A story of sasaengs [BTS ]

Chapitre 7 : suspect et clé

J'observais le message.

- Très aesthetic si ça ne menaçait pas ma vie de mort imminente.

Je soupirais et tentais de regarder autour s'il n'y avait pas par hasard une énorme touffe de cheveux pour m'aider mais apparemment cette sasaeng est soit chauve, soit intelligente.

Je fixais le sol.

Il n'y a pas beaucoup d'option pour sa catégorie si jamais elle fait partie de la bande :

c'est une infiltrée.

Car ce message est dans la demeure et dans ma chambre.

Il a donc fallu connaître le lieu où nous logions, y avoir accès, avoir accès à mon étage et être au courant de ma présence puis ensuite avoir le temps de laisser un message sans que ça ne paraisse suspect.

Donc ça ne peut qu'être une personne infiltrée.

Sauf que ça peut être beaucoup trop de monde à la fois.

On peut déjà éliminer les managers car si un membre avait remarqué qu'il traînait trop longtemps dans ma chambre il serait aller voir.

Ils ont appelé ça la règle des caleçons.

"Plus de trois minutes, c'est louche car seul un caleçon mouillé n'a pas le tant de faire son affaire en si peu de temps"

...ne me demandez par le rapport avec le roquefort, moi-même je ne le sais pas.

- Shinae, aurais-tu vu mon...oh. dit Jin

- ...salut.

- Hmm...salut. J'aurais demandé si tu allais bien mais compte tenu de ce reflet, je dirais que non.

- Jinakinator.

- Oui, alors elles sont encore là ? Je veux dire, on peut les rattraper non ?

- Je ne pense pas, la vapeur a eu le temps de partir. Je n'avais même pas remarqué quoique ce soit, donc elles sont parties il y a longtemps.

- Mais elles peuvent entrer.

- Oui.

- Pourquoi elles ne nous ont rien fait ?

- Vous voir demande plus de préparation vu leurs projets, vos gardes du corps et le surplus de caméra.

- Je vois, mais ça reste une personne d'ici, non ?

- Oui le problème c'est qu'il y a...

- Tout le STAFF comme suspect, sans compter les femmes de ménage et toute personne qui est entrée ici comme les journalistes même si eux...

- On les aurait cramé car aucun ne sait que je suis là.

- Donc on est bloqué en sachant qu'une personne peut à tout moment te tuer dans nos rangs.

- On dirait bien.

- ...pour une fois que ma beauté ne me sert à rien.

On partit pour prévenir les autres pendant que je réfléchissais.

Il devait forcément y avoir un indice ou un truc qui m'aiderait.

Je retournais dans ma chambre après que tout le monde aie constaté le message et observais tout ce qu'il y avait autour.

Le bordel était là avant et c'était de moi.

Le reste aussi.

Cette peluche était à moi, ce verre était à cette place, cette chaussure aussi.