Chapitre 15

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- Soyez prudents tous les deux, demande Hermione accompagnée de Susan et Caspian devant un cheval noir ébène monté par Lucy et Severus.

- Je le suis toujours, répond son petit frère avec son petit air vaguement supérieur.

- Dit l'homme qui a faillit mourir d'un rhume, rétorque Susan provoquant le rire de Lucy devant le garçon.

- Ce n'est qu'un détail, on peut y aller maintenant ? Miraz ne va pas attendre que nous soyons partit pour attaquer !

- Severus Rogue, écoute moi bien si tu ne fais pas le nécessaire pour vous ramener tout les deux bien vivants je te tue, menace la Grande Reine consciente que son petit frère apprécie qu'elle s'inquiète sans le lui montrer.

- Tu ne peux pas, je te manquerais trop à ton époque, répond Severus qui lui tire la langue.

- Certes. Lucy assure toi de me le ramener en vie tu veux, tu es la plus mature de vous deux. Allez-y maintenant... répond Hermione d'une voix inquiète.

Lucy, habillée d'une robe de « guerre » rouge, guide Destrier le cheval et lui ordonne de partir.

C'est toutes deux bien inquiète que la jeune femme et l'adolescente près du jeune prince se tournent vers lui d'un même mouvement. Caspian ne les a jamais vu s'entendre, sauf le premier jour où elles ont déclaré une « trêve », même trêve qui s'est caractériser par des « insultes » sympathique comme : garçon manqué, cucul la praline, sorcière, stupide moldus et il en passe des vertes et des pas mûres. Mais rapidement, le prince a vite comprit que c'était le moyen des filles pour se faire comprendre qu'elles s'appréciaient et tenaient un minimum l'une à l'autre, oui un minimum parce que Hermione reste Hermione et Susan, Susan. Ce qui explique l'étonnement du jeune homme.

- Suis les, ordonne Hermione.

- S'il vous plaît, supplie la Douce.

- Severus est un idiot sûr de lui.

- Et Lucy trop rêveuse, termine Susan.

- Ils auront besoin de toi, termine les deux filles d'une même voix.

Bon, et bien, Caspian n'assistera pas tout de suite au combat. A la place il se retrouve de corvée de Baby-sitting ! C'est chouette n'est-ce pas ? Susan reste plus longtemps avec Caspian que Hermione qui rejoint son mari,

- Tenez votre majesté, j'avais oublié de vous rendre votre trompe, dit le jeune prince en grimpant sur le cheval que la reine Susan venait de lui amener.

- Gardez là au cas où, vous auriez peut-être besoin de m'appeler, répondit l'adolescente au joues rosies.

A ces mots, Caspian sourit doucement avant que la reine ne tape sur le derrière de sa monture qui s'élance à tout allure dans les souterrains du tombaux.

Hermione est au côté de Peter, elle est en colère. TRES en colère. Miraz refuse de se battre contre une femme. Et ça la met dans une rogne pas possible puisque c'est Peter qui va devoir l'affronter. Elle est devant lui, vérifie son armure pour la quatrième fois consécutive alors que Edmund regarde les troupes de Miraz s'avançaient au fond de la clairière et que Susan s'installe avec les archers.

- Je jure Peter Pevensie que si tu ne ressors pas vivant de ce combat je te réanime et je te tue de mes mains, dit-elle.

L'adolescent regarde la jeune femme en face de lui. Elle est en armure, elle aussi, il l'attrape par la taille alors que le « roi » Miraz arrive en face d'eux et l'embrasse avec ardeur.

- Ne t'en fait pas ma lionne, je te reviendrais comme toujours.

- Tu as intérêt sinon je t'arracherais la tête avec mes crocs.

Leur embrassade à enflammer leur soldat, les à motivé, et main dans la main ils brandissent leur épée en poussant un cris de guerre. Le cris d'Hermione ressemble plus à un rugissement qu'autre chose mais cela motive encore plus les soldats qui ont l'impression d'avoir Aslan en humaine devant eux.

- Éclate sa petite tête de verracrasse frérot ! Lance Edmund en donnant son épée et son bouclier à son frère.

Le combat peut commencer et Hermione bien que terrifiée essaie de se connecter à la magie des arbres autour d'elle, elle essaie de les ressentir car un mauvais pressentiment la tourmente depuis le matin même où elle s'était réveillée dans les bras de son roi...

- Combien d'homme devront encore mourir pour que cette guerre s'arrête ? Demande Miraz son casque doré devant les yeux.

- Un seul homme, répond Peter.

Ce fut les dernières paroles entendu par les soldats des deux camps car à présent, seul le bruit de l'acier s'entrechoquant raisonne dans la clairière.


- Severus ! On est suivit ! S'exclame Lucy en faisant accélérer son cheval à quelques kilomètres de la plaine de Beruna.

- Je sais chérie. Je fais ce que je peux tu vois, répond l'adolescent de treize ans essayant de se concentrer.

- Laisse moi là, dit-il soudain.

- Quoi ?! Sev...

- Arrête toi j'ai dis ! S'exclame le jeune garçon tentant de garder son calme devant sa dulcinée.

Lucy obtempère et son mari descend de cheval sous ses yeux exorbités.

- Ce n'est pas le moment pour les devinettes Severus, remonte vite...

- Non. Vas-y, trouve Godric, met lui la raclée qu'il mérite et ramène ses grosses fesses de lion ivrogne à la clairière. Ils ne doivent pas te suivre. Aller ! S'exclame-t-il anxieux, en entendant les soldat Telmarin arriver.

- Je t'aime, répond la jeune fille les larmes aux yeux en ordonnant à Destrier d'aller au galop n'entendant pas son mari lui répondre.

Bonsoir ! J'espère que vous allez bien, désolé pour le retard j'étais en vacance comme certains le savent. Ce chapitre vous a-t-il plût ? N'hésitez pas à me le dire en commentaire ! Prenez soin de vous, bisous.

Ericaly.

Les Enfants d'Hécate à Narnia TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant