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Septembre 2018

France

PDV HAKIM

J'ai vider ma maison. Il y avait déjà peu d'alcool il n'y en a plus une goute. Tout ce qui peut être dangereux pour Louise n'est plus chez moi. Ca fait une semaine, et c'est déjà une très longue semaine. Je suis là pour elle et Deen est là la journée avec ces parents. La nuit ils prennent soin d'Eden. 

-Louise? je dis. 

Elle n'est plus dans le lit. Je me lève et je la trouve en boule dans le salon. Elle tremble, elle est en sieur. 

-Mon coeur. je dis. 

-Je veux mourir Hakim. J'en peux plus. 

-T'as fait le plus dur. Ca fait une semaine. 

-Je veux mourir Hakim. 

Je la prend dans mes bras et je la serre fort. 

-Je vais te donner tes médicaments. 

Je suis aller lui donner la dose que je vais chercher à la pharmacie tous les jours. 

-Tiens, ça va aller mieux. 

Elle les prends et vient dans mes bras.

-Ca va Eden? 

-Je vais aller le chercher à l'école. Il veut nous voir.

-C'est une bonne idée. 

-Tu t'en sort très bien Louise. 

Ma belle mère arrive, elle soupire en voyant l'était de sa fille. 

-Ca va ma chérie? 

-Je veux mourir maman. 

-Tu t'en sort très bien mon coeur. Vous avez manger un truc?

-Non. 

-Je vais vous faire à manger.

Sylivie ne dit rien, mais elle morfle. Entendre ça fille dire ça c'est juste horrible. Aujourd'hui Louise à réussi à manger et déjà un beau progrès.

-Lou. je dis. Il faut que tu te douches. Ca va te faire du bien.

Elle se lève mais manque de tomber. Je la rattrape et je la porte. Elle s'est doucher avec mon aide et elle enfiler mes affaires. 

-Je veux dormir. 

-Okay. Dans le lit? 

-Je veux pas être toute seule. 

-Canapé lit?

J'ai pris la couette et elle s'est installer dans le lit. Elle s'est endormi dans les bras de sa mère après une énième sué froide. Ken est arrivé avec mon frère. 

-Comment elle va? demande Ken. 

Il n'en faut pas plus pour que Sylvie explose en larme. 

-Ma petite fille me répête sans cesse qu'elle veut mourir. elle dit en reniflant. Je vous assure que je vais le tuer de mes propres mains. Il a faillit tuer mon bébé. 

-Et je crois qu'on t'aide tous. dit mon frère. Mais c'est de Louise qu'on parle. Elle l'a fait une fois en étant seule. Elle va le refaire, vous êtes là cette fois.

-Ca va aller. je répond. 

-On a fini le studio. dit Ken. Les lumières et les mirroirs sont poser. Ils attendent plus qu'elle.

Les gars sont parti et on est rester avec Louise qui a dormi toute la journée. Je les ai laisser à 16H30 pour aller voir Eden. On a était prendre une glace avant qu'il me réclame sa mère.

-Elle dort.

-Je veux juste faire un bisous.

-Juste un bisous.

On est aller à la maison, Louise est reveiller dans le canapé.

-Maman. 

-Mon fils. elle sourit. 

-Hakim il a dit juste un bisous.

-Et moi je rajoute un câlin.

Eden a était voir sa mère pour un long câlin. 

-Tu me manques maman. 

-Je sais. Mais je suis pas en forme. Il faut que je me repose.

-Encore combien de temps? 

-Encore un petit peu d'accord?

-D'accord. Mais tu me manques maman. 

-Je sais. Quand on pourra, on ira en vacances. Tous les trois d'accord? 

-Oui. Je t'aime maman. 

-Moi aussi mon coeur. Je t'aime fort.

-On y va? dit Sylvie.

Il a embrasser sa mère et moi et ils sont parti.

-Ca va? je demande à Louise.

-Merci de l'avoir amener. 

-Ca serai bien de prendre l'air. On va dehors? 

-D'accord. 

Je les aider et on a été dehors. On s'est installer sur le salon de jardin. 

-Ca fait un an. je dis. 

-Quoi? 

-Qu'on se connait. 

-Déjà? 

-Ca passe vite.

-Je suis d'accord. elle répond. 

-T'as froid? je demande. 

-Ouais. Je vais y arriver Hakim. Je vais pas baisser les bras, je vais le faire pour Ed et pour toi. 

-Je sais que tu vas le faire. Et t'as raison, quand tu pourras, on partiras tous les droits. Eden à vu la neige? 

-Non.

-Alors je crois bien qu'il faut qu'on aille au ski. 

-Oui. Je ne savais pas Hakim. 

-Quoi? 

-Que j'étais enceinte. 

-Je sais. C'était pas le bon timing, il était pas fait pour nous. Et puis on a plein de temps pour faire plein de frère et soeur à Ed.

-Je te mérite pas.

-Au que si. 

On s'est commander à manger et on a squatter le canapé. La nuit à était longue, c'est le pire moment des 24 heures d'une journée. Mais je suis là pour Louise et c'est le principal. On arrive au lendemain ou ils prennent un semblant de relais et ou je peux me reposer tout en la surveillant. 

Espoir MEKRAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant