Chapitre 14

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- Écoutez, ce n'est pas ce que je voulais dire, c'est mon combat, dit Caspian en marchant aux côtés de Peter dans l'un des sombres couleurs du « tombeaux ».

Tout deux doivent retrouver, Hermione, Trompillon et Ripitchip pour discuter du combat qui approche à grand pas, Edmund et Severus venant de leur annoncer que Miraz acceptait le défis émit par le roi.

- Nous avons déjà essayer ça Caspian... Vous avez faillit le tuer chez vous. S'il doit y avoir une paix entre les Terlmarins et les Narniens, elle doit venir de vous.

- Mais comment voulez-vous que je l'instaure si vous ne me laissez pas faire ? Demande Caspian.

- Vous ne pouvez pas l'instaurer comme ça. Si je n'arrive pas à vaincre votre oncle, l'avenir de Narnia sera entre vos mains, celui de ma famille également.

- Et votre propre avenir votre majesté ?

- J'envisageais une carrière dans la médecine par dépit, ma place n'est plus là-bas tant que... enfin passons. Il faut que ma famille survivent. Tous autant qu'ils sont, s'il vous plaît.

- Je ferais tout pour... murmure Caspian en lançant un regard triste au roi alors qu'ils arrivent dans la salle.

- Je peux me protéger seule, intervient alors la voix d'une charmante sorcière déjà vêtu d'une armure et prête au combat.

Un sourire lui répond alors que le jeune prince demande :

- Et vous majesté, que comptez vous faire en rentrant chez vous ?

- Moi ? Me battre, je termine une guerre pour me plonger dans une autre Prince Caspian, j'imagine que j'essaierais de survivre comme toujours.

Caspian ne peut s'empêcher de jeter un coup d'œil à Peter qui discute de ses seconds avec Ripitchip et Trompillon. Comment le Grand Roi peut-il être aussi serein en sachant que celle qu'il aime va peut-être mourir dans une guerre qui n'est pas vraiment la sienne, ici à Narnia ? En sachant qu'en rentrant chez elle, la Reine devra encore affronter la mort ?

Le lien qui relit les frères et les sœurs, sont intéressants bien sûr mais ceux entre le Grand Roi et la Grande Reine plus encore. A ses côtés, c'est comme si elle enlève son masque de majesté, comme si elle redevenait une personne ayant besoin d'affection, une jeune femme tout simplement. Ils vivent ensemble, chaque jour comme le dernier une fois l'un à côté de l'autre, profitant de la présence tant aimé, essayant de repousser la tristesse de devoir partir dans un jour prochain. Susan lui a raconté. Le jour où ils ont crû Peter mort. Personne n'avait vu la Reine Hermione pendant des jours avant qu'elle ne réapparaisse complètement effondrer. Ce fut la première et dernière fois que leur famille l'avait vu dans une telle position de faiblesse.

- Ed' bien sûr, Glenstorm... répond Peter au nain et à la sourie.

- Et moi, intervient Hermione.

- Mon amour, je vous en prie.

- Peter, que feras-tu si tu viens à être blesser ? Que fera Edmund à part te donner des potions anti-douleur ? Je pourrais ressouder tes os en moins de temps qu'il n'en faut pour dire Quiddicth et refermer tes plaies si vite qu'aucune goûte de sang ne sera tomber sur le sol. Et... Tu es mon mari. Il est hors de question que je te laisse aller en première ligne tout seul, affirme la jeune femme en tendant à l'adolescent son épée.

- Je sais... répond-il avec un sourire doux, les yeux flamboyants comme ceux de Severus brillent à la vue de sa Lucy.

Un jour Caspian aimerait trouver la personne avec qui il pourrait partager de tel regard, la Reine Susan lui plaît énormément mais il a bien peur de devoir affronter trois rois aguerrit et une reine en colère si il tente de faire la cour à La Douce...


Bonjour à tous ! J'espère que vous allez bien, je suis en pleine écriture du tome 3, j'espère que ça en vaut toujours le coup pour vous... Dîtes moi tout ça en commentaire. Prenez soin de vous, bisous !

Ericaly

Les Enfants d'Hécate à Narnia TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant