Chapitre 19

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"Nous restons là,
à tord,
qu'elle nous détruise un peu plus à chaque fois,
la mort"

Je me réveilla sur le somptueux lit rouge,m'étira en espérant que cette mâtiné ne soit pas trop difficile.
Je m'extirpa du lit,et me prépara.
Puis appuya sur le bouton noir.
Quelques minutes plus tard,je vis entrer Mike:
«Bonjour,Léna,je suppose que tu m'appeler pour que l'on t'apporte le petit déjeuner.Mais maintenant que tu fais parti de l'équipe tu doit manger avec nous au réfectoire et enfiler cette tenue.»
Il me donna une espèce de combinaison noir,je souffla et partit dans la salle de bain enfiler la tenue qui ne m'enchantais pas vraiment...
Je me fichais de comment j'étais habiller,de la mode.Ce n'était pas mon principale problème...
Mais sa me rappelait l'hôpital,car sûrement nous serions tous habillé pareil,ici aussi.

Je sortis de la salle de bain sous le regard approbateur de Mike,et le suivit jusqu'au réfectoire:
Des centaines de gens me regardaient d'un œil interrogateur.
Je recopia Mike pris quelques trucs à grignoter et me prépara à m'installer à une table seul quand une main me retint;Mike:
«Viens t'installer avec nous,tu ne va pas manger seul!
-Eu...ok.Repondis-je.

Je le suivis jusqu'à la table des chefs je présumes elle n'était constitué que d'une seul femme:l'infirmière blonde que Mike semblait bien aimé.Le reste étaient des hommes,d'ailleurs dans toute la base il ne devait pas y avoir beaucoup de femmes seulement quelques infirmières et fonctionnèrent sur les ordinateurs,et une ou deux gardes peut être.

Et bien évidemment j'allais manger en face de Jason.

Je m'assis avec regret sous son regard lourd,je regarda mon bol de céréales,en faisant tourner la cuillère dedans.

Je mangea quelques cuillères,puis me leva en déclarant à Mike que je n'avais plus faim.

Après avoir débarrassé mon plateau je ne retourna pas à ma chambre mais visita les différents endroits de la base,elle était plus grande que se que je pensais.

Mais au bout de quelques minutes je retourna dans ma chambre,car j'avais l'affreuse impression d'être suivis.

Je pris soin de fermer la porte derrière moi,et je fis les cents pas dans la chambre.

Un peu plus tard,on frappa à la porte,j'alla ouvrir;Mike:
«Léna,suis moi nous devons commencer les entraînements.

Je le suivis jusqu'à la porte d'un grand gymnase.

-Les autres ne vont pas tardé a arriver,profite tu n'a la salle rien que pour toi!Me dit il d'un ton joyeux.»

Je laissa échapper un grognement.

Je m'installa devant un pao et le frappa sans réel enthousiasme.

Un quart d'heure plus tard,des autres jeunes (certains ne devaient pas avoir plus de 16 ans).

Ils se jetèrent sur les ateliers en me dévisageant les un après les autres.
Je baissa les yeux et continua à frapper lentement.
Et comme par hasard la personne que je détestais le plus s'installa à côté de moi.
E commença à frapper avec une force inimaginable sur son pao.
Jason évidemment;j'évita tout contact avec son regard sadique,mais lui ne pût s'empêcher de me menacer:
«Tu ne sais pas de quoi je suis capable,Léna.»

Je quitta la salle en évitant de me prendre un coup de pied,un couteau ou je ne sais quoi encore.

Je marche,en espérant que Brian va bien avec sa jambe en mauvaise état je sais que sa sera long car le temps de mobiliser la police enfin je pense l'armée plutôt.

Au final je fais demie-tour et décide de glander dans ma chambre.

La journée s'est écouler lentement,il est environ vingts et une heures et demie,c'est à peine si je suis sortis pour le déjeuner et je n'ai plus bouger de ma chambre même pas pour le repas.
J'ai faim.Je presse le bouton noir:
Cinq minutes s'écoulent puis dix,quinze,vingt.
C'est louche,je décide donc de sortir il n'y a personnes dans les couloirs je pense qu'ils sont tous en train de squatter la télé.

Bon...peut être que les frigos restent ouverts la nuit?

Je marche en chaussettes dans les long couloirs.
Jusqu'à qu'un cri me fasse sursauter;je décide de ne pas m'y attarder et de ne pas y prêter attention.

Le même cris retentit;plus fort il vient de la cafétéria,je pense que je rêve
mais dans le doute j'accélère le pas.

Je suis à présent devant le hall de la cantine:
Un homme est pendu,les yeux devenus blanc,le corps en sang;l'horreur.
Trois hommes habillés en noir se regardaient avec satisfaction.

Mais devant se massacre je ne pût retenir un cri de stupeur.

Malheureusement pour moi,ils avaient entendus.
Ils se retournèrent.

Je partis en courant,tout droit toujours tout droit.
Ma petite course ne dura pas longtemps.
L'un d'eux arriva devant moi je me retourna et fut intercepté par un autre.
Il mit sa main sur ma bouche,me mit un pistolet dans le dos et me susurra à l'oreille:
«Je t'avais prévenu.Maintenant je vais te raccompagner à ta chambre et se sera notre secret.
-Jason! Marmonnai-je.»

Mais comme réponse je n'eu le droit qu'à un chut.

Il me raccompagna à ma chambre,il enleva son masque et dit:
«Fait de beaux rêves».

Je réussi étonnement à m'endormir pour une nuit pleine de cauchemars.

DifférenteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant