Chapitre 7

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Je marchais tranquillement dans la nouvelle ville. Edmund avait raison, j'adore. C'est tellement authentic, tellement different de tout ce que nous trouvons aux USA. Ce sentiment de vrai m'avait manqué.

Comme ces derniers jours, aujourd'hui était également une belle journée. So belle que le calme m'étonne. En temps normal, les enfants s'amusent dans les rues et les adultes travaillent. Cependant, aujourd'hui, il n'y a personne même pas un chat. En y pensant ce n'est pas la seule chose qui déroge à la règle.

Tout d'abord, Edmund ne m'a pas demander pour m'accompagner. Lui qui est habituellement si enthousiaste à l'idée de mon montré ces travaux, là il n'en est rien.
Ensuite, je ne sais même pas comment je suis arrivée jusqu'ici. Je veux dire, je ne me souviens pas du chemin. Ni même d'être au château avant le départ et encore moins de mon arrivée. Je ne me souviens sur de cette place, comme si j'avais été inconsciente et que je m'étais réveiller ici.
Enfin, ce manque sidérant de vie. Il n'y a vraiment personne. Le seul bruit est celui des feuilles lorsqu'elles sont effleurées du vent.

- Réveillez vous.

- Pardon ?

- Réveillez vous.

- Qui est là ?

La voix est survenue de nul part, et à présent ne répond plus.

- He ho ? Il y a quelqu'un ?

- Réveillez vous.

- Mais enfin, je suis réveillé ! Qui êtes-vous ?! Montrez-vous de suite ! Sinon...

- Sinon quoi ?

Je connais cette voix, mais, a qui appartient-elle ?

- Alors, notre précieuse suprême a perdu sa langue ? C'est bien dommage.

- Qui êtes-vous bon sang ?!

- Un effort, je suis sûr que cela va vous revenir. Souvenez vous, nos échanges étaient passionnés.

- Jorliane ? Dis-je en tombant assise, appuyé contre la fontaine

- Enfin ma jolie, il était temps, vous ai je manqué ?

- Loin de là.

- Je ne vous crois pas. Je sais que vous avez repensé à notre échange.

- Jamais.

- Je vais venir, et vous le savez.

- Quand ?

- Vous verrez ma douce. Sachez seulement que vous devrez me suivre, sans résistance.

- Pourquoi ?

- Vous me l'avez promis.

- Non. Et puis même, vous aviez promis de ne pas me forcé à venir.

- Et je ne le ferais pas. Vous allez venir, parce que vous en aurez envie.

- Jamais je ne le voudrais.

- C'est ce que l'on verre lorsque le moment arrivera. Je vois déjà
le désir que vous allez avoir dans vos yeux, le frissonnement sur votre peau lorsque et...

- C'est faux, ça n'arrivera pas.

- Nous verrons. Son rire cristallin retentit avant qu'il ne continue Je vais venir, je vais venir pour vous, ma douce.

𝗜'𝗩𝗘 𝗚𝝝𝗧 𝝠 𝗦𝗘𝗖𝝝𝗡𝗗 𝗖𝗛𝝠𝗡𝗖𝗘 𝗧𝝝 𝗙𝝠𝗟𝗟Où les histoires vivent. Découvrez maintenant