Pdv externe Albus Dumbledore est capturé. Gellert Grindelwald est derrière sa capture et il l'a bien compris. Un partisan de celui-ci qui a du recevoir des instructions le prent par les épaules et le pousse pour qu'il avance. Ils traversent des couloirs puis arrivent enfin devant une porte. Le fanatique lui dit d'avancer, il obtempère. L'homme ferme la porte derrière lui. Il est dans un hall d'entrée. - Par ici, Albus. C'est la voix de Grindelwald et Dumbledore l'a reconnu. Il la suis et arrive dans une grande chambre. Son ex-petit ami est assis sur le lit. Un fin drap le recouvre mais à part ça, il est complètement nu. Le professeur pique un fard et regarde ailleurs. - Bonjour Albus. Aucune réponse ne parvient au mage noir qui observe son compagnon en détail. - Je te trouve bien trop habillé à mon goût. Tu ne voudrais pas ôter tes vêtements ? Albus lève la tête et croise le regard malicieux du blond. - Tu es devenu pudique ? Tu n'oses plus te montrer nu devant moi ? Allez, ce ne sera pas la première fois. Le professeur le sait bien et ça le fait souffrir. Il l'aime mais culpabilise d'aimer un meurtrier. - Approche. Dumbledore obtempère, n'ayant pas le choix, lui seul étant dépourvu de baguette. Grindelwald lui prend la tête entre les mains et lui caresse la joue avec tendresse. - Tu sais que tu m'as manqué ? - Vraiment ? Moi, j'ai manqué au mage noir recherché dans le monde entier ? - Tu n'imagines pas à quel point. Le professeur laisse échapper un petit sourire. Gellert approche ses lèvres doucement pour l'embrasser passionnément. Ses mains viennent déboutonner la chemise de son petit ami. Celui-ci se laisse faire. Il attire Albus dans son lit, à ses côtés et lui murmure : - Tu sais que je t'aime ? Il ne lui laisse pas le temps de répondre et l'embrasse passionnément. Quelque temps plus tard - Gellert... Je suis épuisé... - Tu veux qu'on arrête pour ce soir ? - Oui, s'il te plaît... - Pas de problème. - Merci. Albus pose sa tête contre le torse de Gellert et se blottis contre lui. Les bras protecteurs de celui-ci viennent le serrer tendrement. Le sommeil ne tarde pas à tomber sur les deux amoureux. Le lendemain matin Pdv Albus J'ouvre les yeux. Je suis déçu de ne pas trouver Gellert à mes côtés, même si je ne devrai pas. Je trouve un mot sur la table de chevet. Je suis parti pour la journée. Tu peux te promener à ta guise dans mes appartements mais n'en sort pas. Officiellement je t'ai tué et mes partisans ne tarderaient pas à le faire vraiment s'ils te voyaient. Je suis de retour vers 19 heures. Je t'aime, Ton Gellert. Je soupire. Comment pourrais-je haïr quelqu'un comme ça ? Je m'habille et décide de faire le tour de l'appartement. Il est grand et décoré avec goût. Je lis pour occuper ma journée. Le soir venu, j'attends le retour de Gellert avec impatience. Je m'en veut de l'aimer autant. Je devrais être en train de le combattre, de tenter de m'enfuir mais je ne peux pas. Mon cœur en a décidé autrement. Dès que j'entends la porte s'ouvrir je me précipite vers lui. Je l'embrasse fougueusement. Il a l'air surpris par cet accueil mais sourit et me rend mon baiser tendrement. - Bonsoir Albus. - Bonsoir Gellert. La soirée se passe bien. Mon petit ami est attentionné, contrairement à ce que je croyais il a l'air de vraiment tenir à moi, ce qui me réjouis. Après le repas il met un peu de musique et me prend par la main. - M'accorderais-tu cette danse ? - Avec plaisir. Nous tournons lentement dans la pièce, collés l'un contre l'autre. Aucun de nous deux n'est un excellent danseur mais on se débrouille pas trop mal. Je me perds dans la contemplation de ses beaux yeux bicolores. Il est magnifique. Il me regarde amoureusement. Ses lèvres viennent trouver les miennes avec délicatesse. Je ne veux plus le lâcher, nos baisers se font de plus en plus passionnés et nous ne nous apercevons même pas quand la musique s'est terminée. Tout s'est effacé dans mon esprit, il ne reste plus que lui. Je voudrais que ce moment dure éternellement.
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