Chapitre 17

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Nous sommes sur le lit, Yubin s'est déjà endormie sur le lit placé au sol depuis une vingtaine de minutes. Je regarde le plafond repensant à cette fin de soirée tripotant le bracelet de Seulgi de ma main libre. Yerim a été contente de ses deux jours d'anniversaire, remplie de joie et d'humour, amitié comme amour. Seulgi ne m'a pas lâché du regard toute la soirée, bien que ce soit déstabilisant, ce ne m'a pas plus dérangé. Je dois en rougir rien que d'y penser, Seulgi et son âme, elle et son corps, elle et son sourire, elle et son rire. Bien que je n'eusse jamais pensée avoir à faire à une « histoire d'amour » avec une personne qui me comprendrait et qui m'aimerait comme je le suis, et qui ne m'apprécierait rien que moi et ma maladie, je me suis bien trompé en fin de compte.

Je me fais sortir de mes pensées quand je sens le lit bouger à mes côtés. Je tourne la tête face à Seulgi qui elle me regardait de ces beaux yeux, pourtant si normal aux yeux de tous. Je souris, rien que de penser à l'incompréhension des personnes qui me regarderaient avec folie pour mon regard face à cette femme.

— Seulgi : Pourquoi souris-tu ?

— Moi : Je me demande bien aussi...

— Seulgi : Tu pensais à moi, avoue.

— Moi : Pourquoi ça serait toi !

— Seulgi : Baisse d'un ton tu veux, puis il y a que moi qui peut te donner un sourire aussi magnifique...

— Moi : Ce n'est pas vrai, arrête de te jeter des fleurs, je ne te voie pas fleuriste plus tard.

— Seulgi : Ah Ah Ah... Ton nez est en train de pointer à force de mentir.

— Moi : D'accord, c'est vrai mais arrête de jouer à ce jeu avec moi.

— Seulgi : Je n'ai même pas encore commencé.

— Moi : Au lieu de me dire des âneries, dis-moi plutôt la fin de ta phrase.

Un long blanc se place entre nous me donnant des frissons le long du dos.

Était-ce si dramatique de vouloir savoir par curiosité ?

— Moi : Seulgi ?

— Seulgi : Hum... je réfléchis comment reformuler la phrase...

— Moi : C'est si marquant pour avoir autant de réflexion dessus ?

— Seulgi : Oui... car ça me tient à cœur Bae Joohyun.

— Moi : Dis-le-moi, je ne jugerai pas.

— Seulgi : Et bien... je voulais te dire... que je ne voudrais pas qu'on se sépare après que tu n'es plus besoin de faire une colocation, je m'y suis habitué à toi et ton appartement. Ça me ferait bizarre de partir laissant des souvenirs au loin... puis... oh... C'est horrible...

Ensemble malgré tout [Seulrene] - Red VelvetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant