Chapitre 7

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"Si j'ai appris quelque chose de la vie c'est que les vrais monstres,sont les
humains"

Seule et remplie d'ennuie pour de bon,j'ai décidé d'aller demander des explications à se soit disant apprenti-psychiatre qui n'était pas capable de garder son sang froid,je ne savais même plus si le malade c'est lui où si c'était moi.
Mais bon je voudrais savoir se qui se passe réellement ici.
Mais j'étais toujours énervée contre lui.

Je m'approcha de la porte de l'ex-cabinet de ma grand-mère.

Et écouta à la porte pour savoir si il y avait quelqu'un,effectivement il parlait avec...le directeur.

«Alors docteur dites-moi qu'elle est le patient qui à hurlé,hier?Questionna un homme qui je pense était le directeur.

-Oh vous savez moi j'étais pas là alors je pense que c'est la taré de la chambre dix-huit.Répondis je suppose le docteur  Mastillas.

-Oui c'est vrai c'est elle qui à hurler,c'est Léna...Mais je ne pense pas que se soit nécessaire d'augmenter sa dose de comprimés,vous savez une t'elle dose peu plonger dans le coma.Informa l'homme que j'avais envi d'étrangler à se moment précis.

Le rouge me monta au joues,là il m'avait vraiment énervé,d'abord il menaçait de me frapper,en prétendent vouloir m'aider,ensuite il raconte se qui lui passe par la tête,contre moi en disant que je suis insupportable,j'ai beau avoir un caractère de cochon moi je ne ment pas.

-Oui bon je vais y réfléchir.Finit le directeur.Au revoir.»

Il sortit accompagner du docteur Mastillas:

«Bonjour,Léna,tu n'écoutais pas au porte,j'espère?

Il me parlait comme on parle à une gamine de cinq ans.

-Non,je venais demander un renseignement au docteur.Mentis-je poliment.

Dès que le directeur fût partit assez loin,j'ouvris violemment la porte,Brian se retourna et rougit.

«Tu ne veux pas que je quitte cet hôpital,c'est ça hein!
C'est de ma faute peut être situ ne sais pas garder ton sang froid alors qu'on te pose juste un question minable comme toi,c'est dégueulasse ce que tu fais!
Par contre pour raconter des...des...

Je fis voler par la pensée l'immonde tasse de café qui l'avait grossièrement re-coller.
Brian,me dévisagea,moi je ne le regardait pas tellement se qu'il avait fait me dégoutait,mentir pour ne pas avouer ses faiblesse.

-Bon écoute,c'est vrai que la semaine dernière je me suis un peu emporté,mais je ne pouvais pas dire au directeur...que j'étais venu t'aider à sortir,alors...Dit-il doucement mais un peu stressé.

-Pourquoi,tu ne t'es pas excusé,pourquoi tu as annulé les rendez-vous pendant une semaine et pourquoi tu ne lui a pas dit que tout c'étais bien passé!Demandai-je toujours avec un ton énervé.

-Je n'ai pas pût m'excusé le matin  parce que le directeur trouvez sa bizarre que je vienne mangez à ta table alors,j'ai annulé les rendez-vous parce que je suis bête et que j'avais honte.
Et je ne lui est pas dit que tout c'étais bien passé parce qu'il à entendu crier.Déclara-t'il honteusement»

-Je suis toujours énervé contre toi... Mais tes explications sont plausible.
Répliquai-je.

Il sourit d'un sourire mal à l'aise ,son sourire ne fût pas rendu.

-J'ai promit de t'aider alors,si tu es d'accord nous partons d'ici dans la nuit.

-Clairement tu te moques de moi?Questionnais-je

-Non.Repliqua-t'il.Tu veux sortir d'ici non?

-Oui.

-Alors,ou est le problème?Demanda Brian.

-Je te connais à peine!Répondis-je.

Il rigola:

-Je suis quand même pas un inconnu,si?

-Uhm.Une connaissance,je dirais.Avouais-je.

-Je connais Annie,quand même.Insita-t'il avec un grand sourire.

-Bon écoute,tu as une semaine pour réfléchir,Au revoir Léna!Conclus le stagiaire.»

Je sortis de la salle j'avais changé d'émotions en si peu de temps;j'étais passé de la haine,à la joie et à l'appréhension.

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