Timide Torride I

• Chapitre 10 : Un jeu risqué •

Lundi matin, j'arrivais comme tous les jours en cours, mais ça n'allait pas être un jour anodin. J'avais déjà un plan derrière la tête. C'était à mon tour de faire plaisir à Ethan et je savais déjà comment. Alors qu'il me regardait avec les mêmes yeux que pendant la soirée, certainement se remémorant en boucle ce moment, il me vit lever la main. Son air devint alors interrogatif.

- Prof de philo : Oui Léa?
- Je peux sortir Monsieur s'il vous plaît, je me sens pas bien, je sens que je vais faire un malaise. Est-ce que mon voisin pourrait m'accompagner, j'ai peur de tomber dans les escaliers, ça m'est déjà arrivé...?
- Prof de philo: Oui oui bien sûr, sortez vite! Ethan, accompagnez votre camarade à l'infirmerie!

Mon plan s'exécutait à merveille. Aussitôt la porte de classe fermée, je saisit le poignet d'Ethan et, vérifiant que personne ne passait à ce moment là dans le couloir, je l'emmenais avec moi aux toilettes. Sur un ton surpris mais excité, il eut juste le temps de dire:

- Qu'est ce que t...

Que je commençais déjà à l'embrasser langoureusement, comme si nos langues se rencontraient pour la première fois. Puis, je commençais à doucement descendre mes lèvres et mes mains vers son cou... son torse... ses abdos... son bassin... sentant se dessiner sous mes doigts une musculature que je ne soupçonnais pas. Je dezippais alors doucement la fermeture éclaire de son pantalon et sorti son engin de son boxer. Je me mis alors, en le regardant dans les yeux, à le branler doucement en léchant du bout de ma langue ses couilles. La taille de sa bite m'impressionnait, mes petites mains arrivant à peine à l'empoigner pendant qu'il durcissait.

Je remontais donc ma langue le long de son pénis en arrivant jusqu'au gland où je m'amusais à faire des petits ronds avec ma langue et à l'aspirer avec mes lèvres. Je sentais ses jambes trembler d'excitation. En se mordant la lèvre inférieure, se tordant de plaisir, il attrapa mes cheveux et poussa doucement ma tête pour enfoncer le plus profondément possible son engin au fond de ma gorge en disant à bout de force, mais toujours aussi poliment :

- Pitié Léa, suce moi...

Je rigolais intérieurement de cette facette d'Ethan que personne ne connaissait, mais j'adorais la façon dont il ne pouvait plus me résister. Alors je me mis à lui faire la meilleure fellation de sa vie, en commençant doucement, puis en accélérant progressivement, en malaxant simultanément ses testicules sur lesquelles dégoulinait un mélange de salive et de liquide pré-séminal. Soudain, je senti son sexe au maximum de son érection, la veine extrêmement drainée, se vider dans ma bouche. Il ne pu s'empêcher de lâcher un intense gémissement au moment de l'éjaculation. Je me suis donc lentement retiré en recrachant dans les toilettes ce que j'avais dans la bouche. Nous sommes sorti des toilettes en prenant toutes les précautions possibles.

En me péchant pour rincer ma bouche au niveau du robinet, il vint frotter son entre-jambe encore raide contre mes fesses en chuchotant « la prochaine fois je te baise Léa ». Son ton était très différent de d'habitude.

J'avais réveillé en lui mon addiction et je sentais qu'on allait très vite devenir accro l'un à l'autre.