Norbert

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Tw pensées suicidaires
Tw lemon
Pdv Albus
Je regarde le sol. Les yeux brouillés de larmes, je le distingue à peine. J'ai envie d'y aller. De sauter. Je n'ai plus rien à espérer de la vie, la mort me semble plus douce. A quoi bon vivre pour pleurer tous les soirs ? Pour revivre sans cesse des souvenirs heureux que je ne pourrai plus jamais avoir. Pas sans lui. Grindelwald. J'espère que ma mort l'affectera un minimum. Mais rien n'est moins sûr. De toutes façons, maintenant ça n'a plus d'importance. Le sol m'attire. Je jette un dernier coup d'œil à mon bureau, à ma vie qui va bientôt s'éteindre. Je lève une jambe, près à sauter. Je ferme les yeux, déterminé. Je me laisse tomber en avant. Je m'apprête à me sentir chuter mais je sens deux bras puissants qui me retiennent. Je me débats, souhaitant en finir, une bonne fois pour toutes. Mais la personne est plus puissante et me tire vers l'arrière. Elle me bloque le passage. Je m'effondre sur le sol, ne cherchant même pas à savoir qui m'a empêché de sauter. Je me recroquevillé, pleurant abondamment. Je suis dans un état pitoyable. Je suis pitoyable. Je n'ai plus la force de lutter. Je sens une main se poser délicatement sur mon bras.
- Albus...
Je reconnais cette voix immédiatement. Je ne sais même pas si ça me rend heureux ou triste de savoir que c'est le mage noir qui est la cause de ma tentative de suicide qui m'a empêche de la terminer. Il s'agenouille devant moi. Je lui jette un regard vide, blessé, désespéré. Je ferme les yeux, refusant de le voir plus longtemps. Il me porte jusqu'à mon lit délicatement. Il murmure d'une voix douce :
- Albus, regarde moi. Je ne te veux aucun mal.
-...
- Je t'en supplie, Albus, écoute moi. Je ne sais pas ce qui t'a convaincu d'en finir, mais je sais que tu ne mérites de mourir. Je... Je suis désolé pour ce que je t'ai fait, désolé de ne pas avoir donné de nouvelles, désolé de ne pas avoir pris soin de toi, de ne pas t'avoir donné l'amour que tu méritais.
Je lève mes yeux embués de larmes. Il pose sa main sur ma joue. Il me regarde avec douceur et tristesse.
- Albus... Tu... Tu allais vraiment te suici...
Sa voix se casse. Il me caresse la joue tendrement.
- Oui...
- Pourquoi ?!
- Pour toi...
- Tu voulais mourir à cause de moi ? Je t'ai fait tant de mal ?
Oh je suis si désolé ! Pardon mille fois ! Je ne me pardonnerais jamais, tu es la personne qui mérite le moins de mourir...
- Tu... Tu le penses sincèrement ?
- Évidement ! Tu as toujours eu une place particulière dans mon cœur et savoir que tu voulais en finir par ma faute... Je t'aime Albus ! Je t'aime tellement !
Il m'aime ? Gellert Grindelwald m'aime? Ça ne peut pas être vrai.
- Vraiment ? je demande d'une petite voix.
- Oui ! Je pense à toi beaucoup trop souvent.
Je passe mes bras autour de son cou, tremblant puis j'approche la tête. Comprenant ce que je veux faire, il m'embrasse tendrement. Je lui fais un petit sourire qu'il me rend.
- Je... Merci Gellert. Merci infiniment de m'avoir sauvé la vie.
- Je ferais tout pour toi mon amour.
Ses mots font battre mon cœur. Je l'embrasse fougueusement. C'est si bon... Nos baiser enflammés me font perdre la tête. Sans cesser de m'embrasser, ses mains douces soulève ma chemise pour passer en dessous. Je soupire de plaisir.
- Je peux dormir avec toi ? demande-t-il avec un sourire malicieux.
- J'accepte volontier.
Il commence à se déshabiller et je sors du lit pour faire de même. Je me retourne dos à lui, embarrassé. Une fois en sous vêtements je sens deux bras tendres enserrer mon ventre. Gellert vient se coller à moi et je sens son torse dans mon dos. Je frissonne. Son souffle chaud vient caresser ma nuque. Il murmure mon prénom en effleurant ma peau du bout des lèvres.
