Coucou, voilà un nouveau chapitre. J'espère qu'il vous plaira!
Ah oui et, n'hésitez pas à voter si vous aimez, ça m'encouragerais BEAUCOUP!
Bonne lecture!🧞♀️
On vient de sortir du jet privé, et la chaleur se ressent encore plus qu'en Colombie. Il me semble, si j'ai bien entendu, qu'on est à Brasilia et que le but est d'aller à Rio.
Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien. Ils parlaient en italien, je crois. Je pense que c'est pour pas que je sache de quoi ils parlent. Mais je peux garantir que les deux sont colombiens. Ayko me l'a dit, et je l'aurais de toute façon deviné, de part son amour pour son pays.
Tandis que le chef du cartel, je n'en avais pas la certitude absolue. Mais, ses yeux voulaient me le faite croire. Et puis quand il parlait, il avait l'accent espagnol typique colombien. Donc doux, malgré sa voix grave. Je l'avais beaucoup observé durant le vol et j'avais pu voir qu'il ne montrait rien de lui. Il ne disait jamais rien par rapport à lui. Je ne connaissait rien du tout face à mon kidnappeur. Il était si mystérieux que je ne saurais même dire s'il a une famille à part sa sœur.
Rien. Je ne savais rien de lui.
Par contre, j'avais l'impression de connaître Ayko comme mon grand frère. Il avait beaucoup parler avec moi, et d'une manière... si fraternelle.
Enfaite, ce cartel est étrange. Ils ne sont pas comme les autres, comme dans les films ou comme ils ont l'air d'être quand je vois deux narcos parler entre eux. Ils sont comme... une famille. Ayko et le chef du cartel ne s'appelaient jamais par leur prénoms, mais toujours par hermano. Malgré ça, il ne se ressemblent pas du tout, alors loin de moi la vision de deux frères par le sang.
Et puis, les deux avaient un grand respect pour ceux qui travaillaient pour eux, ils appelaient leurs employés par leurs prénoms.
Ils me faisaient penser à une grande famille.
Je regarde autour de moi, pendant que les deux hommes qui m'accompagne parlent ensemble un peu plus loin.
Un bolide rouge et une moto de course noire matte nous accueillent en cette arrivée au Brésil.
Et dire que, la première fois que je sors de mon pays, c'est en étant captive d'un cartel.
-Alessia, viens nous on va avec ce missile! Dit Ayko joyeusement.
J'avais appris à le connaître dans l'avion. Il était très drôle et surtout immature. Mais il savait aussi se montrer sérieux.
En suivant Ayko, je vois du coin de l'œil Monsieur yeux verts mettre son casque de moto teinté. Ses yeux verts ne se voient pas à travers, et ça m'étonne.
Une fois dans la voiture, je vois Ayko regarder partout, ajuster son siège, appuyer sur tout les boutons l'air curieux et admiratif.
Je ris.
-Eh, t'as vu ça? Le siège fais des massage! Putain cette caisse c'est ma nouvelle femme.
-Mais tu-
Soudain, je fis coupée dans ma phrase à cause du vrombissement d'un moteur.
Ayko et moi tournons la tête vers la source de ce bruit.Le chef du cartel est à présent sur sa moto à côté de la voiture, de mon côté. Il fais des signes de main à son bras droit qui celui-ci acquiesce, et tourne la tête droit devant lui, en reposant ses mains sur le guidon.
J'entendis Ayko démarrer la voiture.
-Alessia, attaches ta ceinture.
Je n'eus même pas le temps de riposter qu'ils avaient accéléré a toute vitesse. Mon dos avait été poussé contre le siège avec telle force, que j'en eu mal à la nuque.
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Destinés
RomanceElle va plonger dans ses yeux verts... et lui, il va aimer la voir se perdre dans ses yeux... "Je vais te tirer au fond de l'eau..." "Pas si je te monte à la surface..." Un criminel et sa protégée... Un ange et son démon... Le diable n'est pas une s...