Nuit agitée

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"There was a sexual side to there relationship." JK Rowling (je suis pas certaine que ça s'écrive comme ça mais c'est pas grave"
Pdv Albus
Je suis réveillé en sursaut par une bruit. Je me redresse et le clair de lune me permet de voir ma chambre. Gellert est en face de moi, en sous-vêtements.
- Tu fous quoi dans ma chambre au milieu de la nuit ?!
- Je voulais te voir.
- Mais... Enfin...
- Désolé de t'avoir réveillé mais tu me manquais trop.
- C'est pas gra-
Son regard parcourt mon corps et c'est à ce moment là que je réalise que je suis nu et qu'il peut littéralement tout voir exposé devant ses yeux. Ce qu'il ne manque pas de faire. Je rougis violemment. Immédiatement je prends la couverture et la rabats sur moi.
- Tu m'as regardé dormir ?!
- Heu... C'est possible...
- T'es là depuis combien de temps ?
- J'ai pas de montre.
- Mais approximativement !
- Un bon moment...
- Tu me dis que tu me regardes dormir tout nu depuis longtemps comme si de rien n'était ?! TU M'AS REGARDÉ DORMIR TOUT NU ?! TOUT NU !!!!
- C'est bon, n'en fais pas tout un plat.
- Comment ça n'en fais pas tout un plat ?! Tu m'a maté dans mon sommeil !
- C'est vrai que je n'ai pas pu empêcher mes yeux de dériver légèrement mais putain Albus qu'est-ce que tu es sexy... Tu es tellement bandant...
-...
Je ne sais quoi répondre, je suis abasourdi.
- Je suis... bandant ?!
- Tu n'imagines pas à quel point...
- Je veux dire je t'ai vraiment fait...
-... Bandé ? Baisse les yeux.
J'obtempère et vois, qu'effectivement, son caleçon est déformé par une bosse. Je plaque mes mains sur ma bouche, rouge vif.
- C'est moi qui... Qui ai fait ça ?
- Oui. Tu bougeais le bassin dans ton sommeil et je peux t'assurer que c'était la chose la plus sexy au monde.
- Ho putain... Du coup, on fait quoi ? Tu veux... Enfin, tu vois...
- Oui, j'ai envie de baiser avec toi Albus.
Pourquoi il dit ça aussi naturellement ?! Je meurs d'embarras, c'est trop gênant ! Il s'agenouille à côté de mon lit et me prend la tête entre les mains. Il me tourne le visage vers lui et plonge ses yeux dans les miens.
- Et toi ? As-tu envie d'avoir du sexe avec moi ?
- Tu te doutes de la réponse.
- Je veux te l'entendre dire.
- Nan...
Il tire la couverture d'un coup, révélant mon corps dévêtu. Puis, avec un sourire carnassier, il m'ouvre les jambes au maximum, mettant toute mon anatomie en évidence.
- Ha... Gellert...
Il pose une main sur ma cuisse et la remonte lentement. Elle dérive vers l'intérieur de ma jambe, sans cesser de monter. Je retiens ma respiration. Il me caresse l'intérieur des cuisses, de plus en plus haut, mais sans jamais arriver à l'endroit le plus excitant. Une douce chaleure envahit mon entrejambe qui durcit sous les yeux appréciateurs de Gellert.
- Dis le. Dis que tu veux baiser avec moi, Albus.
- Non...
J'aime lui désobéir et je décide de ne pas lui donner le plaisir d'avoir ce qu'il veut. Il me regarde dans les yeux et je vois une leure de défi se mêler au désir brûlant.
- Je ne te laisserai pas le choix.
Sa bouche dérive au niveau de mes hanches. Attend, il ne va pas faire ce à quoi je pense ?! Mais au lieu d'embrasser mon membre maintenant bien tendu, il se met à lécher mes cuisses, à l'endroit où il les caressait quelques instant auparavant. Et il remonte sa langue lentement, très, très, très, lentement. C'est de la torture ! J'agrippe les drap sous moi et grogne, impatient.
- Je céderai à tes désirs quand tu auras fait ce que j'attends de toi.
- Jamais.
- Je sais me montrer convainquant.
Et il recommence à me lécher l'intérieur des cuisses. Il sait pertinemment que c'est un point sensible chez moi. Je veux qu'il me touche... Mais il évite toujours ce qu'il se trouve entre mes jambes de quelques centimètres, me frustrant un peu plus à chaque fois. Mon érection grossit de plus en plus, je me met à transpirer, je suis brûlant de désir. J'ai besoin qu'il fasse quelque chose. Maintenant. Je n'en peux plus. Je sers les dents, retenant mes gémissements. J'ondule le bassin pour l'inciter à faire ce que je désire mais il n'en tient absolument pas compte. Je tire sur les draps, à bout. Il alterne d'une cuisse à l'autre, faisant comme s'il allait enfin me sucer pour finalement me faire un faux espoir à chaque fois. Je dégouline de sa salive mais je la veux sur mon intimité. Mon dieu, c'est insupportable...
- Gellert... Je t'en supplie...
- Dis le.
- Gellert... Pitié...
- Dis le !
- Non... Gellert...
- Tant pis pour toi...
Il reprend sa lente torture. Mon entrejambe est si tendue qu'elle commence à être sérieusement douloureuse. Je ne savais pas que la frustration pouvait faire mal, ni à ce point... Je suis vraiment à bout de nerf. J'ai un mal de chien, je suis frustré comme jamais je n'ai été et je me consume de désir..
- Baise moi Gellert !
- Répète.
- Je veux que tu me baises Gellert ! Je veux avoir du sexe avec toi ! Je te veux !
- Encore.
- BAISE MOI !