- Albus...
Il caresse mon torse avec douceur. Resserrant son étreinte, il me mordille le creu du cou et je gémis, malgré moi. Ses mains descendent le long de mon flanc et s'arrêtent sur mes hanches. Elles dérivent vers l'intérieur de mes cuisses, faisant battre mon cœur à tout rompre. Il les remonte avec une lenteure calculée. Je retiens mon souffle. Il effleure le tissu de mon sous-vêtement, me faisant pousser un petit cri.
- Je veux chérir ton corps, mon chéri. Je veux te faire éprouver des sensations tellement agréables que tu hurlera de plaisir. Je veux te faire du bien, te donner tout mon amour.
- Hoo Gellert... je soupire, incapable de prononcer un grand discours comme je sais si bien le faire d'habitude.
Je me retourne et l'embrasse passionnément, collant le plus possible mon corps au sien. Il passe sa main sous mes cuisses et j'enroule mes jambes autour de sa taille. On se regarde un instant, contemplant le visage de l'autre, plongeant son regard dans celui de l'être aimé. Puis nos bouches fondent l'une sur l'autre et on s'embrasse langoureusement. Ses mains qui me portent, sous mes fesses, m'excitent inévitablement. Je m'aperçois que lui aussi a son caleçon tendu et me dire que j'en suis la cause me donne un sentiment de puissance. On explore la bouche de l'autre, partageant notre salive. Nos langues se frôlent, se collent, s'enroulent...
- Haa... Gellert...
- Mmm... Haaa...
Le mage noir se laisse tomber sur le lit, sur moi. Je passe mes bras autour de son cou et, agrippé à lui comme un koala, je me laisse caresser en l'embrassant toujours plus passionnément. Soudain, on entend la porte s'ouvrir. Je vois Norbert qui nous observe, interloqué. Son regard passe de moi à Gellert et son visage exprime sa stupéfaction.
- Dumbledore ?! Grindelwald ?!
Le magizoologiste tire sa baguette de sa poche et la pointe sur Gellert.
- Arrêtez ! Ne violez pas le professeur !
- Violez ? répète mon petit ami.
Il éclate de rire et se redresse puis me prend dans ses bras avec une infinie douceur. Il vient me caresser la joue tendrement.
- Jamais je ne violerai Albus. S'il n'a pas envie de coucher avec moi, il me le dit et je ne le force pas. Ne vous inquiétez pas monsieur Dragonneau, je ne vais pas faire de mal à votre ami, assure-t-il d'un ton amer.
Norbert me regarde avec un air interrogateur. Je soupire et confirme les propos de Gellert.
- C'est vrai, Norbert, je suis désolé. Je suis totalement consentant et il ne m'a fait aucun mal. Il m'a même sauvé la vie.
- Sauver la vie ?! C'est à dire ?
- On va dire que je n'avais plus la motivation de vivre et qu'il me l'a redonnée. Je sais que ça peut paraître invraisemblable mais c'est la vérité.
- Revelio maleficia !
Rien ne se produit.
- Je ne l'ai pas ensorcelé, assure le blond d'un ton amusé. Je l'ai peut-être charmé mais je n'avais pas besoin de magie pour ça.
Je lève les yeux au ciel en rougissant.
- Mais... Pourquoi ne l'attrapez vous pas ? C'est un mage noir !
- Je sais, je sais... Mais le temps est à l'amour, pas à la guerre. Le moment viendra où je devrais l'affronter et j'en suis parfaitement conscient mais pour l'instant j'en suis incapable. Je l'aime, Norbert, je l'aime...
Gellert m'embrasse tendrement.
- Je sais que vous ne devez pas y croire, Dragonneau mais même un mage noir comme moi peut tomber amoureux. Surtout de quelqu'un comme Albus. Et je vous promet que je ne lui ferrai aucun mal, pour l'instant en tous cas. On serra bien obligé de se battre un jour, j'en suis désolé, mais je ne le poignarderai pas dans le dos.
- Et il ne te ferra aucun mal non plus tant que je serrai là, je lui assure en lançant un regard appuyé à Gellert.
- Oui, oui je t'obéis toujours mon Albus.
Je ris. On se regarde amoureusement. Norbert à l'air de réfléchir.
- C'est étonnant à quel point vous êtes complémentaires et... amoureux. C'est un peu comme des inséparables, quand ils ont rencontrés leur âme sœur, il ne peuvent plus s'en séparer, d'où leur nom. Je ne dirai rien.
- Merci Norbert.
Je lui souris.
- Bon, maintenant il serait temps de nous laisser pour qu'on puisse finir ce qu'on avait commencé, grogne Gellert.
- Au revoir professeur.
- Au revoir Norbert.
Il repart et referme la porte.
- Enfin seuls, soupire mon bien aimé.
- Pourquoi tu lui parlais si durement et avec un ton si amer, mon cœur ?
- Parce qu'il est trop proche de toi.
- Qu'est-ce que tu insinues ?
- Qu'il ne serait pas qu'un ami.
- Mais voyons, Gellert !
Il me fait un regard blessé.
- Tu es sérieux ? je demande d'un ton plus doux en prenant son visage entre mes mains.
- Oui ! Tu l'envoyes pour m'arrêter, tu le protèges, tu le prends sous ton aile, comment tu veux que je ne doute pas ?
- Je te promet que tu es le seul et l'unique qui a pris mon cœur.
Il fait une moue pas convaincue. Je l'embrasse passionnément.
- Jamais je ne ferrai ça à Norbert. Toutes mes attentions, je les réserves à toi mon amour.
- Ne parle plus d'un autre dans le même lit que moi, ordonne-t-il d'un ton autoritaire.
Il me pousse sur le matelas et se met à quatre pattes au dessus de moi. Il saisit mes poignets d'une poigne ferme et les bloque au dessus de ma tête puis il resserre ses jambes sur mes hanches, finissant de m'immobiliser. Tout s'est passé en quelques secondes et son regard qui me fixe intensément fait battre mon cœur à toute vitesse. Avec un sourire carnassier il penche sa tête vers mon torse. Je retiens ma respiration. Il me lèche la poitrine, me faisant gémir bruyamment. Il m'embrasse sur tout le haut du corps, descendant progressivement vers mon dernier vêtement. Je halète et me débat, tentant de le toucher lui aussi. Il resserre sa prise, me serrant les poignets à m'en faire mal.
- Tu ne bouges pas, me dit-il d'un ton sans appel.
- Gellert... je proteste.
- Ici, c'est moi qui commande.
- Et si, moi aussi, je veux te toucher et t'embrasser ?
- J'en suis ravis mais je ne te laisserai pas faire pour autant.
Je ondule sous lui pour me dégager mais il ne me laisse pas faire. Il me maîtrise totalement. N'abandonnant pas je me débat encore comme je peux.
- Hoo Albus, je vais t'apprendre à rester sage. Tu vas voir ce que ça coûte de me désobéir...
Mi-intimidé, mi-amusé, je fais une dernière tentative de me dépêtrer, soldée par un échec comme toutes les autres. Gellert m'arrache presque mon sous-vêtement et je me retrouve complètement nu. Je rougis violemment et m'immobilise, le regard de Gellert sur moi me liquéfiant. Il descend sa bouche et m'embrasse sur le bas du ventre, évitant toujours de quelques centimètres la zone fatidique. Je brûle de chaleur, je le veux, je le veux tellement... Mon corps dégouline de sueur, il joue avec moi, me frustrant un peu plus à chaque fois qu'il dévit sa bouche. Je laisse échapper des cris rauqes de frustration.
- Gellert... je gémis. Je t'en supplie...
- Il fallait m'obéir, réplique-t-il avec un air victorieux sur le visage.
Il saisit mon index et le mène à sa bouche. Je me laisse faire, complètement, sous son contrôle. Il met mon doigt dans sa bouche et commence à le sucer et le lècher énergiquement et bruyamment. Je suis sa bouche des yeux, fiévreux de désir. Je gémis, plus excité que jamais.
- Gellert... Rhaaa... P*tain ! Gellert !
Mon regard se fait suppliant. Ce qu'il fait à mon doigt, je veux qu'il le fasse à une autre partie de mon corps. Maintenant. Je n'en peux plus, je vais exploser, je le veux, je le veux, je le veux...
- Albus, il y a un problème ? demande-t-il, l'air de rien.
- Gellert... Fais le... Gellert... je le supplie.
- Tes désirs sont des ordres.
Il laisse ma main et me prend en bouche d'un coup. Ho. Mon. Dieu. Le plaisir me submerge, me faisant gémir sans retenue. Je ne sais plus où je suis, qui je suis, tout ce qui compte est cette sensation qui dépasse tout. P*tain Gellert suce si bien ! C'est tellement agréable, je crie à n'en plus pouvoir, répétant le nom de celui qui me procure ces sensation dépassant l'imaginaire.
- Haaa... Haann... Gellert... Haaa...
Mon corps en feu est rempli de plaisir. La tête rejettée en arrière, je me laisse aller. J'émet des bruyants râles incontrôlés. La bouche entrouverte, je halète, ruisellant de sueur. Il m'envoit pour un aller direct au septième ciel. Je sens que je vais atteindre l'orgasme d'ici peu. Je jouis dans sa bouche dans un hurlement de plaisir. Je vois sa pomme d'Adam descendre et je comprend qu'il a tout avalé. Il se retire et se redresse pour venir m'embrasser langoureusement. On se colle l'un à autre, entremélés étroitement. Je peux enfin le toucher, le caresser, re-découvrir ce corps que j'aime tant et en profiter pour lui enlever son dernier vêtement. On roule dans le lit, nous embrassant passionnément.
- Albus...
Je laisse mes mains parcourirent sa peau que je presse contre la mienne sans cesser d'explorer sa bouche de ma langue. Et c'est pile le moment que choisit mon ancien élève pour revenir, accompagné de l'aurore Tina Goldstein. Je me dépêche de tirer les draps sur nous mais ils nous ont déjà vus. L'air choqué, Norbert est immobile. Tina prend la parole :
- On est vraiment désolé de vous interrompre, monsieur Dumbledore. On va y aller, Norbert voulait juste me présenter à vous, je m'excu...
Elle regarde Gellert, l'air interdite. Elle n'avait pas dû faire attention à son identité mais elle s'en aperçoit maintenant.
- Grindelwald ?!
- Et on est répartit, soupire mon petit ami. Oui, je suis Gellert Grindelwald, non je ne vais pas vous faire de mal, oui Albus était consentant et je pense qu'il vaut mieux vous oubliéter pour que vous n'alliez pas tout raconter aux aurors.
Tina sort sa baguette et la pointe sur le mage noir, prête à se défendre. Elle se place devant le magizoologiste dans le but de le protéger. Gellert tend le bras vers la table de nuit pour saisir sa baguette qu'il avait posé là mais je le retiens.
- Attend. Voyons si elle est digne de confiance avant de faire quoi que ce soit. Norbert m'a déjà parlé d'elle dans de bons termes, essayons de discuter et s'arranger.
Il me lance un regard agacé. Son corps nu près du mien, bien que caché par les draps, ne m'aide pas à réfléchir. Il le comprend bien car il se colle encore plus à moi, me faisant perdre l'usage de la parole un instant.
- Albus, tu fais confiance à trop de gens. Tu es trop gentil, ça te conduira à ta perte. Laisse moi l'oubliéter, on ne prendra aucun risque. Déjà que je ne fais pas absolument pas confiance à Dragonneau...
Celui-ci a repris ses esprits et s'avance, baguette à la main, pour protéger son amie.
- Ne faites pas de mal à Tina !
Il lui prend la main et je vois le visage de l'aurore s'empourprer. Il doit y avoir quelque chose entre ces deux là mais ce n'est pas important dans l'immédiat. Je dois faire abstraction du fait que Gellert soit collé à moi complètement nu, ce qui est loin d'être simple, et agir.
- S'il te plaît, Gellert, laisse lui une chance. Ne sois pas le méchant pour une fois. Pour me prouver qu'il y a du bon en toi.
Il me regard, l'air hésitant.
- Tu veux prendre le risque que tout le monde sache qu'on couche ensemble ?
- Si vous me donnez une bonne raison, je ne parlerai pas, intervient Tina.
Je m'aperçois que mon bien aimé à pris sa baguette. Je soupire et lui lance un regard agacé.
- Gellert, laisse nous au moins discuter.
- D'accord. Mais je garde ça, dit-il en désignant sa baguette, au cas où, n'oublions pas que c'est une aurore.
Norbert intervient.
- C'est l'aurore la plus gentille que je connaisse ! Et elle n'est pas comme les autres, elle ne fait pas qu'obéir aux ordres et tuer bêtement, elle réfléchit à ce qui est bien ou pas.
- Merci Norbert.
- J'ai juste dit la vérité. Tina, j'avais déjà surpris Dumbledore et Grindelwald quelques temps plus tôt et le professeur m'a promis que le mage noir ne ferrait de mal à personne quand il est avec lui et qu'ils ne se voyaient que pour être en amoureux. Et, en soi, ils ne font de mal à personne. De toutes manières, même si on essayait de capturer Grindelwald, on ne ferrait pas le poid face à Dumbledore alors autant les laisser s'aimer. Tu vois ce que c'est, des inséparables ?
L'aurore hoche la tête.
- Et bien je trouve qu'ils sont un peu comme eux. Rien ne peut les séparer même leurs totals désaccords sur les moldus. Dumbledore pourrait même avoir un effet bénéfique sur Grindelwald, on ne sait jamais. Et puis, je ne vois pas pourquoi on les empêcherait de vivre leur histoire d'amour...
- Merci de nous défendre, Norbert, c'est gentil.
Le benjamin des Dragonneau me sourit. Tina Goldstein reprend la parole.
- J'imagine que je n'ai pas trop le choix... Je ne vais pas révéler votre relation, je vous promet. Je ne dirai pas un mot dessus. On ne peut pas contrôler de qui on tombe amoureux, après tout, conclue-t-elle en laissant son regard dévier vers Norbert. Il lui sourit maladroitement en rougissant.
- Bon, c'est reglé, Gellert.
- Et tu la crois sur parole ?
- Oui.
- Un serment inviolable ? propose Gellert en regardant l'aurore.
- J'accepte, répond Tina.
Elle s'approche et Gellert se redresse pour s'asseoir sur le lit. Je remonte le drap sur lui dans un geste tendre. Il baisse les yeux vers moi et me sourit amoureusement, faisant battre mon cœur. Il reporte son attention sur l'aurore en face de lui et prend son bras, retrouvant son visage impassible. Elle fait de même. Je saisis ma baguette et prononce la formule. Une fois le serment fait, Tina déclare :
- La raison pour laquelle nous étions venus était que Norbert tenait à me présenter à vous car nous sommes officiellement en couple.
- Vraiment ? C'est génial ! Je suis ravis de vous rencontrer, malgré les circonstances.
- De même.
On se serre la main.
- Je serai ravis de vous inviter à rester mais je ne suis même pas habillé et ce n'est pas terrible pour une première impression. Je suis désolé.
Elle rit sous le regard attendri de Norbert.
- Ne vous inquiétez pas, c'est nous qui aurions dû toquer.
- Et nous qui aurions dû fermer à clé, je rétorque en riant. Enfin, bref, n'hésitez pas à passer prendre un thé un de ces jours.
- Avec plaisi...
- Ce n'est pas que votre conversation n'est pas passionnante mais j'aimerai récupérer Albus, coupe Gellert en m'enlacant, me faisant rougir.
- On va y aller. Au revoir Dumbledore.
- Au revoir Norbert.
- Tu viens Tina ?
- J'arrive.
Les amoureux sortent, main dans la main. Gellert ferme la porte derrière eux, à clé cette fois. Je me retourne vers mon petit ami.
- Tu n'es pas possibles, tu le sais, ça ?
- Oui mais c'est pour ça que tu m'aimes.
Je le fais taire en l'embrassant passionnément. Entre deux baisers, je baille bruyamment. Gellert éclate de rire.
- Je pense qu'il serait temps qu'on aille dormir. La journée a été bien remplie.
- Ça c'est sûr.
Je me blottis contre mon amant.
- Bonne nuit mon cœur.
- Bonne nuit mon chéri.
Il m'embrasse sur le front et me sert tendrement dans ses bras. Je ne tard pas à plonger dans le sommeil, apaisé dans les bras de Gellert.

Recueil D'os Grindeldore (de Moi)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant