Versailles, mon amour, ma lune... [T.3]

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Étonnement Louis à été au petit soin avec moi toute la nuit et à même tenter de me masser les épaules dans un bain que nous avons pris à deux. Nous avons tout les deux profiter du moment présent et avons profiter pour oublier tout les tracas que cette vie nous offre. Entre ses bras je voyage à chaque fois et je ressens le besoin de m'y blottir pour pouvoir m'endormir. En ce début d'après-midi il est occuper avec ses conseillers et ministres ainsi je dois trouver de quoi m'occuper. Vêtue d'une robe rouge je me dirige vers les appartements du Duc et ce n'est autre que le Chevalier qui m'ouvre avec un large sourire et un peu débrailler. Je n'ai aucun difficulté à imaginer ce qu'il faisait et je ne tente pas d'en savoir plus ou d'entrer dans la pièce.

— Qui est-ce ? Crie alors Philippe sûrement encore dans la chambre.

— C'est notre chère Éléonore mon amour. Sourit-il malicieusement en m'invitant à entrer.

J'avoue hésiter plusieurs seconde avant d'entrer pour ne pas crée de problèmes. Au moment où je tourne la tête vers la chambre j'aperçois mon frère trône nu seulement vêtue des pieds aux hanches. Il est bien plus musclé que ce que j'aurais pu penser et j'ai honte de penser que Ely a ses raisons pour aimer ce corps. Mes joues me chauffent subitement et je détourné le regard pour ne crée aucun malaise. Ses pas s'approche de moi et ses deux doigts viennent saisir mon menton pour l'obliger à me regarder.

— Ma colombe. Tu es ma sœur tu ne dois pas rougir ainsi. Lâche-t-il avec un petit rire.

— Mon cœur c'est normal qu'elle rougisse ton frère doit être bien moins musclé pour cela. Argumente le Chevalier qui s'enferme dans la chambre pour se vêtir.

— C'est vrai ? Demande Philippe les sourcils lever avec un petit sourire en coin.

— Peut-être devrais tu l'aider pour qu'elle puisse comparer. Ricane le Chevalier derrière la porte.

— Non ça ira je ne veux pas compare. Dis-je avec un air un peu paniquer.

Le Duc se met alors aussi à rire et m'invite à attendre dans le salon qu'il ait terminer de se vêtir lui aussi. Ce n'est que quelques minutes plus tard qu'ils ressortent en parfait état et près à défiler dans les salons du palais. Philippe me tend sa main que je saisis et il place ma main sur son bras pour me conduire à travers les couloirs. Les travaux qui continuent d'ailleurs sur celui-ci nous provoque parfois des maux de tête et de la poussières très agaçante. Dans le salon de jeux où nous nous rendons nous sommes à l'opposé des travaux en question mais très porches des rires extravagants et des rumeurs en tout genre. Nous n'allons pas spécialement pour jouer mais plutôt écouter les ragots. Pour le plus grand plaisir de mes deux amis mais aussi par devoir. Le roi aimerait que l'on récolte des informations pour lui sur le voleur.

Pour moi il n'est pas seul voilà le hic. Ils sont minimum deux et nous avons eu l'occasion Louis et moi de leurs faire face sans qu'ils ne le sachent. Quand nous entrons tout le monde semble heureux et chaque personne que nous croisons nous salue avec grande politesse. La princesse Palatine nous lance un regard curieux et je dirais même qu'il y a une petite pointe de jalousie dans celui-ci. Elle est mon amie avant tout et jamais je n'oserais lui voler l'homme qui entre peu à peu dans son cœur malgré lui. Oui Philippe aime d'abord les hommes et j'ai bien l'impression que Elyzabeth est une exception. Pour quel raison ça c'est autre chose et je dois avouer je ne le sais pas. Le cœur a ses raison que la raison ignore. C'est bien connu et je ne suis personne pour juger cela. Car n'importe qui a ma place ne serait sûrement pas retourner dans les bras du roi mais moi quelque chose m'y pousse.

Tout les trois près des fenêtres et d'une table où on y joue aux cartes nous tentons de tendre l'oreille. Un homme appel soudainement mes deux amis et me laisse en plan avec une petite gêne dans le regard. Je suis néanmoins peu de temps seule puisque qu'un homme vient me tenir compagnie.