Chapitre 16

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"Dans le blanc noircit par le désir de vengeance,
j'essaie de rester c'elle que j'ai toujours été"

Je le regarda un moment.
Puis il continua:
-Elle mourût sur le coup,sans que personnes ne puissent en expliquer la cause.
Le grand-père décida d'adopter,se petit garçon.
Lui qui avait élever ses enfants seul sa ne lui posait pas de problème.
Et puis,il avait peu de rapport avec son fils,et à présent plus de fille.
Le bébé alla donc vivre chez son grand-père.
Les années passèrent et le petit garçon fêta ses dix années d'existence.
Et comme tout les vendredi soir le grand-père et le jeune garçon veillait un peu plus tard.
Puis le grand-père borda son petit fils et lui dit:«Bonne nuit,mon petit.
-Bonne nuit papi.Répondit le petit garçon.
-Tu sais papi est vieux est fatigué.Rajouta le grand-père exceptionnellement.
-Mais on ira quand même à la pêche?!Répliqua le petit garçon.»
Le grand-père ne répondit pas et il éteignit la lumière.

Le lendemain,le petit garçon de réveilla seul,il regarda son réveil qui annonçait 9:30,bizarre son grand-père devait le réveiller à 8:00.
Il se leva péniblement de son lit et monta les escaliers pour toquer à la porte de son grand-père.
Il toqua:une fois...deux fois...trois fois...
Mais en vain,il l'appela:
«Papi,pourquoi ne m'a tu pas lever?
Papi,tu es là?Papi il faut se réveiller.»
Puis après dix minutes à crier derrière la porte l'enfant entra,vit son grand-père livide sur le lit,il s'approcha lentement et murmura à son oreille:
«Papi?Réveille toi.
Le petit garçon,avait compris se qu'il s'était passé,mais se n'était qu'un gamin de dix ans,il y avait de l'espoir dans ses yeux.
Il...il,savait mais l'espoir est parfois plus fort que la peur et on continu à y croire malgré tout.
Il commença à crier de plus en plus fort pour empêcher l'âme de son grand -père de s'envoler:
-Papi,réveille toi se n'est pas drôle,on doit aller à la pêche,aller,lève-toi!
Et il hurla pour sortir son grand-père de se sommeil infini.
-PAPI,IL FAUT QUE TU TE LÈVE,MAINTENANT TU...TU...
Puis peu à peu les hurlement se transformèrent en larmes:
Tu m'avais promis,papi,tu ne peux pas me faire ça.J'ai besoin de toi.J'ai besoin de toi.

Il resta là,figé,pendant des heures.
À entendre,que le cœur de son grand-père qui était pour lui le père qu'il n'avait jamais eu,se remettent à battre.

Au bout de quelques heures,il appela les pompier même si il savait que, c'était la morgue qu'il devait appeler.

Les pompiers arrivèrent quelques minutes plus tard en emballant le vieux homme dans un sac noir.

Le pompier demanda à l'enfant:
«Mon petit,as-tu de la famille?
-Non...Mais il y a Annie.Repondit-il.
-Je vois,peut-tu me donner ses coordonnés?Dit-il.»

Le garçon lui donna le téléphone de son grand-père.
Et ainsi,le jeune homme alla habiter chez Annie,quelques jours le temps que l'on trouve si il avait de la famille.
Il avait depuis toujours aimé Annie qui était une très bonne amie de son grand -père.Elle lui parlait de sa petite-fille.
Les foyers sociaux finirent par trouver,un certain oncle,qui possédait un fils.
Mais avant qu'il ne parte,Annie lui dit:
«Ne t'en fait pas Brian,je n'aurais pas pu te garder car je dois sauver ma petite fille,qui à été emmener par des gens méchants.
-Je comprends,mais tu va me manquer.Et puis quand je serais plus grand je t'aiderais à sauver ta petite fille,si tu n'a pas réussi à la libérer.Répliqua-t'il.
-Toi aussi tu vas me manquer mon grand,et puis tu pourras me joindre tu as mon numéro.Déclara-t'elle.
L'enfant secoua la tête et répondit:
-Non,je ne l'ai plus.»
Elle lui inscrit le numéro sur un bout de papier.
Il le prit et le mit dans sa poche.

Bientôt,une voiture vint le chercher et l'amena dans un grande maison qu'il ne connaissait pas.Muni d'une valise,il descendit faiblement de la voiture.
Une petite famille l'accueillit:
-Bonjour,Brian je suis ton oncle Martin,j'étais le frère de ta maman.Et voici ta tante Kathryn,et ton cousin Jake.
Le jeune garçon baissa la tête,devant l'affreux regard que lui lançait son cousin.
Il vécu dans cette grande maison,détester par son cousin et sans importance pour sa tante,et dans son oncle qui travaillait beaucoup et ne rentrait que le dimanche.
Il grandit vite,sans que quelqu'un ne jette un regard sur lui.
Il contactait souvent Annie,pour en apprendre d'avantage sur cette mystérieuse jeune fille il faisait des recherches sur comment l'aider.
Il avait enfin trouver quelqu'un de seul,quelqu'un comme lui.
Il essayer de tout savoir sur elle.
De mettre au point un plan,bref...
Mais son cousin à leur quatorze ans se mit à s'intéresser de plus en plus à lui.
C'est ainsi qu'il prirent ensemble un mauvais chemin dans la drogue,et la mafia.
Deux ans plus tard à leurs âges de seize ans.
L'oncle Martin pour les sortir de là les amena à son travail leurs donna un travail d'agent secret dans cette base de scientifique dont il était le chef,pour retrouver un jeune fille,qui apparemment avait un don de télékinésie et le don de voir les âmes errantes,ils avaient pour mission de la tuer.
Le jeune hommes savait se que cela impliquer.
Il était passionné par les dons de cette fille et voulait qu'elle en face de même avec son grand-père.
Il cherchèrent donc pendant longtemps,mais l'oncle Martin lui mourût d'une balle dans la poitrine.
Ainsi,la mission changea,et la jeune fille devait être trouvée pour entrer en contact avec l'ancien chef de la base.

L'enfant qui était à présent un homme continua cette mission en solo.

Et la suite de l'histoire,et bien...tu l'a connaît.»

Il y eu un temps d'arrêt,Brian ne ressemblait plus à l'homme agressif des premiers jours.
Ils ressemblait à un enfant perdu,dans ce monde trop grand pour lui,il avait raconter cette histoire à la troisième personnes dans que je sache pourquoi,mais il m'informa:
«Je suis...suis tellement désoler de t'avoir amener ici,je suis égoïste,j'aurai...j'aurai dût te ramener à ta famille.Je...je
-Ton grand-père et la seul personnes que tu as vraiment aimé.Et je ne t'en veut pas je voulais juste une raison et je l'ai eu,maintenant,je vais voir le marcher que me propose Mike,je vais coller mon point dans la figure de ton cousin,je vais m'enfuir d'ici avec toi et nous allons trouver ton grand-père.
Ah et aussi j'accepterai tes excuses à une condition:
Tu exécutera mon plan au doigt et à l'œil.Ok?.Dit-je
Il hocha vaguement de la tête.
Et la tourna sur le côté comme un chien battu.
Il me fit de la peine,je m'approcha de lui et me blotti dans ses bras et me fit un bisou sur le front je m'enleva et fronça les sourcils,il répliqua en souriant:
-C'était un baiser amical,Léna.
Je me dirigea vers la porte mais avant que je parte il ajouta:
-Et puis...on ne refuse pas le baiser d'un malade.»

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