Cuatro

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- akashi !, akashi !, hurlait mibushi en courant avec des photos à la main, il courut jusqu'a la chambre d'akashi.

- qu'y a t-il encore ?, demande akashi en se levant du lit.

- kuroko..., dit il entre deux souffle, il n'est pas rentrer chez lui, finit il.

Akashi l'observa une minute puis dit il doit surement être aller ailleur.

- c'est surement pour ça qu'il ne voulait pas que anamiya le raccompagne. Continua-t-il suivi d'un baîllement.

- il y a ça, dit leo en lui tendant les photos qu'il avait dans la main.

Akashi les pris et quand il les vu, son cœur se serra, sur les deux photos on voyait kuroko dans les pommes et attacher, il avait l'impression que son sang ne bouger plus d'un pouce.

- qui les a envoyée ?, demande le rouge en serrant les dents.

- le baron, reponds mibushi ayant repris son souffle.

- trouve moi où est tetsuya et appel aomine, ordonna le rouge avant d'aller sous la douche.

L'eau etait glacée, mais pas suffisament pour calmer sa colère, son sang bouillonner, il avait l'impression qu'il allait imploser.

Pourquoi maintenant ?, pourrais-je un jour enfin me reposer ?, j'en ai marre !, se disait il en frappant son poing à chaque mot sur le mur glacé de la douche.

Il sorti de la douche cinq minutes plus tard, un peu plus "calme" et s'habilla, il mit un manteau en sortant de la chambre, à sa sorti, il vut mibushi accompagner d'un autre homme aux cheveux bleu et à la peau brune.

- alors ?, fit il à mibushi.

- dans un asile abandonné à quelques mètre de la sorti de la ville.

- un asile, pensa-t-il en souriant de rage interièrement.

- nous sommes près, dit simplement le troisième homme.

Akashi pris la route avec cinq autres voitures derrière la sienne qui etait conduite par anamiya.

Une heure de torture et de supplice plus tard, ils y etaient enfin, akashi fut le premier a sortir, suivi de aomine et du reste des hommes, à l'exception de mibushi et anamiya.

- donne-le-moi, dit le rouge à l'intention de aomine qui lui tendu une arme, que le rouge prit puis verifia le chargeur.

Akashi regarda le bâtiment delabrer qui leur fesait face,"et ce dans cet endroit moribonde qu'il te retiens prisonnier" pensa-t-il, aomine donna des ordres aux hommes qui se disperçerent puis akashi et aomine suivirent,
À present, il n'y avait plus que akashi et daïki, ils etaient dans couloir sombre et ils ne pouvaient se permettrent d'allumer une quelconque lumière. Après quelques minutes de marche, akashi vut une porte au bout d'un couloir qu'ils avaient emprunter.

- je vais y aller, dit le bassané.

N'ayant réçu aucune réponse, il décida quand même d'y aller, il ouvre lentement la porte, puis il y passe son arme et ensuite il y passe, et vérifie la zone.

- tu peux avancer, dit il à akashi qui s'executa.

Akashi passa la porte et regarda autour de lui, ils etaient sur une passerelle en métal rouillé qui avait des marches qui menaient au sol. Il regarda au sol, il y avait un tas de dechet, des cartons à demi devoré par des rats qui passaient parfois en un éclair, puis daïki lui fit signe en lui indiquant quelque chose avec sa tête, et quand akashi ragarda vers la direction qu'indiquait le plus grand, il vu une touffe des cheveux bleu, le même que celui des cheveux de kuroko, il voulut avancer mais fut stoper par aomine.

- c'est surement un piège, dit le bleu.

- je m'en fiche, lui reponds le rouge.

- alors patiente deux seconde, dit le bleu en sortant un portable de son pantalon, puis il écrit un message qu'il envoya et de remit le portable dans son smooking noir profond après avoir reçu ce qui semblait être une reponse.

- tu peux avancer, dit il à akashi qui n'attendu pas une seconde de plus pour descendre les marches, suivi de près par aomine qui regarder toujours à gauche et à droite pour vérifier s'il n'y avait pas de danger, plus il avançait vers ce qui pourrait être kuroko, plus son cœur se serrer, ses mains étaient tellement moîte que l'arme dans sa main menacer de glissait, jamais une distance d'à peine trois mètre n'avait été aussi longue, et jamais il n'avait ressenti cela.

Ils arriverent enfin, il s'approcha du carton qui laisser s'échaper les mèches de cheveu et l'ouvra et à ce moment son cœur ratta un battement.

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Salut, salut, j'espère que le chapitre vous a plu, si c'est le cas, alors n'hésitez pas à votez et commenter.

Es-ce vraiment kuroko dans le carton ?, vous le saurez en lisant le prochain chapitre de mon obsession.

Mon ObsessionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant