𝗜'𝗩𝗘 𝗚𝝝𝗧 𝝠 𝗦𝗘𝗖𝝝𝗡𝗗 𝗖𝗛𝝠𝗡𝗖𝗘 𝗧𝝝 𝗙𝝠𝗟𝗟

Chapitre 2.

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Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, c'est complètement stressée que se réveille Alexandria. Aujourd'hui elle allait enfin savoir si toutes ses heures d'étude avaient payés. Avec le transfère de son père en Amérique, la jeune fille espère intégrer une école réputée pour sa rigueur.

L'école de communication est l'une des meilleures du continent, et malgré le fait qu'elle ne soit pas en dernière année, elle doit être accepté par l'université si elle veut pouvoir suivre les cours préparatoire dès son arrivée.

Décidée à affronter cette journée avec courage, elle alluma la radio et commença à se préparer, sans oublier d'attacher le collier que lui a offert sa mère il y a de cela plusieurs années. Elle a toujours pensé que cette étoile doré lui portait chance. Une fois cela fait, elle descendu rejoindre ses parents.

Se servant un café, elle rejoint son père, lui même café en main, lisant le journal du jour. Sa mère, buvant son jus d'orange lui lança un regard encourageant voyant le stress de dessiner sur le visage de sa fille.

- Alors c'est le grand jour ! Affirma mon père d'un ton enjoué

- Dave arrête un peu, sourit sa mère en levant les yeux au ciel

- Quoi ? Je n'ai plus le droit de parler sous mon propre toit ? Rigola t'il Ne t'en fais pas ma chérie, ajoute t'il plus sérieusement, ils seraient bêtes de ne pas te prendre.

Ils finirent par changer de sujet, au grand bonheur de l'étudiante. Et environ un quart d'heure plus tard, elle lança un « À tantôt » avant de rejoindre son arrêt de bus. Et comme d'habitude, il n'y a pas grand monde.

Seulement trois personnes s'y trouvent. Madame Hanigan, qui malgré la retraite garde un emploi du temps assez chargé. Monsieur John, l'épicier du quartier, toujours prêt à donner de bon conseils en matière de cuisine. C'est d'ailleurs lui qui se charge des dîner entre voisins.

- Richard passera sans doute aujourd'hui pour déposer les vêtements.

- Pas de problème, maman ne travaille pas aujourd'hui.

- Parfais alors ! Je passera avec lui, cela fait longtemps que je n'ai pas vu ta mère.

- Elle sera ravie de vous voir, en plus, elle a pleins d'histoires à raconter a propos d'une nouvelle recrue.

- Hâte d'entendre tout cela alors.

Quelques secondes plus tard, le bus arriva. L'étudiante laissa passer Madame Hanigan et Monsieur John la laissa passer. Une fois qu'ils avaient tous prit place dans le bus, ce dernier démarra.

Toujours côté fenêtre, la jeune fille se perdit petit à petit dans ses pensées, contemplant le paysage qu'elle connaissait pourtant par cœur.

Elle aurait bien voulu commencer un nouveau livre, mais je savais que mon cerveau ne suivrait rien à l'histoire.

De toute manière, elle n'aurait pas su. Lire un livre à côté de Madame Hanigan était impossible, cette dernière aimait bien trop parlé que pour laisser quelqu'un dans sa bulle.