Chapitre 21

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"La mort est un supplice pour certains,
Mais pour d'autre c'est un rêve qui n'est pas incertain"

Je le réveille en sursaut,j'aurai voulu que ce soit un cauchemar comme tant d'autre au paravant,mais la réalité finit toujours pas vous rattraper.

Je relève ma tête et m'assois doucement.
Puis je me met à hurler à pleins poumons.

À taper sur les murs,

à balancer tout ce que j'avais sous la main.

Puis j'arrêta subitement,et me mit à pleurer.
Encore et encore,à vider toutes les larmes de mon corps à m'en déshydrater.

Pendant une semaine,je n'avait presque plus à manger.
Mais au bout du quatrième jour,je me laissa mourir.

Allonger sur le lit.
À moitié morte...

Je me réveille dans un lit d'hôpital en sursaut,est-ce un rêve?
Je vois Brian s'approcher,sa main se pose sur mon bras:

«Est-ce que nous sommes morts?Questionnai-je.

-Non,aucun de nous et heureusement,d'ailleurs!Dit-il avec un sourire.

Je secoue la tête:

-Tu n'est qu'une illusion,pendant que j'agonise...Il t'a tué,tu entends il nous à tous tué.
C'est fini...Hurlais-je.

-Oui,c'est fini.Aller vient lève-toi.Déclara-t'il.

Au début je refusa de me lever alors il me caressa le bras pendant un moment puis je finit par céder,il m'aida à me lever je me cramponna à sa main et à ma perche,nous marchâmes quelques mètres:

-Viens assis-toi.Me proposa-t'il en désignant un siège.

Et il commença son récit:

-Quand je suis sortis de la base,Jason m'a tirer dans la jambe,mais alors que je me vidais de mon sang,un fermier,m'a trouver et à appeler les pompier pendant deux jours on m'a soigner,et lorsque je suis sorti un policier est venu m'interroger avec quelques preuves je lui est prouvé qu'il y avait un gang en-dessous,il à inspecter les lieu et puis quand l'armée à été mobilisé.
Nous avons arrêté la plupart des employés.
Et sauvés quelques prisonniers
Mais il manquait Mike et Jason.
Alors les pompier t'on sauver,tu as dormis trois jours.

-Mike est mort tué par Jason,qui voulait être chef.Mais Jason...Lui expliquai-je

-Bien,dans quelques jours ont partira en Louisiane.Oh et encore mieux je suis passé dans le journal! Répliqua-t'il avec un grand sourire

-Non...d'abord on doit faire quelque chose.M'opposai-je

-Quoi?Demanda-t'il.

-On va aller à la maison de ton grand-père.Déclarai-je

-Tu es sur?Répondit-il,mais je voyais qu'il y avait une lueur d'espoir dans ces yeux.

-Certaine!Concluais-je.»

Il me serra dans ses bras,si fort que je ne pouvais presque plus respirer.
Nous restâmes comme ça pendant cinq bonnes minutes,puis quand je finis par le lâcher je lui dit:
«Je suppose que c'étais un câlin amicale».

Il sourit.

On parla toute la journée car le médecin avait dit à Brian qu'il fallait que je reste encore une journée pour me reposer.

Le lendemain matin je fis ma valise (qu'ils avaient heureusement récupérés) et nous nous dirigeâmes vers le même métro que nous avions pris la dernière fois.

Nous marchâmes dans la forêt jusqu'à trouver,une vielle maison,couverte de feuilles et à moitié délabré.

Brian,à perdu la clé,alors il se contenta de défoncer la porte.

J'avance dans la maison en ruine,certains meubles sont resté mais la plupart ont été donné à son oncle en héritage.

Le parquet est affreusement délabré avec le temps,il reste un fauteuil et la cheminée,le reste du salon est vide.

Mais il n'y a rien aucun un esprit.

Rien...Tout est vide,je décide de m'aventurer dans les autres pièces.

Je me dirige dans la cuisine,on peut encore distinguer quelques dalles jaunâtres et la moitié d'un plan de travail.
Je monte à l'étage ou on trouve une partie de salle de bain et une chambre d'adulte puis une chambre d'enfant c'elle de Brian:

«Il n'y a rien,Brian,je suis désoler.Déclarai-je

-Ne le soit pas.Répondit-il d'une voix tremblante.

Je m'assis par terre dans son ancienne chambre:

-Tu aimait les fusées.Dit-je

-L'espace et les planètes...Sa me fascinait.M'explica-t'il.Avant...avant qu'il ne meurt on prévoyait de changer la décoration,à dix ans sa ne m'intéressait plus.

Je passe mes mains sur la peinture toute effritée qui s'arrachait par morceaux,à chaque coût de vent,à cause des fenêtres brisés.
J'observais l'ampoule cassée.
Les jouet d'enfants en mauvais états.
Tout semblait dévasté,perdu.
C'est à ce moment là,que j'aperçu une petite fusée en parfait état comme si elle avait été protégé,je la pris délicatement et la montra à Brian;ses yeux s'illuminèrent de joie,les larmes aux yeux il prit l'objet doucement et le fixa pendant de longue minutes comme si il se rappelais des souvenirs passé:

-Ton grand-père mérite d'être au paradis il a un petit-fils merveilleux,il n'a rien à faire sur Terre.Dit-je»

Il me dévisagea et ses lèvres formulèrent un mot indescriptible,mais à son sourire ont compris que c'était un remerciement.

Je le regarda un moment faire ses adieux à la maison.
Nous la quittèrent.
En marchant en silence.

Dans le métro s'étant remis de ses émotions,il me proposa:

«Tu veux qu'on visite Paris?

-Oui!Répondis-je tout excité.»

Après un moment de métro nous arrivâmes au centre de la capitale et nous visitâmes la tour Effeil,splendide pour moi,moins pour Brian qui avait le vertige.
Le Louvre,la cité des sciences en express.
Et après avoir eu la surprise de dîner dans un restaurant je crois que j'eu passé la meilleure journée de ma vie!

Nous arrivâmes devant un hôtel trois étoiles,qui nous semblait confortable:
«Bonjour une chambre pour deux,avec lit séparer s'il vous plaît.Demanda Brian.

La jeune femme consulta son ordinateur pour nous annoncer:

-Désoler il ne nous reste que des chambres comprenant un lit double.

-Oh...et bien,tant pis nous la prenons.Répliqua-t'il.»

C'est ceci que Brian m'a raconté alors que je patientait sur un fauteuil non-loin de là.

Je ne sais pas si je droit croire à son histoire,je ne rouspéta pas tant donné de la journée qu'il m'avait offert.

Je m'endormis alors lové dans ses bras.

DifférenteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant