PDV Victoire.
-Bonjour Madame Woods, je suis Martin votre chauffeur je suis en bas de votre immeuble.
Crétin, je m'attendais à un message de Grace me suppliant d'oublier sa lettre et qu'elle était désolé de tout ça, qu'elle voulait qu'on se voit et qu'on vice une histoire magnifique. Tu rêves ma pauvre.
Je fais partie d'une grande famille je me dois tout de même de ne pas me faire trop désirer, enfin un peu...-Bonjour Martin, je serai là d'ici 10 minutes je m'en excuse d'avance.
Rapidement je m'habillais, ma valise déjà faite je n'avais qu'a enfiler ma paire de converse ainsi que ma veste en jean. Habiller très simplement je portais un jean noir à pattes d'éléphant ainsi qu'un top court vert laisseune bonne partie de mon ventre visible.
Arrivée près de mon chauffeur celui-ci me paraissait pas plus vieux que moi.
- Bonjour Madame Wood, puis-je prendre votre valise ?
Première fois que mes parents engage une si jeune chauffeur il devait être légèrement plus vieux que moi, mais imposé une sécurité tout de même
- Martin, commence tout d'abord par m'appeler Victoire et à me tutoyer en privé s'il te plaît, je dis ça pour toi je sais à quel point mes parents sont extrêmement fort pour les formules de politesse, mais ce n'est pas mon cas. Bon allons-y !
_____Ellipse du voyage___
20h00, à peine descendu de la voiture que j'attendais ma mère claquer ses talons au sol s'avançant vers moi.
- Ma chérie ! Tu m'as tellement manqués ! Je suis si contente de te retrouver enfin !
Ma mère, malgrè son statut était une femme très dépendante de mon père, elle était très niaise et très à cheval sur les bonnes manières ce qui avait le don de m'énerver.
D'une taille moyenne, cheveux court noir corbeau, des yeux bleus et un teint clair elle n'avait rien à envier à Blanche-Neige.
- Je t'ai manqué ? Toi aussi Maman mais malheuresement tu as préférés éloigner ta chérie pour les beaux yeux de ton prince charmant, enfin passons où est Papa ?
- Victoire s'il te plaît celà fait tellement longtemps que l'on nous sommes pas vu mettons nos différents de côtés et repartons du bon pieds tu es d'accord ? Ton père t'attend dans la cuisine, nous sommes avec des amis, nous t'attendions.
Donc le fait qu'elle envoie sa fille a l'autre bout du pays parce qu'elle est lesbienne est juste un différent pour elle ? Un différent ? Alors qu'elle pouvait imposer à mon père de me laisser vivre ma vie normalement mais non pour lui qu'est ce qu'elle ne ferait pas ?
- Très bien allons-y dans ce cas.
J'avançais vers l'immense entrée qu'était la majestueuse maison de mes parents, quand une certaine voix m'apparaît aux oreilles.
- Mary, notre fille chérie est là ? Cette voix, détestable mais tellement appréciable quand j'étais enfant et qu'il m'encourageait dans les tribunes.
- Oui David elle est ENFIN là !
J'arrivais près de mon père qui était en cuisine, je n'étais pas du genre à dire du bien de mes parents après ce q'uils m'ont fait vivre mais là je me dois bien de l'avouer, mon père était un très bel homme. Grand, musclé, blond, des yeux très clairs il était toujours très bien habillé et exposé.
- Bonjour Papa. Dans ma froideur je m'approchais de lui afin de l'embrasser sur les deux joues, mais lui l'entendais autrement, il me tirait vers lui afin de me prendre dans ses bras. Plus petite que lui, je retrouvais le contact avec un père aimant, ma tête sur son torse je pouvais entendre les battements de son coeur aller de plus en plus vite. Dans un murmure je pus entendre sa voix. Je suis désole pour tout ma chérie, je t'aime, tu m'as énormément manqué.
Je ne répondais rien et me contentais juste de resserer mon emprise autour de sa taille. Doucement je me décollais de lui et le regardais dans les yeux, ses beaux yeux dont j'avais hérités.
Il prenait une bouteille de whisky et m'indiquait de le suivre afin de rejoindre ses amis dans le salon.
Mon sac à mains tombait au sol, ma vue se flouttait, l'intégralité de mes membres tremblaient, mon coeur pompait du sang à une vitesse infernale. Par tout les Dieux, comment cette femme que j'avais quitté ou plutôt qui m'avait quitté pouvaiy-elle se retrouver dans mon salon, chez mes parents, avec à sa gauche Robin, son futur mari et à sa droite un jeune homme de mon âge à peu près. Ne me dîtes pas que cette sombre garce à un ent qui plus est de mon âge ?
- Victoire ça va ? Tu vas bien ? Mon père remarqua mon trouble rapidement.
- Euh... Oui...Oui.. Le voyage a été long.
- Victoire je te présente..
-Je sais qui sont-ils mise à part le jeune homme. Robin ton bras droit je suppose, futur mari de Madame Lord, professeur de Français. J'avançais ma main pour venir empoigner celle que Robin me tendait. La poignée de main de Grace était moins forte, plus douce, sa main était moite.
-Bonjour ! Moi c'est Roland, je ne suis pas aussi veux qu'eux on peut se faire la bise. Ravi de te rencontrer Victoire.
Je n'osais pas regarder ma professeur, comment cela était-il possible ? Je n'arrive toujours pas à comprendre.
- Je vois que nous n'avons pas le besoin de faire les présentations, quelle coïncidence ! Comment vous-êtes vous rencontrés ? Ma mère toujours là à poser des questions débiles, qu'est ce qu'elle pouvait m'agacer.
Alors comment nous sommes nous rencontrés... Bah pour faire simple, ma professeur de Français et moi avions entamés un jeu de séduction très pimentés et un jour elle a décidé de m'inviter chez elle, puis, juste avant de découvrir son corps de déesse, ou du moins l'intégralité, son bon et preux chevalier futur mari s'est pointés. Voilà ! Bon ensuite j'ai couché avec elle, chez elle ! Elle m'a supplié de passer la nuit avec elle pour ensuite le lendemain matin me dire qu'elle ne pouvait pas continuer parce que c'était une erreur, pour ensuite débarquer chez moi ce matin pour recoucher avec moi, pour ensuite me requitter avec une lettre d'adieu sentimentale mais pas trop, à la Grace Lord quoi.
- C'est ma professeur de Français au lycée, et ayant eu du retard sur mes cours puisque j'ai fait ma rentrée 2 mois après tout le monde, elle m'a gentiment proposé de m'aider pour un projet, c'est donc là que j'ai rencontré Robin, enfin je ne sais même pas votre nom...
- Miller, Robin Miller. Mais tu peux m'appeler Robin c'est très bien tu sais.
J'étais presque désolé d'avoir couché avec sa future femme, cet homme était gentil et doux.
En me tournant vers lui, j'aperçus le regard de Grace, ce regard désolé qui voulait tout dire... Et j'en savais les conséquences...
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BONSOIR BONSOIR !Deux chapitres en quelques jours, un exploit aha.
Mais j'avais tellement hâte d'écrire ce chapitre et ceux qui vont suivre que je ne pouvais pas attendre aha.
Alors que pensez-vous de ce chapitre ? Vous vous attendiez à ça ? Avez-vous une idée sur la suite des événements ?
En espérant qu'il vous ai plu.
J'attend vos retours avec impatience :)
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D'Amour et de Haine [CORRECTION]
RomanceOn ne peut désirer que ce que l'on ne possède pas, donc ce qui n'est pas en notre possession, il y a donc un sentiment de privation qui peut devenir une souffrance, et satisfaire à ce désir c'est y mettre fin.