Les préparatifs de la soirée étaient intenses, mariam la voulait simple et élégante mais surtout mémorable.Les invitations étaient amenées et il ne restait que quelques heures avant que la soirée ne commence.
Zola- c'est une mauvaise idée, il y'aura des photographes de toutes les magasines du monde. Mariam tu es bête ?
Mariam - raison pour laquelle je vais mettre un masque.
Zola - c'est n'est pas une soirée masquée.
Mariam - je sais mais je dirais que c'est la tradition, zola calme toi. Tout va bien se passer. Je te promets que bientôt, tout va se terminer et on retrouvera nos vies d'avant.
Zola - j'en doute.
Mariam se leva et prit les épaules de Zola qu'elle dépassait de taille.
Mariam - je te promets que tout ira bien, fait moi confiance. En plus...
Elle la relâcha et se dirigeait vers l'énorme dressing qu'elle avait.
Mariam -... tu vas m'accompagner
Zola - c'est impossible , les servantes ne sont pas autorisées.
Mariam - tu sais te maquiller plus que n'importe qui, personne ne te reconnaîtra, tu n'as jamais songé à participer à une fête de roi ?
Zola avait toujours rêvé de porter une robe majestueuse et participer à ses fêtes mondaines mais lorsqu'elle grandit, elle réalisa qu'elles n'étaient pas pour elle.
Mariam - arrête de réfléchir, zahir est aveugle il ne pourra te reconnaître.
Zola - son cousin, on a discuté
Mariam - tu crois qu'il te verra, ce type à l'air hautain et il ne fera pas le rapprochement.
Zola - d'accord j'accepte
Mariam - houuuu, cette robe est faite pour toi, elle ressemble à tes magnifiques yeux bleus.
Mariam était excitée de pouvoir aider zola à participer à une fête pareille.
Dans sa robe de chambre, elle laissait Zola se préparer pour aller dans les appartements du roi, elle entra dans le salon et respira une bonne bouffée d'air avant de toquer à la porte de sa chambre.
Zahir - c'est ouvert !
Mariam - coucou
Il se retournait à l'entente de la voix de sa jeune femme.
Zahir - je me sens abandonné depuis hier.
Il affichait une moue triste
Mariam - je suis désolée de ne pas être venue mais les préparatifs me prenaient assez de temps mais comme on le dit chez nous mieux vaut tard que jamais. Non ?
Zahir - pour cette fois-ci je vous pardonne mais je ne permettrai plus que je reste vingt-quatre heures sans entendre votre voix.
Des milliers de papillons volaient dans le ventre de mariam mais elle les ignora pour pouvoir se retenir.
Mariam - comment vous sentez vous ?
Zahir - stressé, je ne sais pas quelle cravate choisir.
Il ne manquait que la cravate pour compléter son élégance. Mariam fouillant le tas de cravate se trouvant dans le lit et en prit un. Elle s'avança jusqu'au lit où elle enlevait ses chaussures pour monter.
Mariam - approchez
Zahir - vous êtes où ?
Mariam - suivez mon parfum.
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Une Guinéenne Dans Le Désert
RomanceElle vivait une vie tranquille jusqu'au jour où on lui proposa un voyage dans le désert... Et sa vie devenait aussi mélangée qu'une toile d'araignée.