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Zahir rassemblait minutieusement les derniers preuves contre Fateh, enfin sa sœur serait vengée.

Un garde entrait en l'informant que la voiture de sa mère s'était garée dans le royaume.
Il relâchait tout et se précipitait pour aller accueillir sa mère.

Pendant cinq ans, il n'avait pas vu le sourire maternel de sa chère mère.

Zahir - mère !

Elle relevait la tête pour le chercher du regard, puis lorsqu'elle le vu, elle s'empressât d'aller à son encontre.

Amira- mon Cher fils, comment allez-vous ?

Ils se prirent dans les bras avec émotion, la reine Amira aimait ses enfants plus-que tout au monde, mais malheureusement elle perdit l'un mais celui qui lui restait faisait énormément son bonheur même s'il était assez borné.

Zahir - allez entrer !?

Il attrapait la main de sa mère pour l'accompagner à l'intérieur, lorsqu'ils s'asseyaient, elle souriait de toutes ses dents.

Amira- lorsque je suis partie pour mon pèlerinage nous étions pas en bon terme...

Zahir - c'est oublié mère, vous ne vouliez que mon bonheur et je vous en serez toujours reconnaissant.

Amira- merci cheikh.

Mila descendait les escaliers en ce temps, les écouteurs aux oreilles en sifflant une chanson méconnue de ses hôtes, reine Amira fronçait les sourcils en la voyant.

Amira- qui s'est ?

Zahir - votre belle fille mère , il se levait pour faire un signe à mila d'enlever les écouteurs et lui demandait d'approcher. Mila c'est la reine.

Mila - c'est ta mère ?

Zahir - oui chère épouse, désolé mère mila a fait un accident qui lui a fait perdre la mémoire.

Amira- mais ce n'est pas celle que j'ai laissé ici, j'en suis sûre ?!

Mila écarquilla les yeux, pourquoi cette petite peste de servante n'avait pas suivis les instructions qui sont de mettre un kieffeh à chaque fois qu'elle sortait ? Songeait-elle perdue

Zahir - c'est sûrement le voyage mère, c'est mila, essaye de te reposer et tu verras c'est elle que tu avais vu.

Amira - je ne suis pas folle !

Zahir - mère ! Allez-y vous reposez.

La phrase ne souffrait d'aucun refus, elle monta les escaliers en lançant des regards suspicieux vers mila qui était heureuse qu'il la défende.

Mila - merci Zahir

Zahir - la cérémonie où tu seras présentée au peuple est dans moins d'une semaine, j'aimerais pas de problème entre ma mère et toi. Comporte toi telle une reine dès à présent.

Elle hocha la tête, depuis qu'elle avait vu Zahir sur l'un des journaux lorsqu'elle essayait de fuir, elle est tombée sous son charme. Elle qui croyait que c'était un aveugle au gros ventre dégoûtant c'était lourdement trompée. Elle était prête à vivre avec lui pour toujours et cela n'était qu'une question de temps pour qu'elle puisse le séduire.

Des hommes entrèrent dans le salon de Zahir qui s'apprêtait à monter les escaliers.

Zahir - oui !?

homme - le juge demande votre présence immédiate dans son bureau.

Il redescendit en donnant quelques instructions à un garde.

Une Guinéenne Dans Le DésertOù les histoires vivent. Découvrez maintenant