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Des papillons c'étaient envolés au creux de son ventre, son cœur battait à toute allure.

Suna l'entourait de ses fin bras, elle sentait son souffle chaud dans son cou.
Elle n'osait pas bouger par peur de briser l'ambiance qui c'était créée.

Elle entendit le brun renifler, puis sentit la tête du brun s'enfoncer dans son cou comme si il cherchait du réconfort ou une source de chaleur.

Rintaro : Tu m'avais manquée.

Le silence régnait maintenant dans la pièce. Elle ne savait pas comment réagir.
Son cœur était à deux doigt de lâcher, son répondant habituelle l'avait quittée.

Misomu voulait lui demander pourquoi il n'était pas venue au lycée ces derniers jours. Sauf qu'elle ne voulait pas le brusquer, elle ne voulait pas dire quelque chose de travers.

Misomu : Tu vas au lycée demain ?
Rintaro : Normalement, j'ai loupé pas mal d'entraînement t'est frères vont m'tuer.
Misomu : C'est clair !

Ils rigolèrent, respirant le parfum de chacun, s'enivrent de leur rire léger qui embaumait la pièce.
Suna venait de lâchait la mi-brune mi-blonde pour aller s'assoir sur son lit, d'un geste de main il invita Misomu à faire de même.

Le silence planait encore, mais cela ne les dérangeait pas. Ils ne voulaient pas parler, ils voulaient seulement profiter de la présence de l'autre.
Dos contre le mur, les jambes de Suna étaient tendues tandis que celles de Misomu étaient recroquevillées près de sa poitrine, leurs épaules ce touchaient.

Et ce contact leur suffisaient.

Misomu : Tu compte faire quoi ?
Rintaro : La quitter.

Ses yeux venaient de s'écarquiller, il allait la quitter ? Son cœur était libéré d'un poids, l'envie de pleurer lui pris soudain. Mais elle n'affichait rien, elle regardait Suna et d'un geste de tête lui intima de continuer.

Rintaro : Le problème c'est que je sais pas comment j'vais faire et puis...

Il s'arrêta.

Misomu : ...Si ta besoins de quoi que ce soit j'suis là Sun-Sun.
Rintaro : Je sais, merci.

Le brun fini par poser sa tête sur l'épaule de Misomu, toujours à la recherche de chaleur et de soutien.
Puis ils commencèrent à parler, de tout et n'importe quoi, en passant par des chose inintéressant pour finir a parler de choses qui mériteraient qu'on en parle quelques minutes.

Le temps passait, mais en présence de l'autre ils s'en foutaient.
Ce fut quand ils entendirent un "toc toc" à la porte du brun qu'ils sortirent enfin de leur bulle créée au paravant.

Au début ils pensaient que c'était Futaba, la mère à Suna. Puis quand la porte s'ouvrît ils virent une tête, celle de sa copine actuelle.

Kizume : Oh, j'vous déranges pas j'espère ?
Misomu : Un peux si.

Elle reçu une petite tape dans le bras, Suna n'avait pas l'air de rigoler.

Misomu : Bon, j'vais aller dehors. Bye ~

En partant elle claqua un bisous sur la joue du brun, qui sans s'en empêcher, venait d'esquisser un sourire nias suite à ce contact.

Kizume : Rin pourquoi tu souris ? Pourquoi elle était là ? Ta toujours pas compris que sans moi vous êtes fichu ?
Rintaro : Je suis heureux, tu peut le comprendre ?

Le brun sentait la colère montait en lui, mais il ne pouvait pas exploser. Déjà car Misomu se trouvait toujours derrière la porte et devait sûrement les entendres, et de plus sans Kizume il n'aurait plus de foyer.

Kizume : J'en ai marre, j'ai jamais voulu sortir avec toi moi ! J'ai été forcée parce que ta putain de mère n'est pas capable de ce trouver un boulot et de s'occuper de son gosse ! Je t'aime pas ! Et... Tu m'aime pas non plus alors-

Ça voix venait de craquer, les larmes montaient aux yeux verdâtre de la blonde. Elle n'en pouvait plus, ils ne s'aimaient pas, alors pourquoi rester ensemble ?

C'est dans c'est moment là que Kizume détestait son père d'être un si gros connard, et que Rintaro détestait sa mère d'avoir accepté ce bourbier.

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Héhé, j'suis un peux en retard... J'suis fatigué et j'avais pas la force d'écrire désoler. En plus je trouve pas ce chapitre top top.
Mais bon, merci comme même à vous de continuer de lire ma petite histoire ~

 Mais bon, merci comme même à vous de continuer de lire ma petite histoire ~

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La jumelle des Miya, Suna Où les histoires vivent. Découvrez maintenant