.

— Je sais Ely je sais... Mais pourquoi est-ce que je suis revenue alors ? Demandé-je avec tristesse.

— Tu es revenue pour toi. Parce que notre vie d'avant n'est plus celle qui nous donnait le sourire. Elo peut de gens voir personne ne peut se permettre cette option. Et même si tu viens à ne plus être être le roi je pense que Philippe saura te protéger. Argumente-t-elle pour me rassurer.

— J'ai la sensation que notre amour n'est plus le même qu'avant Ely. J'ai peur parfois et ce voleur... Ça me tracasse. Avoue-je en observant les nobles se diriger vers le chapiteau.  

— La personne qui doit être tracasser c'est lui pas toi. Rétorque-t-elle pour me préservé.

— Il y a un espion dans le château. Louis et moi avons surpris une conversation entre deux hommes couvert et étrange. Dis-je avec une voix plus basse pour que personne n'entende.

— Ça ne m'étonne pas. N'oublie pas que de nombreuses guerre sont à venir Elo. Fini mon amie en posant sa main sur mon épaule.

Les guerres. J'ai tendance à oublier ce gros détails et pourtant il a une importance colossale. Mon amie saisit ma main et nous descendons dans les jardins pour rejoindre notre groupe d'amis. En quel année sommes nous ? 1671. Je ne crois pas qu'une guerre ait éclater cette année ou alors je ne m'en souviens pas encore mais après tout ce n'est pas le moment pour penser à ce genre de choses. Le Chevalier, Philippe, La Palatine et même Louis nous attendent. Avant d'entrer sous le chapiteau ou la musique et la danse règne déjà nous nous servons un verre de vin.

La robe d'un vert clair que porte Ely ne passe pas inaperçue tout comme nos amis. Avoir le roi dans son cercle privée ainsi que son frère est un grand honneur et je suis étonnée que personne n'ai essayer de profiter de notre statut pour se rapprocher d'eux. Louis face à moi m'observe avec du désir plein les yeux. Philippe rit aux éclats en compagnie du Chevalier et Ely discute ragots avec la Palatine qui se prête rapidement au jeux de Versailles. A vrai dire les nobles n'ont que cela à faire de leurs journées et c'est véritablement barbant à un certains stade. Beaucoup n'arrivent plus à se mêler de leurs vies où leurs problèmes bien trop occuper à penser à ceux des autres .