Chapitre 11

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"Doucement vous fermerez les yeux,
pour peu à peu,
quitter cette terre,
et rien faire,
peut être aller dans un monde meilleur,
là ou vous mènera votre cœur."

Je resta assis,figée sur cette vielle chaise.
Essayant d'oublier se qu'il m'avait dit.

Quand soudain une main me toucha l'épaule:
«Léna il fait que tu viennes,tu ne peux pas rester ici pour toujours...Commença-t'il.

Mais je ne lui répondit pas.

-Je sais que de que je t'ai dit n'ai pas une bonne nouvelle mais tu dois continuer tu dois te battre,et j'ai promis de t'aider,ne baisse pas les bras.Finit-il

-Oui mais ils s'en sont pris à elle c'est sur.Murmurai-je.

-Il ne peuvent pas sans prendre à elle.Lança-t'il.

-Il ne savent pas où elle est,et ta famille est partie en Amérique,ils ne sent douterons pas je te le garanti.Conclua-t'il.»

J'approuva d'un hochement de tête indécis.

Il me tendus sa main et je m'y accrocha lourdement,nous sortîmes de la bibliothèque:

«Ou est-ce qu'on va?Demandai-je.

-À la gare!Déclara-t'il d'un ton hyper joyeux comme si il venait d'annoncer la nouvelle de l'année.

-Et comment on y va?À pied?Déclarais-je ironiquement sur le même ton que lui.

-En voiture.Dit-il machinalement vexé que je me moque de lui.»

Nous marchâmes en silence jusqu'à un magnifique pick-up noir qui devait coûter une fortune.
J'ouvris la porte me glissa à l'intérieur de la voiture.
Il démarra,et le voyage se déroula en silence.

Après une demi-heure sans bruit,je demanda:

«Où as tu eu l'argent,pour le pick up,ce n'est pas que je te considère comme pauvre mais...

-Longue histoire...

-Mais,on a le temps.Repliquai-je.

-Non,on est arrivé,annonça Brian,allé descend.

Je souffla,nous descendîmes lentement de l'énorme quatre-quatre.
Et entrâmes dans une grande gare où des millier de gens se pressaient.
J'avança doucement:

«Attends-moi ici.Demanda-t'il en désignant un banc.

-Où,esqu...J'allais protesté mais il avait déjà filer.»

Je marmonna,et décida de m'assoir sur se banc d'un horrible rose,j'avais le loisir de regarder des millier de personnes,qui s'avéraient toute être pathétique...Un homme téléphonait,une femme essayait calmer son nourrisson,un pauvre enfant prenait le train seul et s'était perdu ou encore un ado jouait sur son portable.
Et la situation se renouvelait dans la gare,comme si chaque individu avait la même vit.
Mais vous savez se qui était le plus pathétique dans tout ça,c'était moi!
Seul sur un magnifique banc rose,notez l'ironie,à observer le monde.

Puis un homme comme les autres pathétique et extrêmement niais,s'approcha,il souriait comme un débile,mais je crois que sa m'énervais surtout de le voir toujours souriant pour un rien car moi je n'y arrivais pas,ce que sa m'énervais...enfin l'homme en question arriva à moi:

«Tiens.Dit-il en me tendant le billet.
Nous partons pour la capi...

Il ne pût finir sa phrase car des coups de feu énorme se firent entendre.
Des gens criaient,couraient,chercher à se protéger sous ses affreux banc roses.
Et moi j'étais là,sans bouger incapable de dire un mot.
Lorsqu'une main m'attrapa avec force et me tira violemment.
C'était celle de Brian,nous courûmes,
Tandis que les portes d'un train était entrain de se fermer et qu'une balle frôlait ma tête il me poussa à l'intérieur et tomba à côté de moi.
Étrangement ma première réaction fut d'éclater de rire,il me dévisagea étonné et commença à rire avec moi.

Pourquoi je riais je ne sais pas probablement que sa me permettais d'évacuer le stress.

J'étais dans un train,j'avais faillit mourir,ce n'étais pas une journée ordinaire.

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