- J'aime ça... Met toi sur le ventre.
- Hein ?
- Met toi sur le ventre.
J'obéis, trop excité pour réfléchir.
- Gellert, qu'est-ce que tu veux faire ?
- T'enculer.
- skebfleizdnndlbrkenele3irbel. Me QUOI ?
- T'enculer, Albus. Tu sais, Barbagellert va mettre sa grosse bite dans le cul de Barbalbus.
Je ne sais pas si je dois trouver la situation hilarante ou incroyablement choquante. Ou juste excitante au possible.
- Tu... Tu es très grossier, Gellert.
- Mais tu ne peux qu'être d'accord. Elle est grosse. Et tu vas bien la sentir.
Je frissonne de tout mon soûl en imaginant la sensation que me procurerait son entrejambe dans mon postérieur.
- C-c'est mal. On ne devrait pas faire ça...
- Personne ne le saura. Et puis, sois honnête, tu n'en as pas envie ?
- Si...
- Et bien voilà ! Silencio !
Il s'installe à califourchon sur mes fesses et je sens son intimité durci contre moi. Je gémis, alléché par sa proposition, nouvelle pour moi et très intéressante. Il me présente ses doigts et je ne comprend pas.
- Je suis censé faire quoi?
- Les lubrifier. Les sucer et les recouvrir de salive, si tu préfères.
- Ho.
J'ouvre la bouche et il met ses doigts dedans. Je les lèche avidemment et m'applique à les recouvrir de salive. Il les enfonce plus profondément et je manque de m'étouffer. Je les sens dans ma gorge et c'est... excitant. Je fais de mon mieux et, au bruit de ses gémissements, je ne suis pas mauvais. Il retire sa main généreusement recouverte de bave et je peux respirer correctement de nouveau.
- Tu l'as déjà fait de cette manière Albus ?
- Non, jamais...
- C'est un peu douloureux au début mais après on s'habitue. Ne t'inquiètes pas. Tu es prêt ?
- Oui, vas-y.
Je me cambre, lui présentant mes fesses. Je meurs d'impatience, toujours pas soulagé. Il introduit un doigt en moi et je pousse un cri.
- Han ! Ça fait mal... Putain ça fait vachement mal...
- Détend-toi Albus, ça va aller...
Il s'allonge sur moi, son torse contre mon dos, et passe son bras non occupé autour de ma taille pour accéder à mon intimité. Il commence à me masturber et je déverse une flopée de gémissements incontrôlables. Il accélère au fur à mesure et je reçois un peu plus de plaisir à chaque fois. Il a réussit à détourner mon attention car je n'ai presque plus mal. Constatant que je me suis détendu, il retire son doigt pour en introduire deux. Je cris de douleur et de plaisir. Il commence à bouger sa main doucement, me faisant couiner. Il effectue des mouvements de ciseaux de plus en plus forts, provoquant une vague de geingnements de ma part. Enfin il retire ses doigts.
- Gellert...
Il se remet à califourchon sur moi et me donne une tape sur les fesses terriblement excitante et qui m'arrache un puissant gémissement. Pantelant, je brûle de désir.
- Tu es prêt Albus ?
- Oui...
Il me pénétre doucement en prenant appuis sur mes fesses rebondis. Mes yeux se révulsent de plaisir et je gémis. Il entame des lents allers retours en moi, précautionneux.
- Plus vite ! Gellert, plus vite !
- Tu n'as pas mal ?
- Non, vas-y ! Vite !
Je me cambre pour qu'il me pénétre plus profondément. Il ne se fait pas prier et accélère grandement la cadence. Ses mains griffent mon dos, mais c'est une douleur agréable. Il me chevauche de plus en plus vite et moi je cris de plus en plus fort. Je suis dans un état second, au septième ciel. Je dégouline de sueur et mon corps rebondi contre le matelas au rythme des puissants coups de rein de Gellert. Il s'enfonce profondément en moi, frappant ma prostate. Je suis entièrement sien et il me domine, c'est la meilleure sensation au monde. Que c'est bon... J'agrippe les draps et hurle mon plaisir, submergé. Je vais venir d'ici peu, je le sens. Lui aussi enfle en moi, et force mon entrée sauvagement, tel une bête affamée. Il me griffe le dos violemment et c'est avec la même violence plus du tout contenue, qu'il me chevauche. Je hurle et jouis contre mon torse. Après quelques aller-retours, il se libère à son tour en moi. Je peux sentir sa semence visquence en moi et je suis profondément convainque à cet instant que je lui appartiens complètement. Il se retire et s'allonge sur moi, se pelottant contre mon corps encore tremblant.
- Ça a été Albus ?
- Ho oui...
Il m'embrasse langoureusement à mon plus grand plaisir. Je me retourne pour le serrer fort dans mes bras. Il est mon Gellert.
- Je t'aime Gellert.
- Moi aussi je t'aime Albus.
On ne dit rien d'autre, épuisés. Il prend sa baguette et nous nettoie.
- Merci...
Il me sourit et m'embrasse délicatement. Puis, il vient se blottir contre moi et on s'endort étroitement enlacés, épuisés de ces émotion intenses. Qu'est-ce que je l'aime...

Voilà, j'espère que ça vous a plus :). Ce chapitre est dédicacé à __-Caly_pso-__, j'ai relevé son défi de placer Barbalbus dans l'histoire 🤣. A plus et bonne soirée/nuit/matinée/midi/journée 😆 ! <3

Recueil D'os Grindeldore (de Moi)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant