Partie 97

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« Le bonheur n'est pas éternel. Frèro n'oublis pas que La Vie a toujours le power »

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Je souris mais kho j'toublis pas. On ce reverra au paradis, j'en suis pas sur, inshAllah.

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J'étais en bas de chez moi. Je pensé a toi, mon frère. J'ai mal au guelb on v'à pas s'le caché.
Je voie miriame qui viens vers moi.

Elle- Putain au top la soirée d'Hiers !
Moi- J'te les dis c'est pas la même que les soirée pété de ta cité !
Elle- w'Allah c'est des ouff la bas j'ai kiffé.
Moi- Ma foi.
Elle- C'étais t'à go Kenza c'est sa ?
Moi- C'est pas ton dos sa petite !
Elle- J'ai un ans de moin que toi.
Moi- J'vais sur mes 22, tu viens a peine de faire 19 pige. Donc te la sent pas mistinguette.
Elle- Ptddddddr ! Excuse moi monsieur le grand .
Moi- Pourquoi tu viens m'jacter a chaque fois.
Elle- Par ce que sa ce voie t'es perdue.
Moi- J'suis pas duper moi.
Elle- C'est c'que t'essaye de te persuadé mais w'Allah que sa ce voie grave t'es perdue. Piste t'es toujours capuché pourtant tu devrai pas frère c'est pas comme s'y t'étais un cadavre nan t'es un bg tu te camouffle pour rien. Tu te défonce h24 avec ton acollite t'à bouteille de jack. Presque t'es jamais chez toi.
Moi- Tu M'examine a c'que je voie.
Elle- J'suis pas la seul ici a regardé t'es fais et geste. Par contre j'suis la seul qui a eu le crant de venir te parler.
Moi- *P'tit Rire* Mdr t'à crut j'étais Barak Obama j'sais pas quoi tu m'dis j'ai ue le crant de venir te jacter.
Elle- Non mais voila les meufs comme les pélo ici il te voie différament j'sais pas s'tu capte.
Moi- Ouais crari le monstre.
Elle- Pas jusqu'à la mais un peu quand même surtout que tu viens de *******. Est que cet cité w'Allah y'à que des ouff la bas a s'quon dit.
Moi- Quand t'y était y'avais que ouff ?
Elle- Bah non mais..
Moi- Khlass. Faut arrêté d'écouté les on dit au bout d'un certain age !
Elle- Mais tu sais quand t'étais la bas w'Allah t'étais pas l'même.
Moi- Tu m'conais pas Miriame w'Allah tu m'conait pas.
Elle- S'que je cpnaissait de toi w'Allah c'étais Malsain.
Moi-Quoi malsain ?
Elle- T'sais pas toi sa parle vite ici. T'es parti au hebs pour meurtre Askip, ta déjà tué des gens, tu bicrave dans un réseau de malade mentaux. Même t'à meuf frère elle charbonne !
Moi- Parle pas de Kenza w'Allah parle pas d'elle.
Elle- J'dis rien de méchant juste voila, tous ce c'est ici. Vous savez pas mais on parle de vous de par tout ! Est en Mal !
Moi- Bah qui parle les gens frère j'men balle les couilles moi d'leurs langue de bois la. Il veulent jacter il jacte !!
Sa m'à bandé la vit sa m'à deuh. J'ai pris mon bigo est j'suis monté chez moi, j'les est pisté tous de travers a vie d'ma mère qui nique bien leurs mort. Tout le monde parle les un sur les autres. Ils conaissent rien d'la vie des gens mais il parle. J'vais leurs cramé leurs putain de langue il vont rien comprendre.

J'commence a prendre des sappes ouais j'veut me barré d'Ici.J'prend un grand sac de sport. Je met deux trois trucc. Je déscend devant le bloc y'a un pélo qui m'arrête. Déjà j'les pisté scarface. D'où il me stop comme sa lui ?

Moi- Y'a quoi ?!
Lui- Y'a un problem avec Miriam ?, j'ai vue sa gueulé tout a l'heure ?!
Moi- D'quoi tu m'jacte toi ?!
Lui- Wesh détend toi kho y'à rien.

J'voie y'a du people qui ce rassemble autour. Ils aiment sa les embrouille ici a s'que j'voie.

Moi- D'quoi détend toi ? T'es la tu m'stop comme sa ta crut j'étais ton p'tit tu viens m'stop comme ca ?
Lui- Wesh calme toi frère a croire j'tes dit haja d'fou j'te demmande s'y y'a un problem avec miriam tu repond s'tout ?!

J'lache mon sac par terre j'retire m'à capuche.

Moi- D'où tu me donne des ordres toi ?!
Je commence a m'approcher d'lui violament.
Lui- Arrete d'jouer le ouff toi aussi t'es pas chez toi ici !
Bouum j'lui envoye une droite c'est partie en couille, il s'défendait bien le p'tit pd. On 'senvoyer des patate de malade. J'voie miriam elle viens. Azi azi j'me casse de s'bled moi. J'entendez des : « AAAAAAnnnnnh mais il est comme sa en vrai » Crari elle pensé j'étais cheum est niquer vos mère.

Sa sépare j'me redresse, il a faillit avoir le dessus, mais j'les bien Amoché ce narvalo.

Moi- T'facon t'à raison bientôt j'vais me barré d'cet cité de merde, remplit de pute et de vieu Zgeg ! Eh la tombe d'mon père toi refait le malin j'te bute sans pitié !

J'prend mon sac j'me taille de la. J'ai craché un gros mollard a la bien, juste au pied de miriam. Joue la folle, fais la maline fais.

J'trace ma route, j'me taille cherché ma princesse. Mais quand j'reviens dans cet cité d'mes couilles, il vont voir c'est qui Smail. --

J'arrive a la cité, tu voie déjà c'est plus rayonnent que l'autre bled de mes klewi la.

En bas j'voie la daronne a Kenza. J'accélère pour la rattrappé.
On commence a parlé tous sa. Je commence a lui expliquer que v'là j'voulais prendre kenza avec moi et tous. Rien qu'elle me tapé des sourires. W'Allah çà mère c'est une tueuse.

Elle- Aannnnh mais de toutes facon ji veu kel face sa vi avec toi ma ma fill hin wouldi biento tu vien lui demmander sa main hin !

J'étais Ko de rire.
Moi- T'inquiète khalti InshAllah.
Elle monte toutes souriante, moi j'vais chez moi.

Ma mère : Alors c'est bien ou t'es ?
J'sais très bien qu'elle voulais que j'lui dise qu'elle me manque.

Moi- Tu le sais très bien Yemma qu'tu me manque.

Elle a souris, j'les pris dans mes bras j'les sérré fort.. Depuis plusieur année j'ai plus fais sa.
Elle a versé une larmes puis j'suis partie voir Amel. Entre moi et Bilel sont daron, perso j'lui pardonnerai jamais. J'crois moi et lui c'est mort. Y'a juste Amel qui nous lie maintenant.

Moi- Cava papa il est gentille ?
Elle- Vouiiii troop ! Regarde il m'acheter quoi !
Elle avait sa robe reine des neige.

Moi- Waouuuh t'es toutes belles mashAllah !
Elle- Karim lui il m'à dit que zétais moche que c'étais un sac poubelle.
Moi- Mddr mais lécoute pas ce con il dit d'la merde.
Elle- Haaaaaaaaan tu dit des gros mots smail c'est pas bien !
Moi- Ah oui smeeeh !
Elle- Il est ou Djibriiilouuuu ?

Quans elle a dis sa, sa m'à refroidit, j'suis pas un zemel, mais j'crut j'allais versé des larmes. J'lassume ouais pensé s'que vous voulez. J'ai perdu m'on bras droit. Celui qui m'conseillé quand mon daron il est mort. J'ai perdu un bonhomme pour qui j'aurais tout donné, même mon âmes.

A coup de kalash je te déclare ma flammeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant