CHAPITRE 1 : Le tripoteur de fesses

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Bienvenu pour une toute nouvelle histoire.
 
  Alors je commence en précisant que cela faisait plus de quatre mois que je n'avais rien posté et cela m'avait manqué. Entre les cours et toutes les autres activités, j'avais été très occupée. J'espère que l'on pourra me pardonner.
 
  En ce qui concerne "We will meet again", je sortirai bientôt un CHAPITRE 4, mais je sais pas encore quand. Alors patience.

  Je vous invite à lire ma toute nouvelle oeuvre  : "Au bout d'une photo". Elle parle d'un amour assez particulier entre un modèle et son photographe, de la passion qui les animera après plusieurs séances photos. Les deux héros vont jouer avec le feux. Mais qu'y a-t-il de plus grisant que le mal ?

  Venons le découvrir !

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CHAPITRE 1 : Le tripoteur de fesses.

   Le matin venait de se pointer, rameutant avec lui les rayons agaçants du soleil, et annonçait l'heure du réveil. Pourtant, il avait la flemme de se lever, d'aller s'abrutir devant la télévision avec un pot de glace et ne rien faire d'autre de sa journée. Il était morrose et cette idée ne lui plut guère. Autant dire qu'il n'était pas prêt de sortir de son lit. Même le son incessant de son réveil ne réussit pas cet exploit. Il changea de position pour fuire la lumière naturelle qui trouvait chemin par sa fenêtre.

  Les bonnes choses ont toute une fin. La sonnerie de son tel lui fit ouvrir un oeil fatigué. Il ignore l'appel et rabattit la couverture sur sa tête. Le téléphone recommença et là il quitta ses draps. Il observa l'écran et blêmit. C'était une furie à la tête rose qui faisait vibrer son bien. C'était sa sonnerie pour savoir que c'était elle pour ne pas louper un de ses appels, car mine de rien elle était terrible.

- Allô Saku...

- T'es où blondinet ?! J'espère que t'es en train de venir !

- Qu'est-ce qu'y a ? Aujourd'hui c'est dimanche, un peu de respect aussi, dit-il en baillant à s'en décrocher la mâchoire.

- Un peu de RESPECT ?! On t'attend comme des demeurés ici ! T'as un shooting aujourd'hui merde ! Tu dois poser pour un putain de magazine !

  Il se leva avec précipitation manquant de se rétamer au sol. Il chercha des yeux son calendrier qui était fixé au-dessus de la porte de sa chambre. Il s'en saisit et lit rapidement la date : 12 juin.

- Oublié... merde... retard, souffla-t-il le téléphone toujours à son oreille. Combien ? l'interrogea-t-il sortant de sa chambre pour la salle de bain face à celle-ci.

- T'as quarante minutes sinon le mec à promis de se barrer, alors bouges ton cul de blondinet et ramène ta tignasse ! Et arrête de parler en code quand t'es stressé, forme des phrases.

  Sans plus attendre, elle raccrocha.
 
  En un temps éclair il était déjà lavé. Il s'habille rapidement d'un jean délabé, d'un tee-shirt orange à col rond, une veste en jean et des converses blanches. Il prit son sac à dos rangeant à l'intérieur quelques affaires ainsi que son portefeuille et ses clés. Il le mit sur son dos et sortit, mais revint sur ses pas en réalisant qu'il n'avait pas fermé la porte à clé. Il ouvrit son sac, sortit les clés, ferma la porte, remit les clés à leur place et ferma son sac.

  Let's go !

  Sans hésiter, il choisit de prendre le métro. Il avait assez pour se payer un ticket. Il serait sûr d'arriver plus vite qu'en bus.

  Il prit connaissance de l'heure sur son cellulaire. Il n'avait plus que vingt-quatre minutes pour arriver à temps. Il paya son ticket et montant dans le premier qu'il apperçu. C'était bondé de monde mais il n'avait pas le choix. Il soupira tout en s'accrochant à une rembarque et attendit. La chance avec le métro c'est qu'il n'y avait pas d'embouteillage, heureusement pour lui.

Au bout d'une photoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant