Extrait n* 14

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Helloooo les gens !! Petite publication surprise après quelques semaines ! Comme je vous l'ai dit dans l'extrait précédent, je vous propose quelques extraits issus une fanfiction personnelle sur *roulement de tambour*... « l'Attaque des Titans » ! Et oui ! C'était le rébus sous forme d'emojis que je vous avait proposé ! J'espère que cela n'a pas été trop compliqué à trouver !😁

Avant de vous laisser savourer cet extrait, je tiens d'abord à vous clarrifier quelques petites choses à propos de ces « dits extraits » issus de cet univers et de cette fanfiction. Elle fait pour l'instant l'objet d'une fanfiction personnelle, dont je ne prévoie aucune publication pour le moment pour de nombreuses raisons (j'ai actuellement trop de fanfictions à mon actif sur Wattpad, et il serait temps que j'avance sur certaines d'entres elles ! Surtout que quelques idées fusent par moments ! Nous verrons si vous êtes sages pour que je vous en fasse découvrir quelques extraits ! Gnu hu hu... !😝😏).

J'avais néanmoins envie de vous proposer cette « fanfic perso » sous la forme de petits extraits que je publierais selon mon envie, et d'avoir également certains de vos avis, car je dois vous l'avouer en toute franchise... j'ai surtout suivi le jeu-vidéo « AOT 2 » sur PS4 et c'est tout ! (J'ai presque pas vu l'anime, hormis le premier épisode de la série... je sais, j'ai honte ! Je promets de m'y mettre au plus vite ! 😅👉👈). Donc si je me trompe sur quelque chose en rapport à cet univers... soyez indulgents s'il-vous-plaît ! Par ailleurs, c'est en grande partie grâce au jeu « AOT 2 » que j'arrive à réaliser cette petite fiction ! (Le mode création de notre personnage est à tomber !!🙃)

Voilà voilà ! Je pense que tout est dit ! Profitez-bien de cette lecture ! Des bisous !😽

A.T😘

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« Tu n'as pas le droit d'être heureuse ! C'est moi qui devrais l'être ! »

« Tout est de ta faute ! »

« C'est de ta faute si je ne suis pas heureuse ! À cause de toi et de ta foutue naissance ! »

« Si tu n'étais pas née, je serais sûrement heureuse à l'heure qu'il est ! »

« Je te maudis ! Toi et tout ce que tu as ! Tu ne mérites pas de vivre ! Ni d'être heureuse !! Tu ne mérites rien !! »

La petite fille se réveilla brusquement après cet énième cauchemar. Elle laissa son souffle un peu rauque se calmer avant de s'assoir sur son lit de fortune, entouré de plusieurs autres lits alignés, tous vides. Elle pensait se retrouver une nouvelle fois devant celle qui lui a prononcé ces paroles, mais il n'en fut rien. De toute manière, elle ne la reverrait plus jamais. Elle avait été abandonnée. Au pied d'un orphelinat miteux. Sans lettre, ni presque rien à part un lange. Et un collier. Elle jeta un œil à son cou, et soupira de soulagement en sentant le pendentif toujours accroché autour de son cou. D'une forme étrange, mais magnifiquement décoré. Tel une fleur ressemblant à une étoile. Il portait d'ailleurs un nom précis. « Étoile du Soir ». Mais ça, personne ne le savait. Et bien des gens s'en ficherait de toute façon. Tout ce qui les intéresseraient serait de le garder tel un trésor, ou encore mieux, de le revendre pour en tirer un bon prix. La fillette sortit du lit en grelottant un peu et jeta un œil dehors de la fenêtre de l'étage. Les autres enfants de l'orphelinat caché en pleine forêt, jouaient gaiement et sans éprouver le moindre souci autour de la petite bâtisse perdue au milieu de nulle part. Les arbres gigantesques cachaient beaucoup la lumière du soleil, mais protégeaient mieux de la pluie lorsque cette dernière s'invitait. Pourtant, la petite ne pouvait s'empêcher de penser que c'était ridicule. Ils n'étaient même pas en sécurité. Ils n'étaient pas à l'abri comme le reste de l'humanité au sein d'un des Murs. Elle s'en doutait : ils avaient tous ici présent fui quelque chose, pour au final se retrouver paumés au milieu de ces écorces gigantesques. Elle aurait largement préféré arriver en sécurité à l'intérieur du cercle de béton qui figuraient au loin. Au lieu de cela, elle avait fini dans une baraque entourée de têtes à claques et de deux religieuses vivant à moitié en ermites au sein d'une pauvre forêt. Elle ne comprenait vraiment pas les gens, ni même du danger qu'ils faisaient courir à tous ceux qui vivaient ici.

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