• 32 • On est de retour • (corrigé)

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[ Point de vue D'Amélia ]

Stiles et moi continuions de chercher un plan pour s'enfuir de cet endroit quand j'entends une voix. Quelqu'un nous appelait.

— Stiles, tu entends ça?

— C'est Lydia, me dit-il, entendant la même chose que moi.

On avance vers la voix de Lydia, mais les micros de la gare annoncent l'arrivée d'un train dans 25 minutes. Un train devait arriver ici? Un train devait arriver pour Beacon Hills? Cela ne signifie rien de bon.

Les occupants de la gare se ruent vers les railles, nous bloquant le chemin. Non, il faut qu'on se rende vers Lydia, elle peut nous aider. On tente de les bousculer un à un, mais ils sont bien trop nombreux, bien trop agité.

D'un coup, un coup de feu retentit et on sursaute tous. Les gens, effrayé, reculent. On se tourne vers l'origine de ce coup de feu et on voit le père de Stiles. Quand il le voit, Stiles se rue vers sont père et l'enlace fortement.

— Toutes mes excuses, fis-je en les interrompant. Je suis désolé de déranger ces émouvantes retrouvailles, mais je peux encore entendre n'a voix de Lydia qui nous appelle. Il faut qu'on y aille. On ne sait pas combien de temps on a une possibilité de s'en aller.

Ils s'échangent quelques paroles puis Stiles et moi partons vers la voix, l'entrée où passe les cavaliers lorsqu'ils capturent les gens pour les retourner ici. C'était assez dangereux de s'aventurer ici, mais ça valait la peine. La faille d'ouverture était verte, différente de d'habitude. Peut-être nous pouvons y aller.

Si on s'y rend, moi je peux traverser cette faille en survivant, je serais brûlée vivante mais je serais toujours en vie. Si on échoué, Stiles, lui, ne survivra pas. Pourtant, cela nous empêche pas de continuer notre tentative de sortie de cet enfer. Plus on approche, plus un vent naît et grandit, comme si une tornade arrivait. Mais on n'arrête pas, on doit réussir, on a pas le choix. À un moment, je trébuche et me mets à tomber dans un trouble noir et perds connaissance.


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J'ouvre mes yeux et suis....dans le bureau de police ? C'est là que je me suis faite enlevé par les cavaliers fantômes. Je regarde autour de moi et j entends la porte s'ouvrir. Je me prépare à attaquer quand je vois Théo courir vers moi.

J'ouvre mes yeux et remarqué que je suis dans le bureau de police. C'est ici que je me suis faite enlevé par les cavaliers fantômes. Je regarde autour de moi et découvre l'endroit vide. Il n'y avait plus personne ici. J'entends une porte s'ouvrir et je me rends vers l'entrée, prête à attaquer. Je saute de joie quand je vois Théo entrer:

— Oh mon dieu, Théo !

Je pleure de joie et l'enlace.

— Tu m'avais manqué, lui dis-je.

— Toi aussi. Oh mon dieu, tu m'as tellement manqué. (Il me serre fort dans ses bras puis me relâche.) Maintenant, on doit se rendre à l'hôpital, la meute à besoin de nous.

— Pourquoi? Il se passe quoi?

Bizarrement, je sens que l'annonce de l'arrivée du train il y a quelques minutes a un lien avec ce qu'il se passe à l'hôpital.

— Je ne sais pas vraiment, mais allons-y.

Il me tire par le bras mais le stoppe:

— Attends, attends. Stiles, il est où?

Your Protector {CORRIGÉ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant