Ensemble malgré tout [Seulrene] - Red Velvet

Chapitre 8

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Nous étions sur la route direction le lycée, j'aurai bien pu aller au store aujourd'hui pour préparer une fête d'anniversaire pour Yerim, comme le 5 mars c'est son anniversaire, et il tombe pile le vendredi soir, alors pourquoi ne pas en profiter ? J'aurai le temps de préparer avant qu'elle arrive comme je fini tôt. J'ai juste à inviter Naeun en plus des autres filles ainsi que les amies de Seulgi et de Binnie. Je demanderai de l'aide à Wendy comme elle est plutôt libre cette semaine aussi.

— Naeun : Comment trouves-tu ta colocataire ?

— Moi : Pourquoi ? Tu es jalouse ? Demandais-je avec un sourire au coin.

— Naeun : Puis quoi encore ! Moi ? Jalouse ? Rien du tout... je suis juste... hum... juste curieuse...

— Moi : Je te crois alors. Pour être honnête, je ne sais pas... Je viens à peine de la connaître mais elle est gentille, mignonne et.... et... je dois dire quoi d'autre ?

— Naeun : Je ne sais pas c'est toi qui la vois, pas moi. Dit-elle en tirant la moue.

— Moi : Tu n'as pas changé.

— Naeun : Tu as dit quoi ?

— Moi : Qu'on est bientôt arrivé.

— Naeun : Déjà... c'est rapide.

Je me gare à la même place que ce matin et attend que la sonnerie sonne dans l'établissement. Pendant ce temps-là je vais envoyer un message à Wendy pour venir vendredi pour m'aider avec les préparatifs. Je lui envoie une liste qu'elle devra acheter comme le gâteau, les ballons et des boissons, pendant que moi j'achèterai les aliments pour préparer l'apéritif et le repas du soir.

— Moi : Naeun, qui es la charmante soliste de cover qui as fait battre ton cœur ? Dis-je en finissant de taper le message.

— Naeun : eh bien... Tu souhaites vraiment le savoir pour quelqu'un qui me fait marcher sur des œufs, en tournant le regards vers moi.

— Moi : Hum... mouai mais je peux te laisser ici aussi.

— Naeun : Quoi ? Tu ne ferais pas ça ?

— Moi : Ça dépend de toi, je ne sais pas.

— Naeun : Si tu le dis...

— Moi : Les comportements ne changent jamais après des années, c'est rassurant. Dis-je en soufflant, sortant de la voiture à la suite.

Après 15 min d'attente, le blanc qui s'était installé devenait de plus en plus gênant, heureusement que la sonnerie avait retentît. Les adolescents sortaient excités d'avoir enfin terminé cette journée de rentrée, je me redresse du capot de la voiture et essaye de trouver Yubin et Seulgi.