Différente

Chapitre 8

"Quelqu'un qui pleure n'est pas quelqu'un de faible,quelqu'un qui pleure est quelqu'un qui à été fort trop longtemps".
Johnny Deep

De petits flocons voltigeaient dans le ciel,et venaient doucement se poser sur le rebord de la fenêtre.
Cela me faisait penser à cette merveilleuse fête de fin d'année:
Noël,oui,noel que je fêtais je pense comme la plupart des personnes sur Terre avec ma famille,recevant de merveilleux cadeaux que l'on cherchait avec mon frère partout dans la maison,sans jamais les trouver,car maman les avait caché un peu trop bien,c'était à cause de l'année précédente où on les avait  trouvé avec Thomas,car elle nous pensait encore trop jeunes et trop bêtes pour les trouver.
Maintenant que je ne là fêtait plus ou du moins n'en avait pas la possibilité je m'efforcer de rêver de ses fantastiques souvenirs...

Je parvins tout de même à penser à autre chose car il fallait que je réfléchisse,à la proposition intéressante de Brian,je posait donc les pour et les contres:
Je partais avec quelqu'un que je connaissait à peine mais je n'étais plus enfermé dans cet asile à fous.

Et au pire si Brian se révélait être un taré de meurtrier,je m'enfuirais.

Je n'alla pas déjeuner car je n'avais pas faim et attendit qu'on viennent me prévenir,d'aller le voir.

Un peu plus tard,le gros truc baraqué et sans cervelle,qui servait d'infirmier vint me chercher,je me demande tout de même si il à vraiment eu son diplôme d'infirmier!

«C'est l'heure d'aller ch...

-Je sais.Le coupai-je.»

Je me dirigea,vers la porte toqua et entra après avoir entendu un léger "entrer".
Je ferma la porte,délicatement:

«La réponse est oui.Déclarai-je avec un air sur de moi.

-Je crois qu'il est donc l'heure de faire ta valise.Dit-il avec un immense sourire à sans décrocher la mâchoire.

-Et tu à les clés?Demandai-je au cas où...

-Évidemment,le directeur à été assez intelligent pour me filer le double de toutes les portes,expliqua le garçon,ironiquement,demain trois heures du matin sa te vas?

-Mais...com...

-Je sais très bien que tu ne t'endormira pas.Finit Brian.

Après un silence il déclara:

-Il faut quand même que l'on fasse notre séance,m'informa-t-il,tu as vu il neige!À quoi te fais penser la neige?

-À Noël.

-Tu aimes Noël?Questionna le psychiatre.

-Je dirais que...j'aimais Noël...ça me rappelle de si bon souvenir d'y penser...mais ici on ne faites pas Noël,alors,je préfère éviter d'y songer.Expliquais-je

-Je vois mais,si ici on fêtait Noël est-ce que sa te remonterai le moral?

Je réfléchis à cette question pertinente.

-En fait,je pense que ça me déprimerais encore plus...»

Ces souvenirs sont doux à mes pensées et il fallait qu'il me reste une bonne image de Noël.

On parla encore un peu de cette fête,je lui conta mon dernier Noël en famille.

Puis il me déclara sont triomphal "à demain",qui était le signal qu'il m'autorisait à quitter la pièce.

Durant le reste de la journée,je fis le tour,de l'hôpital psychiatrique,plutôt des quelques pièces que je pouvais voir.
En passant,par la salle de détente où était installé beaucoup de jeu pour enfant,oui l'hôpital avait quand même quelques retardés mentaux, qui était vide car c'était l'heure du repas.

Le temps paraissait long.
Je regardais la pendule qui annonçait onze heures cinquante-quatre et m'assis sur un pouf trois fois trop grand pour moi.
J'observa la pièce sous tous les angles,cette pièce qui semblait si accueillante mais qui me rappelait tant de mauvais souvenirs.
Je me leva péniblement,et regagna ma chambre.
Et j'attendit...en lisant,en changent de places les objets toutes les cinq minutes.

Le soir,à dix-neuf heures précise,j'alla prendre mon repas sans appétit bien que je n'avais pas mangé de la journée.

Le repas finit je revins dans ma chambre.
Et rangea le peu d'affaires que je possédais dans la petite valise grise de mon enfance,de mon arrivée ici,je souffla dessus en passant mes mains dessus pour enlever les trois couches de poussières,il y avait une petite étiquette accrochée à la poignée

Cette valise appartient à:Léna et Matthew Lewis

J'eu un petit pincement au cœur je me souviens qu'on en avait une chacun mais on partageait les deux notre,on avait alors marquer notre prénom sur les deux.

Je m'habilla d'avance pour le lendemain avec quelques habits chauds,que m'avait offert Annie.
Comme il l'avait prédit je ne m'endormit pas,j'imaginais toutes les versions possible de notre voyage,la vérité sur Brian et surtout les retrouvailles avec ma famille.

Ces dernières heures me parurent interminables.
Le tic tac de l'horloge lent et répétitif.

"J'espère que tu vas vite retrouvé papa et maman!"

J'entendis mon frère dire,sa faisait longtemps que je n'avait plus eu d'apparition...

"Moi aussi"

"T'inquiète pas on t'en empêchera,on te fera souffrir,jusqu'à que tu nous obéisses."

Cette voix me dit frémir d'horreur,la voix de l'agresseur.