partie 9

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_Non,il faut que tu saches. Je ne veut pas que tu te fasses des illusions sur mon compte. Tu es un homme vraiment gentil et j'aimerais que tu sois mon ami. Je suis convaincue qu'il n'y à plus de place pour l'amour dans ma vie ,parce que j'ai eu une très grande déception sentimentale. J'ai passé mon temps à jongler avec des hommes que je n'aime pas,à cause de leurs argent. Maintenant, je suis habituée a un certain style de vie, et franchement, je ne sais pas si j'aurais le courage d'y renoncer, pour un homme. Pourtant je me sens si comblée en ta présence...... Je ne sais plus où j'en suis!
Je m'était adossé contre le mur ,derrière le lit ,la tête baisée. Ismaël est assis à mes côtés. Il se rapproche de moi ,me prit le menton et me fixe dans les yeux :
_Marianne, es-tu heureuse ?
_pourquoi me poses tu cette question ?
_Tu sais cette nuit, je t'ai longuement observée pendant que tu dormais . ton sommeil était très agité, tu te débattait. On aurait dit qu'il y avait une souffrance intense qui te dévorait le coeur.
_Tien!monsieur joue les psychiatre, maintenant ! Eh bien, sache que tu t'es trompé de cobaye. La vie que je mène a ses bons et ses mauvais côtés, mais je ne suis pas plus malheureuse que les autres ! Lancé je sarcastique.
_Ne te fâche pas ,Marianne je te demandait juste si tu est heureuse. J'ai compris tout ce que tu m'a dit:l'argent, les gens et les milieux huppés que tu adores et tout le reste. Mais tu sais le bonheur est souvent à côté de nous et nous le ratons parce que l'on s'accroche à des choses futiles et éphémères. C'est vrai bonheur, celui dont je te parle, il repose souvent sur des choses simples, "la familles, une foi inébranlable en dieu,l'amour sincère et réciproque, les enfants.... Et ça, ce sont des choses que l'on achètent pas Marianne
_Ça suffit, tu me fatigues avec tes histoires !
Je l'ai dit sur un ton désemparé. Je ressent une impression bizarre. Comme si  que Ismaël était doté de pouvoirs spéciaux qui me confèrent une autorité naturelle sur moi.
Ses paroles me troubles au plus profond de mon être mais je ne veut en aucun prix le laisse transparaître. Je me lève brutalement Ismaël s'interpose devant moi me barrant la route de son torse puissant. Sans me laissé le temps de réfléchir, il me prend par la taille et me donne un long baisser. Vaincue  je me laisse aller quelques secondes, étourdie par la magie cette poitrine musclée qui m'enveloppe et l'odeur sensuelle qui émanait de lui. Je me dégage violemment vociférant :
_VOILÀ! VOILÀ !les hommes sont tous pareils, toujours prêts à profiter des moments de faiblesse des femmes pour assouvir leurs basses pulsions. Parce que je déprimait, et que j'ai eu besoin de ta présence, tu penses que ça te donne le droit de le faire la morale puis le sauter dessus et de m'embrasser ?
_Excuse-moi, Marianne, je...!bafouilla t'il.

DRING....DRING....DRING.

La sonnerie du téléphone interrompt cette situation embarrassante. Je sort le Motorola vector de son étui en croco de la taille d'une boîte d'allumettes et décroche
_allô ?
_allô ma puce, c'est Hassan, je suis en bas de chez toi.
J'hésite un instant puis :
_vas-y monte je Touvre.

Je me retourne vers Ismaël :_Allez,cher ami,il faut que tu partes maintenant j'ai de la visite. Nous avons passé trop de temps ensemble. Merci pour ta sollicitude, je te promets de t'appeler très bientôt.

Il ramasse son blouson  puis se cale a l'entrebâillement de la porte. Il plonge ses yeux noirs dans les mienne, puis me fît un sourire plein de sincérité et se retourne :
_Au-revoir Marianne !
C'est au moment où il ouvre la porte pour sortir que Hassan arrive et se trouve en face de lui ils se devisagerent longuement.
_Bonjour lance Ismaël pour décrisper l'atmosphère.
Pour toute réponse Hassan le détail minutieusement, de la tête au pieds, avec un regard chargé de dédain,puis s'engouffre dans l'appartement

Ismaël descend les escaliers en rigolant, amusé par l'altitude de Hassan.
_Marianne peut tu m'expliquer ce qui ce passe ?
Hassan qui est confortablement installé dans le salon, l'air boudeur.il est habillé d'un costume noir, avec nœud de papillon et œillet à la boutonnière.
_Quoi ?répond dit je coquine.
_Ce jeune homme... Qui est ce jeune homme que tu reçois chez toi, et qui s'en aller alors que moi j'arrivai ? Poursuit t'il hargneux.
_C'est mon ami. Pourquoi ? Je n' ai pas le droit d'en avoir ?
_Justement ! Je ne veut pas que tu reçoives n'importe qui chez toi. Et puis ,il faut que tu fasses attention à tes fréquentations.
_Qu'est-ce que tu veut dire Hassan ?
_ Oh tu sais ...reprend-il, je ne parle pas de ce minable qui vient de sortir d'ici. Lui ,je m'en fiche ,il n'est pas de ton nivôse et je n'ai rien à craindre d'un mois que rien de son espèce. Mais je tiens à te dire que je suis au courant de ce qui s'est passé hier ,au madison palace, et la bagarre que tu y'a déclenchée. Ça ne la pas du tout fait plaisir !
_mais ma parole Hassan, tu me fais surveiller ?
En posant cette question le m'était assise en face de lui, dans le fauteuil.

Il reste captivé le regard fixé sur mes longues jambes fines qui émergeaient de ma robe de chambre.
_Marianne, je t'aime, je veut faire ton bonheur ! Dit il subitement docile.
_Sais-tu seulement ce qu'est le bonheur Hassan ? Dit plutôt que tu ne penses qu'à ta réputation et à ton prestige, égoïste va lui dit je en riant.
_Bon OK . on fait un trait sur cette histoire du madison palace. Je veut pas que j'ai t'enerves aujourd'hui car tu doit m'accompagner à une cérémonie que nous ne devons rater à aucun prix !
_Mais Hassan je vient de me réveiller.
_S'il te plaît Marianne, va te faire belle. Tu ne veut pas que je te coupe les vivres ? Fit-il mi_coquin,mi_sérieux.
_D'accord, mais ne te plains pas si je prends tout mon temps pour m'habiller !





Pvd d'Hassan :
J'ai décide d'inviter Marianne a un cérémonie de lancement d'une chaîne de pizzerias qui appartient à l'un de mes meilleurs amis. elle est habillé d'une petite robe noire en satin qui mette en valeur ses épaules délicates et ses jambes magnifiques.
On s'assoient à l'arrière de la Mercedes et direction du quartier de Zone 4 où  se tient l'événement.
Marianne était demeuré pensive tout le long du trajet.
_Tu me semble bien préoccupée cet après midi ...
_Je pensait à pleins de choses
_Ah bon ?Et on peut savoir à quoi,si ce n'est pas trop indiscret?
_Disons......que je me demandait si à une telle cérémonie tu devait pas venir avec ton épouse plutôt qu'avec une maîtresse....

Voté💥et commenté💬

Perso : c'est un crime de lire sans appuyer sur l'étoile💥et de commenté 😂😂😂😂😂😂😂😂

Kiss love u

le choix de marianne🌹🌷  EN RÉÉCRITURE 🙏Où les histoires vivent. Découvrez maintenant