— Comment as tu pu laisser Pryanka sortie vêtu de cette... Manière ?! Demanda Ivan en contenant mal sa colère après que la voiture ait passé le portail.
— Hum..., répondit-il vaguement sans détourner son visage du phare de la voiture qui s'éloignait dans la nuit. Ma sœur devient de plus en plus incontrôlable, je dois prendre des mesures.
— Et qu'est-ce qui ce passe entre toi et l'autre fille?
Voulant éviter cette question, il se retourna et marcha vers l'intérieur.
— Ce ne sont pas tes affaires Ivan.
— Je suis presque ton oncle, je t'interdis de me parler de cette manière jeune homme.
Viktor s'arrêta et se retourna. Seul son air joueur l' empêchait de lui coller son poing dans la figure.
— Même par plaisanterie ne dit plus jamais ça ok?! Et ont peut savoir ce qu'il se passe entre Pryanka et toi ? Vous semblez comme chien et chat depuis votre retour.
— Un léger différent, répondit la mine sombre. Mais ce n'est pas pour cette raison que je vais lui laisser faire ce qu'elle veut compte sur moi.
Tous deux marchèrent en silence jusqu'au bureau de Viktor en refusant de s'arrêter pour dîner dans la salle à manger. Il avait les nerfs a vif et Ivan aussi apparemment.
— Je te sers quelque chose ? Lui demanda-t-il après avoir avalé cul sec un premier verre de rhum.
— Volontiers pour un bourbon, répondit celui-ci. Non; tu sais quoi passe moi la bouteille, j'ai eu une dure journée.
Viktor obéit avant de rejoindre son fauteuil derrière le bureau. Il se sentait en colère sans aucune raison valable.
Non, il savait pourquoi fermer les yeux lui était si insupportable.
Diana et ce gamin. Il était arrivé pile au moment où il avait voulu l'embrasser. Il se félicita encore pour toute la patience dont il avait fait preuve pour ne pas le briser en deux.
Était-ce de la...jalousie ?
Impossible ! Ce mot n'avait jamais fait partie de son vocabulaire. Et de plus, il venait de passé une agréable fin de soirée dans les bras de Calixte, sa maîtresse du moment.
— Tu vas enfin me dire pourquoi tu as embrassé ta... Comment dit- on déjà ?! Ta pupille...
— Nous ne sommes plus au moyen âge et je crois t'avoir dit que ce n'était pas tes affaires.
— Sérieux Vik laisse tomber cette femme. Elle à beau être sacrément bien foutu mais c'est qu'une... petite fille fragile. Tu vas la briser.
— Ne me casse pas les pieds tu crois que je l'ai pas remarqué?! s'énerva-t-il en se laissant tomber sur le dossier. C'est plus fort que moi.
— Je pensais que tu étais comblé au pieux avec ta latina.
—Je le pensais aussi avant de la revoir vois-tu ? Ça faisait pratiquement dix jours que j'avais réussi à me la sortir de la tête.
— C'est pour elle que tu as reporté la date de ton mariage ?
— Je ne sais pas, répondit-il honnêtement.
— Elle n'a même pas l'air expérimentée je ne te comprends pas.
— Je l'ai appris à mes dépens . Elle a zéro expérience figure toi. C'est une putain de vierge.
— Moy bog! Et qu'est-ce que tu comptes faire ? La dépuceler avant de passer la corde au cou ?! C'est n'est qu'une enfants et je pensais que tu avais retenu la leçon.
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Au Château du Comte (suite)
Roman d'amourLorsque Diana Evans arrivé dans la demeure qu'elle est sensé habité pour entamé ses études de médecine elle tombe de haut en réalisant où elle se trouve vraiment. Le fameux château de Florence. Des lors elle se retrouve à mené une guerre sans merci...